Celle qui devint le soleil, Tome 2 : Celui qui noya le monde

Ce second tome était excellent. Si, au début, j'ai eu du mal à me rappeler ce qui étaient arrivé aux personnages dans le premier tome, car l'histoire est tant fournie qu'il aurait été mieux que je lise les deux tomes à la suite, ça ne m'a pas empêché de passer un moment incroyable et même d'aimer encore plus ce tome au précédent. J'ai été blessé, touché, et je me suis attaché aux personnages encore plus fort. De plus, comme certaines informations m'avaient échappé lors du temps écoulé me sont revenues durant ma lecture, et ça m'a complètement renversé. Vraiment, le fait que même les petits détails ont de l'importance, c'est ultra plaisant, ça montre que rien n'est laissé au hasard.

Enfin bref, cette duologie est géniale, et je vous la conseille fortement.

Une très belle conclusion à cette duologie brillante, qui nous plonge dans la Chine impériale aux côtés de personnages tellement complexes qui, tous, nous touchent malgré leur grande noirceur. J'espère qu'on aura d'autres livres de cette autrice.

Une belle conclusion au premier tome ! J’ai beaucoup aimé l’histoire, et les personnages sont vraiment intéressants. Malheureusement, je n’ai pas vraiment réussi à me plonger dans l’histoire, pas au point de ne pas pouvoir lâcher le bouquin. Je pense que la psychologie du personnage principal est un peu trop étrangère à mon caractère pour que j’entre vraiment en empathie avec elle. C’est néanmoins un super bouquin, avec des héroïnes très diverses, c’est vraiment très chouette !

J’ai adoré cette duologie, je l’ai trouvée très originale grâce à ses personnages qui ne sont pas des héros classiques avec de bonnes intentions. Ils sont assez complexes avec des pensées très sombres. Choisir cette construction de personnages est assez audacieux, étant donné qu’il est plus compliqué de s’attacher à eux. Ça m’avait un peu fait peur à la fin du premier tome mais finalement après avoir lu cette suite, j’ai été touché par ces personnages. L’histoire est très prenante même si quelques éléments de l’histoire ne sont pas très réalistes.

J’aurais aimé avoir plus d’éléments à la fin de l’histoire, qui s’est terminée assez précipitamment.

Bref, j’ai passé un très bon moment et je recommande cette série.

Une suite plus qu'à la hauteur de son prédécesseur et un final grandiose. J'ai adoré ce voyage sombre dans une revisite de la Chine du 14e siècle.

J'ai un peu décroché avec ce second et dernier tome. J'avais apprécié le premier opus malgré ses défauts et malheureusement cette suite à les même problèmes si ce n'est plus.

Magnifique.

L'on retrouve Zhu Yuanzhang qui est toujours en marche vers sa destinée. Dans ce tome-ci on suit aussi les aventures d'Ouyang le général eunuque mais également celles de Wang Baoxiang et de Madame Zhang.

J'ai tout simplement adoré ce deuxième volet. Ce livre était un régal à lire et pendant la première moitié, les mots donnait l'impression d'un bonbon fondant sous la langue.

Dans cette première moitié Ouyang s'allie avec Zhu (ce n'est pas comme s'il avait eu le choix de toute façon), mais ce duo est juste.... wow. Les deux se complètent à merveille. Bien que fondée sur la haine et le mépris dans un sens et la compréhension dans l'autre, leur relation (pas romantique du tout) est très agréable à lire. J'ai aimé également les brefs moment où Ouyang, même si c'est dans son propre intérêt, fissure un peu sa carapace et aide les gens autour de lui.

Puis... Trahison, Mépris et Douleur

Jiao Yu trahis Zhu et dévoile son secret à Ouyang qui fait cesser cette alliance et pars vers Dadu.

Zhu est donc laissée seule avec son armée pour affronter Chen où ce moment se produit (Spoiler(cliquez pour révéler)Xu Da aidant pour la dernière fois Zhu)

Douleur.. oui c'est vraiment le mot pour décrire la seconde moitié de l'ouvrage.

-Zhu qui vient d'apprendre ce qu'est la douleur émotionnelle et non physique comme celle de son moignon.

-Ouyang, pour qui le vase n'a pas débordé. Non, il l'avait déjà fait depuis longtemps, le vase s'est plutôt fissuré pour cassé en mille morceaux pour déverser toute ses émotions refoulées en une vague énorme.

-Madame Zhang, qui a toujours tout fait pour les hommes autour d'elle ayant le Madat. Maltraitée par son mari, abandonnée par son amant, et mise de côté par son nouvel époux, le grand Kahn.

-Wang Baoxiang qui s'est noyé dans la noirceur de sa douleur et de son malheur. Tandis que Zhu est devenue le Soleil brillant d'une lumière pure, lui noya le monde le sa douleur obscure.

Et puis cette fin, tout aussi belle que le reste bien que tout le monde n'ait pas eu sa fin heureuse , marque le début de la dynastie Ming

Je suis agréablement surprise que cela soit une duologie, quant les trilogies (ou plus) sont le classique actuel. Et je dis ça dans le bon sens !

L'auteur a su clore son histoire, magnifiquement, avec ce second tome. Le style d'écriture reste du même niveau : superbe, entraînant, avec une pointe d'humour quand on s'y attend pas.

Les personnages sont complexes, et sont encore plus profonds que dans le premier tome. Il est incroyable de lire ce qu'un être peut s'infliger quand il veut atteindre son objectif.

Les personnages que j'ai énormément apprécié sont Spoiler(cliquez pour révéler)Xu Da (sa fin est tellement triste) et Ma (qui fait preuve d'une force époustouflante et d'une humanité qui souffle le respect).

Une fiction, certe, mais qui fait réfléchir sur des sujets très réels. Je la conseille sans hésiter !

Shelley Parker-Chan a un véritable don avec à la fois les mots et la création de personnages ; tant et si bien que je me rappelle avoir persisté à travers la première partie de Celle qui devint le soleil (que je trouvais un peu longue et trop détaillée) pour pouvoir mieux découvrir ces personnages envoûtants de charisme et de réalisme. Maintenant qu'on arrive à la fin, je suis très attristée de quitter cette réinvention de la Chine du XIVe siècle imaginé par l'auteure, ainsi que ses personnalités notables. Sans spoiler, on imagine sans mal que peu de personnages auront une fin joyeuse, mais cette seconde partie est sans aucun doute un dénouement très satisfaisant pour la duologie, de même qualité que le premier tome. Style, intrigue, machinations politiques, personnages, développement encore plus poussé de l'univers, et toujours plus d'émotions qui traversent les pages : He Who Drowned the World est un jackpot.