Commentaires de livres faits par Irwalia
Extraits de livres par Irwalia
Commentaires de livres appréciés par Irwalia
Extraits de livres appréciés par Irwalia
Les personnages sont attachants mais pas transcendants. Audrey pourrait en énerver plus d'un avec son côté "je hais ma nouvelle vie" mais pour ma part, c'est passé, ça va. Sa meilleure amie par contre, je m'en serais passée. Je ne la trouve pas insupportable mais pas agréable non plus. En revanche, j'ai eu un petit coup de cœur pour le personnage de James. Le ringard devient le Roi des Tombeurs. J'ai trouvé adorable sa timidité et ses rougissements.
Enfin bref, une lecture détente qui m'a fait du bien !
Au démarrage, l'histoire commence plutôt de façon originale. J'entends par là que ce n'est pas "le beau gosse du lycée qui fait découvrir des choses paranormales à la fille aux abords banals". La trame classique est renouvelée. Good. Tout se débute par une annonce de travail qui va déclencher le destin de l'héroïne dans un lieu peu commun (du moins dans ce que j'ai lu auparavant).
Cette héroïne m’apparaît comme très attachante. Plutôt du genre timide et renfermée, elle n'est pas spécialement extraordinaire, ni caractériellement percutante (ce n'est pas une grande gueule, folle de la jaquette), mais j'ai aimé sa simplicité et son pouvoir. Ça me suffit, tant qu'elle n'a pas des réactions agaçantes (ce qui n'a pas été le cas donc tout roule).
Les autres personnages sont assez sympathiques. Je regrette juste le manque de profondeur du clan du hameau. J'aurais aimé davantage ressentir la fraternité de cette bande peu commune. Mais c'est pas tellement quelque chose qui a nuit à ma lecture.
Je me suis lentement laissée glisser dans cet univers magique avec beaucoup de plaisir, entre les mésaventures d'Elie et ses découvertes qu'elle prend d'ailleurs avec beaucoup de flegme.
Pour ce qui est de l'amoooour... eh bien ça avance mais petit à petit. Une romance toute mignonnette. C'est pour ça que je suis assez étonnée de la classification Bit-lit car j'ai toujours pensé que ce genre était disons... moins prude, si vous voyez ce que je veux dire. A voir par la suite !
Je conseille grandement ce livre français. Je suis toujours contente quand des auteurs français s'essayent à ce genre là. Je regrette juste que l'auteur est choisi de faire partir son héroïne au Canada anglophone. Pourquoi pas une histoire dans les contrées de ses origines ? Non pas que j'ai quelque chose contre le Canada qui reste un très beau pays. Bref, belle découverte, pleine de légèreté, de fraîcheur, tout en fluidité !
Ce que je trouvais néanmoins intéressant, c'était l'environnement des courtisans et courtisanes qui évoluent dans une largesse culturelle, religieuse et politique. Cette histoire possède sa propre mythologie, ses croyances, et j'adore la place qu'elle a dans l'univers.
A partir du moment où Phèdre mûrit et commence à être embarqué dans quelque chose de plus grand que ce qu'on aurait pu imaginé, j'ai commencé à être captivé de bout en bout par l'intrigue qui ne manque pas d’obstacles entre conspiration, trahison et sensualité. L'auteur a crée une véritable épopée, à la fois grandiose, dense et parfaitement pensée.
Mais honnêtement, je ne pense pas poursuivre. Je ne me vois pas, du moins pour l'instant, continuer ce pavé et cette plume exigeante, qui n'ont pas été le coup de cœur même si la qualité est indéniable.
Ou peut être plus tard.
J'aime les vikings... mais certainement pas ceux de Michelle styles.
Dans celui-ci, on se retrouve pour la toute première fois hors des murs d'Atlanta. Changement décor : direction l'Europe sur les rives de la Mer Noire, logée chez les meutes changeformes du pays, mais où que Kate aille, les ennuis la trouvent toujours. Son sang n'a pas fini de couler.
Ce presque huit-clos fait froid dans le dos. La tension monte crescendo, créant une atmosphère oppressante et lugubre. Les péripéties sont d'autant plus passionnantes.
Pour moi, ce tome est émotionnellement intense. Rire, joie, mais surtout incompréhension, rage, colère, chagrin, appréhension, peur, douleur, tourment et encore colère. C'est le coup dur pour Kate. Mais celle-ci, toujours forte, garde la tête hors de l'eau, pour la Meute, pour ces adolescents qui risquent à tout moment de tourner Wolf et d'être abattus, pour le Panacée, pour l'avenir. Elle ne pleure pas, ne se plaint pas, ne fait pas de scène. Elle encaisse durement, se repliant sur elle-même, seule, fragilisée, mais n'a pas le temps pour s'occuper de ses états d'âmes alors elle ne lâche jamais son objectif des yeux. Le Panacée. Elle garde son sang froid alors qu'elle se fait insulter violemment par les meutes, qu'on ne la respecte plus, qu'on ne la voit que comme une petite humaine sans défense et une femme qui va vite dégager dans la vie de Sa majesté des Fourrures. Ça me m'était tellement en rage... d'autant plus que c'est de la faute de Curran. Ses agissements m'on causé de nombreux pincement aux cœurs... et des envies de lui foutre mon poing dans la gueule ! Bien qu'elle revête son masque de dur à cuir, Kate dévoile une facette fragile : elle doute d'elle-même, s'interroge sur sa relation avec Curran, se questionne sur sa position d'humaine dans la Meute. J'ai d'autant plus aimé les personnages secondaires qui lui montrent que peu importe sa nature, elle fait partie de la Meute, notamment Barnabas et Mahon. Leur soutien m'a touché.
Magic Rises, bien qu'il y est toujours beaucoup d'actions et de combats sanglants, repose plus sur le drama. C'est merveilleusement bien traité. La fin m'a subjugué. L'émotion a explosé. Fureur, désespoir, doute ont jailli du tréfonds de la montage et de ses eaux glacées.
Bref, c'était énorme et j'ai hâte de lire la suite, d'autant plus que cette fin m'a laissé sur ma faim !
Au final, c'était bien, mais pas transcendant non plus. Certains passages me paraissaient trop long et carrément répétitif (notamment les scènes de courses poursuites où ils n'arrêtent pas de se scratcher, tomber, se relever, conduire, accélérer, se scratcher, tomber, se relever...) Ca tirait en longueur. Dommage.
Clairement, c'est une déception. Quand j'ai vu le nombre d'éloge au début du bouquin de la part des rédacteurs, je me suis dit "ça, c'est une source sûre" ! Tu parles !
Cette histoire de princesse échangée... elle geint, elle pleure, elle crie, parce qu'elle est devenue une princesse ! C'est triste à dire mais parfois je trouvais Wendy sérieusement pathétique. J'aurais aimé qu'elle comprenne l'enjeu, peut être pas au début, mais plus rapidement que ça. Qu'elle se reprenne en main. Qu'elle tienne tête. Voir qu'elle ait envie de pleurer à chaque fois que ça véritable mère osait lui adresser la parole m'a plus agacé qu'autre chose. Ainsi que son amour pour Finn. Pas de méprise, j'aime cette histoire d'amour impossible, mais ce qui est horripilant, c'est de l'entendre supplier Finn de rester. Où est passé la dignité dans tout ça ?
Sinon, j'ai aimé le fait qu'on change de camp. Fini les vampires, loup-garous, sorcières et compagnies, place aux trolls ! Malheureusement, c'est le personnage de Wendy qui m'a un peu noirci tout le tableau. Je l'ai trouvé trop horripilante. Peut être change-t-elle par la suite, j'ai des doutes mais peut être lirai-je la suite, ne serait-ce que par curiosité, mais ce n'est pas du tout un coup de cœur. Cette trilogie me fait penser à Alera de Cayla Kluver. Il y a quelques similarités, dont les deux héroïnes qui ne prennent pas leur royauté au sérieux.
Ce que j'ai bien aimé, c'est les rebondissements. “Ne faire confiance à personne”, a dit le père de Cia. Elle devrait mieux l'écouter... parce que nombreux sont ce qui joue un double jeu.
La suite m'a l'air intéressante mais je ne suis pas non plus en détresse profonde de ne pas la lire sur le champ. C'était captivant mais j'en attendais d'avantage. Il n'y a clairement rien d'innovant dans "L'élite".
Premièrement, je vais parler des personnages. Dans ce genre de bouquin, on retrouve toujours un peu le même scénario avec la fille orpheline qui rencontre LE beau gosse qui va lui montrer que le fantastique existe bel et bien... les caractères des héros font donc d'autant plus la différence et pencher la balance.
Ma première impression a été de penser que Cassiopée était une fille douce, réservée, timide, qui ne peut avoir recours à la violence sans s'effaroucher pendant une heure... j'étais très loin du compte ! C'est une véritable furie cette nana ! Prête à exploser au moindre faux pas. A peine on l'attaque, elle se jette sur vous. Si on se risque à l'énerver, elle pique une crise de nerf et vous rend la monnaie de sa pièce. Au fil du livre, elle nous dévoile sa langue bien pendue et ses répliques sarcastiques et acerbes qui ne manquent pas de jaillir ! C'était carrément vivifiant de suivre ses pensées. Bref son caractère bien trempée est un énorme plus !
Puis il y avait le canon Gabriel... qui a le dont de mettre Cass dans tous ses états ! Et je dis bien tout. Car leur relation ressemble beaucoup à “de la haine à l'amour, il n'y a qu'un pas”. Ils ne cessent de se lancer des piques et de se regarder en chien de faïence... du moins au début. Pour un temps, Gab nous montre sa facette qu'il réserve aux inconnus : mépris et arrogance, puis petite à petit, il se dévoile plus doux et tendre, sans jamais se départir de son humour. Il reste de nombreux mystères à élucider sur lui, mais je compte bien dévorer le second tome pour les découvrir !
J'aimerais aussi parler de la petite bande de Cassi : je les adore ces mecs ! J'aime toujours quand il y a une bande unie, qui chacun se moque des uns des autres mais qui au besoin sont toujours là dans les moments difficiles. Arthur, Ethan, Michael... des amours ! Bref.
Pour ce qui est du surnaturel... j'ai beaucoup aimé l'idée de l'auteure ! Chacun avec différents Sens, ailes, dans un village assez féerique. Même si pour la première partie, on ne se retrouve pas du tout dans ce cadre ! En effet, d'abord dans un orphelinat (ce qui est rare... non pas le fait que l'héroïne est perdue ses parents, mais qu'elle ne loge pas chez une autre parente quelqonque, genre la grand-mère), puis... à la rue, livrée à elle -même ! C'est là qu'on voit que la gentille petite Cassiopée est en réalité une Wonder Woman, munie de son Taser. Elle s'adapte très bien à toutes les situations et ne manquent pas de ressources.
Après vient la partie “village enchantée” où on va lui apprendre à se servir de ses Sens. J'avoue que ça m'a un peu désarçonné et déçue car je me suis dit “oh non, on dirait qu'elle retourne au lycée” (jusqu'à présent j'avais beaucoup aimé le côté “en liberté”) mais finalement, je me suis rendue compte que ce n'était pas plus mal ! (La bande y est pour quelque chose...)
Concernant la plume de l'auteure... je l'ai trouvée captivante. Elle m'a charmé. J'avais toujours envie de lire plus, encore et encore, et avec sa touche d'humour, c'est un régal !
Bref, je trouve que Les ailes d’émeraude est amazing. Je suis sûre qu'il aurait été l'une de mes premières lectures dans le young Adult, j'en aurais été folle ! Je me jette sur le second tome illico... mais attendez ? Il n'y en a pas !! On veut la suite !
Dans Puissante, nous suivons une autre épopée avec toute la bande réunie à mon plus grand plaisir : Loren et Quain qui se chamaillent comme à leur habitude, Flea qui s'y met, Belen toujours le grand Papa Ours, Kerrick amoureux plus que jamais de sa belle... Avry, toujours fidèle à elle-même, à guérir les gens au péril de sa vie. Bien que souvent séparés à cause de la Guerre et d'autres complications (pour ça, il n'en manque pas...), Kerrick et Avry sont adorables ! Ils partagent des moments tendres, sans être mielleux et guimauves pour autant, et font chavirer mon petit cœur.
A peine avais-je fini cet ultime tome que j'ai relu le premier tome qui garde malgré tout la première place (je l'ai relu tellement de fois !). Bref cette trilogie est un gros, énorme, gigantesque coup de cœur !
Daemon... je suis sûre qu'il va plaire à un très grand nombre de filles ! Il me fait un peu pensé à Patch dans Les Anges Déchus. Bad boy, bien foutu (évidemment..), arrogant et détestablement attirant. Perso, son personnage ne m'a pas paru transcendant. Ni l'histoire en fin de compte, mais ça reste sympathique dans les grandes lignes.
Ce n'est pas un coup de cœur (et je ne m'étais pas attendue à ce que le soit) mais j'ai quand même beaucoup apprécié ma lecture. Seulement, petit à petit, le YA m'indiffère de plus en plus...
Sophie en mode syndrome de Stockholm, m'a beaucoup étonné... c'est une femme séduite par les plaisirs charnels et se débarrassent très vite des convenances de son rang.... mais qu'en ai-t-il de ce dieu ? A quoi il sert, hein ? A part donner un côté SM ?
Bref, ce genre de roman qui combine culture exotique et sauvage, et sensualité pourrait très bien me plaire... mais celui-ci est trop court. C'est d'avantage une nouvelle.
Tout d'abord, c'est vrai que c'est long. A mon avis trop de "péripéties" pour pas grand chose.
Il est vrai que Catherine Fisher a su créer un univers différent et novateur. Mais honnêtement, il ne m'emballe pas plus que ça. Peut être que c'est la personnification de la prison qui me dérange....
Pour ce qui est des personnages, seul le directeur m'a plu. C'est le plus complexe, le plus étonnant, le plus touchant. Du reste, j'ai trouvé les "héros" assez fades, peu charismatiques. Je vois Claudia comme une princesse pourrie gâtée, arrogante, égoïste, hautaine, mais qui tente de s'en persuader du contraire. Elle m'insupporte plus qu'autre chose.
Tandis que Finn... il est bien mignon mais je trouve qu'il passe beaucoup au second plan, il est assez effacé.
C'est dommage...
Les personnages sont uniques et géniaux. J'adore Kaleb. J'adore le père de Kaleb. J'adore le colonel fou qui veut s'en prendre à Kaleb. J'adore la fille pathétique qui s’accroche à Kaleb comme une sangsue alors qu'elle sait qu'elle ne devrait pas. J'adore la fille qui a le pouvoir d'hypnotiser Kaleb de ses charmes. Chacun a ses propres défauts mais ce qui me plait encore plus, c'est qu'ils sont soulignés, mis en évidence. Les personnages n'ont pas une apparence lisse, une façade parfaite. Ils sont authentiques et véritables.
J'ai adoré la noirceur et la détresse de Kaleb ; la sensualité bien rare dans les romans de YA ; l'action qui rythme les rues de Paris ; la tension et l'émotion qui m'a gagné ; les révélations toutes - ou presque - inattendus.
Kaleb, c'est explosif. C'est les enfants du Volcans.
J'aimerais lire d'avantage du roman du même style mais encore plus sombre !
Bref, en tous cas c'est toujours drôle, bourré d'actions, de suspense ! J'ai été captivé du début à la fin.
Je ne peux pas pas écrire un commentaire sans mentionner mon personnage préféré... Hector. Je sais c'est bizarre. Mais je l'adore ce majordome !
J'ai très très envie de décourvrir la suite, notamment par rapport aux secrets de ce vampire qui n'en ai finalement pas un...
Je pourrais facilement le relire à l'occasion (alors que c'est pas trop mon genre de relire).
Un petit coup de cœur !
Puis quand enfin Lorenzo se rend compte de ses actes... il s'excuse et il est pardonné. Comme ça. C'est tellement facile. A couper le souffle cette romance...
Non franchement ne vous infligez pas ça.
Bien sûr, on garde la même trame, commune à ce genre de livre, mais une fois de plus je me suis laissée emportée par ces highlanders !
Les personnages sont attachants : tous les deux gentils, généreux, adorables. Eveline ne vit pas des choses faciles mais elle reste forte.
Bref, c'était une bonne lecture !
De plus, j'ai su direct avec qui je voulais que Naomi finisse mais il faut attendre les derniers pages - et encore - pour qu'enfin, ils soit réunis et laissent sous entendre une relation plus qu'amicale.
C'est un livre sympa mais sans plus.
Aliette Renoir, c'est un vrai baume au cœur. Un véritable remontant contre la déprime et accessoirement, un petit coup de cœur qui s'accentue encore plus dans ce tome 2 ! Chipie et L'andouille, Sitry et son sex-appeal, Plume et Camembert, le tout dans une ambiance à la fois caliente et grave, dans des temps bien sombres de l'histoire de l'Humanité, tout ce merveilleux cocktail pour me plonger dans le Paris des années 40, côtoyant SS et vampires. Un choix osé que j'apprécie particulièrement ! Ça change des habitudes de l'Urban Fantasy et j'en suis plus que ravie.
L'humour cocasse est toujours au beau fixe. Et ça, c'est bien grâce au caractère espiègle et attachant de notre chère Aliette. Elle se classe sans aucun doute dans mon top des meilleures héroïnes, au côté de Kate Daniels, Charley Davidson, Cat, Clary, Rose Hathaway... enfin bref, je vais pas vous en faire la liste complète. Elle fait des tas de boulettes, tout en étant rusée, elle a peur de beaucoup de choses, tout en faisant preuve de courage, elle est pleine de vie, à la fois souriante et drôle, tout en ayant ses parts d'incertitudes et de sensibilités, et surtout, ses répliques sont divines tout comme le fil de ses pensées qui ne manquent pas de me faire sourire ! Elle a gagné en assurance dans sa condition de vampire qu'elle mettait en doute dans le premier tome, cependant ici, c'est son passé étonnamment douloureux qui la fragilise et je l'avoue, m'a attendri ! Bref, j'adore ce petit bout de femme pétillante et vivifiante. Bilan : Charisme 100% !
En parlant de charisme, Lawrence et Sytri n'en manque pas non plus ! Le trio infernal font monter la température et se gave d'échanges succulents.
Dans le premier tome, mon premier choix s'était porté sur Lawrence, qui a le même caractère qu'Aliette et me faisait tout simplement craquer, à tel point que je ne voulais même pas entendre parler de Sitry (mon aversion habituel pour les triangles amoureux y est sans doute pour quelque chose). Mais ma rencontre avec ce dernier a changé la donne, et mon cœur s'est mi à balancer dangereusement vers le beau prince, au grand dam de l'adorable créateur.
Mon jugement se confirme dans ce second tome. Comment ne pas craquer pour le succulent (et ô combien âgé) Sitry qui se dévoile toujours un peu plus ? Je suis conquise ! Même si j'aime toujours Lawrence qui présente une mine plutôt sombre dans ce tome-ci et il faut le reconnaître, est beaucoup plus effacé. La fin laisse présager des problèmes quant à ce triangle amoureux... j'ai hâte ! Surtout qu'on change de décor...
En tous cas, je suis fan de ses aventures captivantes et addictives de cette petite blondinette. Je dis bravo à Cecilia Correia, auteur française (et oui, il n'y a pas que les amerloques qui savent manier le paranormal !), et merci pour ce moment de plaisir pur. J'espère que la suite ne tardera pas à sortir. J'en frétille d'avance.