Notre-Dame de la mer

Cette novella se lit très vite et nous plonge dans l'univers des légendes bretonne,dans les embruns salées, au milieu des marées et des tempêtes, quand les phares s'éteignent et que les navires sombrent.

C'est une histoire admirablement écrite par l'autrice, pleine de poésie et de magie. C'est un récit émouvant et tragique. On y suit Nellig dans une aventure brumeuse et mystérieuse. La relation avec son grand-père est particulièrement touchante. Je ne peux en dire plus, car le récit est très court.

Ce fut très agréable de retrouver l'univers de l'autrice, et de comprendre toute l'histoire qui se cachait derrière ce chapitre d'Oracles, un autre roman de l'autrice, dans lequel son protagoniste Oxyde exorcise une maison en Bretagne.

Une très belle plongée dans le folklore breton. Le récit est très doux et poétique et je regrette seulement le fait que ce ne soit pas assez long.

Venez faire un petit tour dans une Bretagne maudite...

Ici nous faisons la connaissance de Nellig qui doit venir s'occuper de la maison familiale en Bretagne à cause d'un petit accident qu'à subit sa grand-mère.

Mais arrivée sur place elle sent que quelque chose ne va pas.

Et quand viens la nuit de la Toussaint, les vieilles légendes refont surface et elle se sent irrémédiablement attirée par la Mer.

Mais pourquoi cela, qu'à a voir sa famille dans ses légendes. Elle va vite le découvrir...

Coup de cœur pour ce roman/nouvelle de mythes et légendes. J'ai adoré être ballotée dans la maison des grand parents de notre PP, de vieux souvenirs ont ressurgis pour mon plus grand bonheur.

Ici tout nous fais penser à notre enfance, des biscuits, au papier peint ainsi qu'à la cabane dans le jardin.

Retrouver les légendes sur les Morganes, les sirènes, celles qui hantent les marins mais surtout celles de la cité d'Ys ont été un vrai bonheur.

Nous sommes bercés et hypnotisés par la mer, tout comme Nellig.

Et malgré le fait qu'il soit court, j'ai réussi à m'attacher à notre PP qui se pose tout un tas de question sur les légendes du coin et surtout qui va mener l'enquête au péril de sa vie.

L'intrigue est très prenante, elle reste sur le même rythme du début à la fin et ne s'essouffle pas.

J'ai adoré la plume poétique, mélodieuse et entraînante de l'autrice que je découvrais pour la première fois. Et grâce à ce petit roman je sais que je vais me plonger pleinement dans ses écrits.

En bref, vous l'aurez compris je vous le recommande vivement si vous avez besoin d'un récit court mais mélodieux.

Cette nouvelle nous plonge dans le folklore breton avec douceur et nostalgie. On y suit les curieuses découvertes de Nellig, contrainte de garder la maison de sa grand-mère tout juste hospitalisée. Un incident somme toute banal... si une fois sur place, la mer ne l'appelait pas, s'il ne lui était pas déjà arrivé un étrange événement près de l'océan.

La plume de l'autrice charrie toujours cette merveilleuse beauté tantôt mélancolique, tantôt poétique. C'est une histoire de perte, de malédiction, de lâcher prise, d'acceptation. Le cheminement psychique du personnage principal est développé avec justesse et, comme pour les autres romans de l'autrice, j'ai eu du mal à refermer le livre, car j'aurais voulu rester à ses côtés un peu plus longtemps.

Une petite pépite que je vous recommande chaudement, donc.

Une novella qui nous entraîne en Bretagne. Nellig retrouve la maison de ses grands-parents durant la convalescence de sa grand-mère. La maison est emplie des souvenirs de son grand-père, décédé, qu’elle adorait. À peine arrivée, elle replonge dans cette ténue mélodie, qui semble tout droit échappée de la mer, dirigée par le vent.

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Les commérages à propos de la Toussaint la font bien vite s’intéresser à une légende locale, celle d’une sirène qui éteint les phares et fait couler les chalutiers. Entre fantômes du passé, surnaturel et fascination (ou fatalité), l’emprise de la mer sur Nellig s’intensifie, contamine son entourage. Et si toute cette histoire était liée à sa famille, à ses ancêtres ?

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Rozenn Illiano nous offre un récit teinté des légendes et de la mer de Bretagne. Sous sa plume, le surnaturel prend vie, entraîne les âmes rêveuses et de poètes dans un méandre implacable et pourtant prodigieux.

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Avis aux amoureux des contes et légendes, de l’atmosphère bretonne fantastique : ne passez pas à côté de cette auteure. Rozenn Illiano a d’ailleurs signé aux Éditions Critic : son roman, Le Phare au Corbeau, sortira le 22 août prochain ! (il figure d’ores et déjà dans ma whislist !)

La plume de l’auteur nous emporte dans un tourbillon d’émotions, son écriture est douce et belle, malgré une histoire assez sombre mais jamais effrayante. Elle décrit un monde un peu surnaturel, toujours mystérieux, où se mélangent croyances et légendes. Le personnage de Nellig est sensible et fragile, triste aussi et au destin tragique.. Mais on l’aime aussi pour le sacrifice qu’elle donne. Le livre se lit rapidement et on en redemande encore !

Au final, ce fut une superbe découverte, une fantastique plume que je vous recommande, amoureux des légendes ! Je pense que ce roman est aussi adapté à de jeunes ados, à partir de 10/12 ans, suivant la maturité de vos enfants.

Avis complet sur mon blog !

Pas convaincue.

La couverture est jolie et le résumé alléchant mais l'ensemble est très décevant.

Déjà je n'avais pas compris que ce roman était en réalité une nouvelle (48 pages version Ebook) donc première mauvaise surprise ; car je ne vois pas trop l'intérêt d'écrire une histoire aussi courte.

Surtout que malgré un nombre de pages limités, l'intrigue, elle n'avance pas. Je me suis ennuyée pendant les trois quarts de ma lecture. Les scènes se répètent ; les longueurs s'accumulent et finalement l'histoire se finit en queue de poisson (sans mauvais jeu de mots).

Quant aux personnages, ils ne m'ont fait aucun effet et le style de l'auteur, quoique pas mal, et gâché par l'utilisation de vulgarité. Dommage.

Pas une lecture que je recommande.

Notre Dame de la Mer est une novella que je recommande chaudement, pour son originalité et les émotions indéfinissables qu’elle laisse une fois la lecture terminée, pour la douceur de la plume et la justesse des émotions dépeintes.