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Pour Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, un poste de critique d'art est une véritable gageure étant donné qu'il ne connaît rien à la question. Très rapidement, il se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Pourtant la maison de celui-ci est un véritable musée, sa table celle d'un fin gourmet et l'homme lui-même est brillant et satirique. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire à l'envers les manchettes des journaux. Dans le monde apparemment paisible des beaux-arts, trois morts brutales se produisent et c'est grâce au flair de Koko que Qwilleran découvrira la vérité.
nouvel Les trois noms, neuf syllabes, vingt-sept lettres, sans compter les chiffres. Deux fois par semaine nous nous efforçons de faire tenir sa signature dans une colonne standard. On n’y parvient pas, sauf en biais et il ne tolère aucune abréviation, contraction ou amputation
Lors d’un de mes achats compulsifs, je me suis retrouvé avec 3 tomes de cette saga… il y en a 29 tout de même… J’ai le tome 1, 16 et 23… Il me reste deux solutions où je lis ces trois tomes en me disant que ça devrait le faire quand même… (ce que j’espérais avant de lire le tome 1)… où je continue mes achats compulsifs en recherchant chacun de ses ouvrages manquants… ça risque de prendre beaucoup de temps… trop de temps…
En résumé, j’ai adoré ce tome 1, une enquête qui nous mène à vouloir savoir la suite… à comprendre tout ce que nous n’avons pas su dans le tome 1. Mais aurais-je le cœur ou la motivation ? La suite au prochain tome… dans quelques années peut-être…
Une ambiance plaisante et ancienne presque Cosy, le début avec le chat Koko est très intéressant, Qwilleran présente à la fois les divagations imaginaires face à la Réalité des événements, même si par conséquent j'ai trouvé le dénouement rapide et pas très satisfaisant.
Globalement il y a quand même une bonne réflexion sur le rôle de l'art, le monde élitiste qu'il peut représenter et qu'est ce que l'art réellement, sans pour autant apporter de réponse ou pencher pour un avis particulier à mon sens.
Voilà le 1er tome d'une série qui a été publiée en 70, et qui depuis a été rééditée sous d'autres titres par les éditions 10/18.
C'est sympathique, même si l'histoire se déroule dans le domaine de l'art qui n'est pas mon thème préféré. L'enquête se tient mais ça ne casse pas trois pattes à un canard quand même, d'autant que je l'avais déjà lu il y a quelques années, mais j'avais oublié quasiment toute l'histoire. Je compte lire les autres tomes, si le hasard les place sur mon chemin.
Un premier tome qui donne le ton: enquête à l'ancienne privilégiant les petites cellules grises, ambiance surannée, une pointe d'humour, des personnages sympathiques et surtout Koko, le plus mignon et le meilleur détective félin du monde ! Une lecture à ronronner de plaisir, idéale l'hiver au coin du feu avec une tasse de thé
Cela faisait un moment que je cherchais, sans vraiment la trouver, une série de policier tranquilles, avec de bonnes intrigues et une ambiance unique.
Et bien je l'ai enfin trouvée j'ai l'impression, ça me plait beaucoup. Le tout dans un format court qui ira parfaitement comme lecture "entre deux".
Pour Jim Qwilleran l'heure est difficile, ancien chroniqueur criminel à succès il a vraiment du mal à trouver un travail maintenant que sa notoriété c'est émoussée. Le voila obligé d'occuper un poste de critique artistique, lui qui n'y connait rien ! Mais pas de pression lui dit sa direction, il n'est en fait la que pour donner un avis "grand public" et redorer l'avis des artistes sur le journal car ils ont en leur sein un vrai critique artistique mais qui n'hésite pas à tout critiquer de façon extrêmement virulente.
Voici donc les début de Jim dans le monde artistique, toute une palette des personnages, du directeur de galerie, businessman stressé, à l'artiste de seconde zone qui fait de la lèche pour qu'on écrive un bon article sur lui ... tout y passe.
Jim rencontre donc son collègue si mal aimé qui en fait se révèle devenir une sorte d'ami pour lui, allant jusqu’à lui trouver un logement dans sa propriété remplie d'antiquités et d’œuvres. La maison est aussi habitée par un autre colocataire : un chat siamois habitué au luxe et qui semble plus intelligent qu'il n'y parait !
Une série de crimes arrive soudain dans ce petit monde, un galeriste assassiné, et notre ami le chat aura son mot à dire !
(dommage d'ailleurs qu'ils n'aient pas mis un vrai siamois sur la couverture :p)
Il y a un charme désuet dans ce livre, une ambiance "années 60". En fait la plus grosse partie du récit sert à nous introduire les différents personnages et à nous brosser une palette de la vie artistiques du lieu ou se déroule l'action. L'enquête débute donc tard dans le livre.
Mais vu la longueur du roman ce n'est pas vraiment long non plus, j'ai bien aimé ce passage. L'avantage aussi c'est que tout passe très vite, une fois le crime commis on a déjà quasiment tous les éléments en main, il ne reste qu'a enquêter, le coupable arrive assez rapidement.
Je dois dire que j'ai été surprise par la fin, ce n'est pas du tout ce que j'attendais et je trouve ça vraiment bien que l'auteur arrive à me perdre de cette façon.
Au final une lecture vraiment très sympa, du moment qu'on n'en attends pas trop bien entendu, mais dans son rôle de petits policiers avec une intrigue intéressante en peu de page, il est parfait !
Je voulais tenter un policier et suivant des conseils (qui se sont avérés très bon) j'ai commencé par lire Lilian Jackson Braun avec ce premier tome.
Ce livre est très bien écrit et j'aime beaucoup Jim Qwileran, notre héro et Kao K'O Kung dit Koko, le chat siamois de son propriétaire qui est le second héro de notre histoire (le chat pas le propriétaire).
A lire sans modération puisque la série comprend de nombreux tomes.
Ce livre est vraiment très amusant, un chat qui aide un humain à résoudre des affaires. On ne l'aurait jamais cru possible, mais grâce Jim Qwilleran et Kao K'o Kung "Koko", les meurtiers n'ont qu'à bien se tenir
Résumé
Pour Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, un poste de critique d'art est une véritable gageure étant donné qu'il ne connaît rien à la question. Très rapidement, il se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Pourtant la maison de celui-ci est un véritable musée, sa table celle d'un fin gourmet et l'homme lui-même est brillant et satirique. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire à l'envers les manchettes des journaux. Dans le monde apparemment paisible des beaux-arts, trois morts brutales se produisent et c'est grâce au flair de Koko que Qwilleran découvrira la vérité.
(www.10-18.fr)
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