Commentaires de livres faits par Amelrin
Extraits de livres par Amelrin
Commentaires de livres appréciés par Amelrin
Extraits de livres appréciés par Amelrin
Il faut dire que, comme souligné dans la critique du premier tome, je m'étais retrouvée un peu perdu pour toutes les nouvelles informations que je devais acquérir mais en même temps tenter de comprendre par moi-même. Ici, avec Torque et Rya, on découvre de nouvelles espèces de Fae, mais aussi une façon différente d'appréhender les actions et réactions des dragons ; ce qui n'est désormais plus dérangeant, puisque tout ce dont nous avons besoin de savoir nous est maintenant servi sur un plateau en argent au fur et à mesure que nous avançons dans l'histoire. C'était donc un plaisir pour moi de me plonger dans cet univers spin-off de la série du même auteur Les Gardiens de l'Eternité.
J'ai eu quelques réticentes à continuer ma lecture à la fin du premier tome, mais en dépit du fait que seul l'histoire de l'enlèvement m'est dérangé, c'est l'attitude de Julian qui je voulais à tout prix décrypter. Ce type est une énigme. Heureusement, le deuxième tome nous en dévoile un peu plus sur ses sentiments et rapidement on comprend que, sous ses airs psychotiques et son masque de tueur en série, Julian est capable d'aimer. Peut-être pas d'un amour dont pourrait faire preuve toute personne sainte d'esprit, mais c'est de l'amour tout de même.
En ce qui concerne Nora, elle m'a paru fade et rapidement résignée à son sort dans le premier tome. Mais on voit en réalité qu'au deuxième, tout ce que Julian lui a fait subir l'a fait grandir, et elle est devenue de plus en plus intéressante. J'ai beaucoup aimé certains moments où elle analysait particulièrement le comportement de Julian et comment celui interférait sur elle-même. On suit l'évolution de son amour pour lui au travers des trois tomes.
Ce qui m'a déçu par contre, c'est la déclaration d'amour de Julian. Je l'ai trouvé vraiment bâclé, j'aurai pensé qu'il aurait un peu plus résister... Ou qu'il aurait eu peur, en vérité. Mais je me suis rendue compte par la suie que Julian n'avait pas peur d'aimer, mais de perdre cette personne chère à ses yeux (en rapport avec son passé). Donc, je pense que l'auteur aurait dû un peu plus approfondir cette déclaration.
Et l'épilogue n'en parlons pas... Trop de questions en suspens, c'était court et nous n'avons pas eu plus d'informations que cela. Et Peter???
M'enfin, j'ai tout de même bien aimer cette trilogie. A relire pour se faire plaisir !
Enfin, un bouquin simple et sans prise de tête pour passer le temps mais pour ma part, à ne lire qu'une seule fois.
C'est une histoire calme, pas plus recherchée que cela et avec un brin de péripéties - vraiment le minimum, en réalité. Justine, une adolescente de 16 ans, est toute excitée : un nouveau voisin va bientôt emménagé au rez-de-chaussée de la Maison Bleue (une maison où chaque étage est divisée en appartement). Dans ce premier tome, on va la suivre seulement au travers d'une ou deux semaines. Thibault, le nouvel arrivant, va intégrer l'histoire au troisième ou quatrième chapitre, je ne me souviens plus. C'est à partir de ce moment-là que ça devient intéressant.
Justine m'a beaucoup fait rire. C'est une intense fleur-bleue et elle réussie toujours à se mettre dans des situations hilarantes. Comme avec Patou...
Concernant Léa, je l'ai adoré ! Plus que Justine, d'ailleurs ! Elle est à part, sort littéralement du lot et son esprit m'a fasciné. Peut-être à cause de la magie, on ne sait jamais...
Nicolas est un personnage intéressant, parce qu'il donne l'impression de s'en foutre de tout, mais on se rend vite compte qu'en réalité, il peut lui aussi être atteint de la maladie de l'amour...
Par ailleurs, on ne connait pas plus Jim que cela. C'est un garçon mal dans sa peau, on l'a très vite compris, mais il n'est pas plus approfondi que cela. Peut-être dans le prochain tome? Vu comment c'est parti avec Justine, je crois bien qu'on va beaucoup s'y intéresser par la suite...
Et bien-sûr, comme dans toute histoire remplie d'adolescents, il nous faut une peste - ou une garce, comme vous voulez. Ingrid est la bimbo du groupe et joue très bien son rôle, vraiment.
Pour finir, il ne nous reste plus que le personnage essentiel : Thibault. Il est mystérieux, poli, un peu à l'écart et pas très présent mais on comprend très bien que toute l'histoire va tourner autour de lui et Justine.
On verra bien dans le prochain tome...
Attendez faut qu'on m'explique : Molly semble être une jeune femme timide à première vue, posée et semble savoir ce qu'elle veut, jusque là tout va bien. Elle décide de ne pas s'approcher de Fox et on croit comprendre que ce n'est pas une fille qui aime les coups d'un soir, ok. Mais la plus grosse blague, c'est quand elle accepte de coucher avec Fox pour sa PREMIERE fois et oh, attendez, un petit tour à l'épicerie du coin avant pour acheter des capotes !
Fox voit Molly pour la première fois, il ne lui a même pas parler et il sait déjà qu'il va finir sa vie avec elle? Ok pour le coup de foudre, mais faut pas pousser mémé dans les orties tout de même. Et attention, à la fin ! Vous risquerez de laisser échapper une petite larme...... Comme vous vous en doutez, c'est de l'ironie. Un p'tit coup de blues et tout se résout tout seul, ils n'ont qu'à croiser les bras. Non, mais c'est une blague quoi ! Et la demande en mariage, mon dieu ! Mais était-ce vraiment ça? J'me pose encore la question.
Je veux bien, j'aime beaucoup la plume de Nalini Singh mais cette histoire est ridicule. J'me suis dis : d'accord, elle va peut-être faire quelque chose de différent ? Ajouter son petit plus? Mais rien du tout. L'histoire est plate à mourir, une tonne de sexe à tout va et un amour pas crédible, presque grotesque. Les seuls qui m'ont plu étaient les personnages secondaires et j'attends plus, bien plus d'eux.
Ce livre m'a charmé. Les deux personnages (même s'il faut le dire, je n'aime pas trop les gnangnans), sont bien plus attachants que ce que j'aurai cru et j'ai beaucoup aimé Damon (rien que le nom, raah) ! La trame est super bien mené, l'auteur ne laisse aucune émotion de côté et les retranscrit facilement.
Mon coup de coeur a été la fin : certaines personnes pourraient dire que l'histoire s'est fini trop vite et qu'un épilogue en deux-trois pages n'était pas assez long. Mais je vois plutôt ça comme "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". Je ne sais pas, peut-être que ma facette romantisme réapparaît aha?
Hâte de passer à la suite.
Je reste mitigée quant à l'avis que je donne sur ce livre, mais j'ai tout de même passé une bonne lecture.
Eh bien, je ne m'attendais pas à ça.
Driven est un livre que j'ai acheté sur un coup de tête, à vrai dire. La quatrième de couverture me plaisait bien et il était juste sous mon nez. Je n'ai pas pu résister et, en plus de la trilogie Cinquante Nuances, je suis repartie avec cette merveille. Je ne regrette absolument pas. Il faut dire que l'histoire commence fortissimo et qu'elle nous tient en pâmoison du début à la fin.
Le commencement est assez intéressant, parce qu'il nous met directement en scène et nous dévoile également une partie cachée de Rylee. Celle-ci est coincée dans un placard et panique. Nous pensons alors qu'elle ne se sent juste pas bien dans les endroits clos, mais on se rend très vite compte qu'il y a une raison à sa réaction excessive. Rylee est une jeune femme forte et tempérée qui se refuse le droit d'avancer dans la vie. En tenant compte de son passé et du fait qu'elle s'en veut, elle pense qu'elle ne mérite pas d'être heureuse et de rencontrer quelqu'un à nouveau.
Colton lui, est un homme tourmenté par son passé, dont on ne sait rien du tout. Il enchaîne les conquêtes, donne l'impression qu'il se fou de tout — alors que ce n'est pas le cas — et est le garçon le plus compliqué que Rylee n'ait jamais rencontré. Colton pense qu'il ne mérite pas l'amour et au fil de l'histoire, on comprend alors qu'il s'est passé une chose très grave dans sa vie.
La fin est triste et nous brise le cœur. Personnellement, j'étais à la cafét' lorsque je l'ai terminé. Et je peux vous dire que je me suis perdu dans mes pensées une bonne dizaine de minutes avant de revenir à moi. J'en suis restée bouche-bée. J'attends avec impatience de pouvoir m'acheter le deuxième tome et de continuer à dévorer cette histoire.
Sinon, le style est plutôt fluide et K. Bromberg enchaîne sans laisser une miette de côté. Les émotions des personnages sont retranscrits à la perfection et elles nous atteignent en plein cœur. C'est surprenant tout ce que j'ai pu ressentir grâce à ce livre. J'en suis littéralement tombée amoureuse.
Un tome qui surpasse les trois que j'ai déjà lu, et mon dieu! La fin !
Je suis bouche-bée.
Il faut dire que depuis le premier tome déjà C. Neill m'avait conquise, mais là! Je suis une accro des métamorphes, surtout ceux qui se changent en loups-garous (La Meute du Phénix) ou autres. Alors là, lorsqu'elle mélange vampires, métamorphes, jeux politiques et trahisons, je suis on ne peut plus que sous le charme.
Ah, cette bonne vieille Merit. On sait maintenant son vraie prénom (que je ne dirai pas pour ceux qui n'ont pas encore lu). Je l'aime de plus en plus, notre Sentinelle. Elle devient sûre d'elle, confiante entre ce qu'elle croit être juste ou mal et plus forte encore. Elle grandit au sein de son nouveau monde, et même si elle n'était pas censé être un vampire, ça lui va plutôt bien aha.
Ethan Sullivan. Sullivan, comme Merit l'appelle. Celui-là, il m'intrigue. J'sais bien que ça fait une éternité qu'il n'est plus humain, mais quel trou du c*l quand même ! Rah, j'y crois pas. Il ne sait pas ce qu'il veut. Ou si, il veut ce qu'il y a de meilleur pour sa Maison, même si cela doit entraver son bien à lui, et par conséquent, celui de Merit. Mais rah, je suis tourmentée, parce que d'un côté, je le comprends. De l'autre, j'aimerai beaucoup lui enfoncer une fourchette dans la langue pour lui éviter de prononcer le moindre petit mot qui ferait encore plus mal à Merit. Mais soyons réaliste, je ne désespère pas, ils finiront ensembles, même si Merit doit lui botter le popotin deux ou trois fois pour qu'il comprenne qu'elle représente son humanité perdue en vérité et qu'il ne doit pas laisser passer sa chance.
Gabriel est un personnage étrange pour lequel — malgré la fin qui m'a fait froid dans le dos, je me suis attachée.
Dans ce tome numéro 3, C. Neill augmente d'un cran, ce qui n'est pas pour nous déplaire ! Je suis impatiente de passer au prochain opus de cette saga pour voir où tout cela nous mène !
Nous savions d'ores et déjà que Dmitri allait être un personnage très complexe, autant pour la froideur et la violence contenu dans son regard, que pour l'histoire qu'il représente en lui-même. Son personnage est très bien travaillé et j'ai été conquise par lui.
Honor par ailleurs m'a littéralement bouleversé ! Mon dieu, bien que les étapes qu'elle traverse pour se remettre de son kidnapping sont assez confuses, j'ai été plus qu'ému par son histoire. Il n'aura fallu que d'une légère altercation avec Dmitri pour qu'elle se remette sur les pieds mais malgré tout, la façon dont elle se remet de tout ça est parfaitement réaliste. C'est juste que tout s'est passé si vite, qu'elle a enchaîné les étapes de réhabilitations trop rapidement pour moi, je suppose.
A part ça, on ne va pas se mentir, N. Singh nous a bien fait languir quant à l'attirance que les deux personnages éprouvent l'un envers l'autre. Ici, le sexe n'apparaît que vers la fin, ce qui m'a beaucoup surprise. J'aurai même cru le voir apparaître plus tard, compte tenu de l'histoire d'Honor. Et heureusement, grâce à l'intrigue qui se déroule autour d'eux, le livre en soi n'a pas été basé que sur l'attirance de nos deux protagonistes (comme dans tous les tomes, il faut le dire. Mais le fait est qu'ici, la relation Dmitri/Honor ne dure qu'un tome, tout est parfaitement bien géré!)
En clair, cette série est addictive.