The Bosshole, Tome 3 : Amoureuse de l'ennemi
Auteur
- Mia Faye (Écrivain)
Série
The Bosshole (6 livres)Acheter d'occasion
Classement en biblio - 110 lecteurs
Commentaires récents
Quel ennui ce livre…. Aucun rebondissement, aucun suspense, l’histoire n’est pas approfondie tout se passe vite… bof bof…
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j'adore ces livres qui sont de petites histoires romantiques, érotiques, entre des milliardaires et des jeunes femmes qui cherchent à survivre.
Des histoires aussi surprenantes les unes que les autres.
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Livre que je n’ai pas lu jusqu’à la fin.
L’héroïne le déteste et finalement oublie tout 5 minutes après.
Je ne parle pas du Andre, méprisable au plus haut point.
La relation me paraissait trop malsaine pour que je continue à le lire !
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Peu être pas Le roman de l'année mais un bon moment de lecture passée. L'héroïne est attachantes, je m'attendais à plus de repartie entre les deux personnages.
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Un bon moment bien sympa, je m’attendais à du cucul la praline comme on dit mais cette histoire a su tenir son rythme du début à la fin, et franchement j’ai passé un très bon moment
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Bon livre, mais sans suspense et les personnages méritent un chouïa plus de développement
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Ce n'est pas la pépite du siècle, loin de là. L'histoire est relativement décousue et improbable.
Le personnage féminin est cependant attachant.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Activité récente
Titres alternatifs
- Loving the Enemy - Anglais
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Résumé
Merci pour la nuit. — André
C’est le mot que je trouve à mon réveil sur la table de nuit de l’hôtel, où m’attendent également un malheureux muffin et un verre de jus d’orange.
Et rien d’autre. Pas de numéro de téléphone, pas de message.
Je ne connais même pas son nom de famille ni l’endroit où il habite.
Vraiment? On manque de casser le lit king size à deux reprises, et mon coup d’un soir ne prend même pas la peine de me dire au revoir?
J’espère sincèrement ne jamais revoir ce crétin de ma vie.
Mais il semblerait que l’Univers ait d’autres projets pour moi.
Car devinez qui se révèle être mon nouveau patron?
Je vous le donne en mille, monsieur le beau gosse en personne.
Je crois que je préférerais encore me faire arracher une dent sans anesthésie que de continuer à être son assistante.
Il est froid, arrogant et exigeant, et rien de ce que je fais ne semble assez bien pour lui.
Si je n’avais pas désespérément besoin d’argent pour payer mes études, je n’attendrais pas une seconde de plus pour démissionner.
Et puis, l’impensable finit par se produire.
Lorsque le cinquième test de grossesse affiche deux lignes verticales, il me faut faire face à la réalité:
je porte le bébé de mon ordure de patron!
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