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Avril brisé



Description ajoutée par saltanis 2010-09-29T17:22:10+02:00

Résumé

L'Albanie au début du XXe siècle.

Sur le Plateau de la Mort sévit le Kanun, ou droit coutumier, recueil de lois ancestrales qui régit toute la vie des montagnards. En vertu de ces lois, Gjorg Berisha a " repris le sang " de Zef Kryeqyqe, quarante-quatrième victime d'une vendetta qui dure depuis soixante-dix ans. Après son crime, il a obtenu la " grande trêve ", trente jours avant d'être tué à son tour ou d'aller s'enfermer dans une des " tours de claustration " qui rappellent, sur le Plateau, la pérennité des lois du sang.

En contrepoint, le voyage de noces de Bessian Vorpsi, écrivain mondain, fasciné par le Kanun, qui se trouve brusquement confronté sur le Plateau à une réalité bien différente de celle que dépeignent ses livres. Dans une prose dense excluant l'image gratuite, le grand écrivain Ismail Kadaré décrit le mécanisme du Kanun, ses fondements idéologiques et économiques, et sa répercussion sur ceux qu'il frappe, directement ou indirectement.

Cette reédition de l'ouvrage propose une version notablement revue et corrigée par rapport à celle de sa première publication en France, datant de 1982.

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Classement en biblio - 28 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Biquet 2012-03-18T19:35:48+01:00

Vos livres, votre art, sentent tous le crime. Au lieu de faire quelque chose pour les malheureux montagnards, vous assistez à la mort, vous cherchez des motifs exaltants, vous recherchez ici de la beauté pour alimenter votre art. Vous ne voyez pas que c'est une beauté qui tue.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Stephanie-61 2023-01-14T09:13:29+01:00
Bronze

Sortie totale de ma zone de confort avec ce livre. Je dois avouer que jusqu'ici je n'ai guère apprécié la littérature des pays de l'Est. C'est toujours sombre, froid, avec des paysages désertiques, et les sujets tournent souvent autour de la mort, l'ambiance est toujours lourde et triste, mais comme je ne désespère pas d'en trouver un différent je persévère dans ma quête. Ca ne sera pas encore pour cette fois, j'avais choisi ce livre parce que j'aime les histoires de vengeance, mais là cette vendetta n'est qu'une série de meurtres organisée selon les règles d'un vieux code de conduite qui régit toute une région. Et alors que dire du couple de jeunes mariés qui parcourent la lande montagneuse et désertique, bah rien parce que cette partie ne sert à rien pour moi, idem pour le chapitre sur l'intendant du sang. Alors je ne suis pas déçue parce que je n'attendais rien de précis sur ce livre, et bien qu'il m'ait fallu presque une semaine pour venir à bout des 215 pages, j'ai apprécié la plume de l'auteur, mais le contenu de l'histoire ne m'a clairement pas plu.

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Commentaire ajouté par rabanne73 2022-09-14T16:34:21+02:00
Pas apprécié

J'avais peu apprécié ce roman étudié au lycée, et encore moins l'adaptation cinématographique tirée de cette oeuvre. Le style lent et épuré de l'auteur ne m'avait pas séduite, malgré le message contestataire contre des traditions séculaires absurdes et destructrices.

C'est l' histoire tragique deux destins brisés (celui d'un montagnard et d'un écrivain) sous le joug de la Kanun, équivalant de la vendetta corse mais dans l'Albanie du XXème siècle, où le l'honneur ne se lave qu'au prix du sang versé...

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Commentaire ajouté par CatherineP6 2019-08-15T01:01:48+02:00
Diamant

Dans les montagnes albanaises, le jeune Gjorg hérite d’une vendetta qui touche sa famille depuis plusieurs décennies : il doit tuer un homme pour venger la mort de son frère, puis se soumettre à son tour à une nouvelle reprise du sang. Traqué, sa seule possibilité d’échapper à une mort certaine qui le saisira un jour au détour d’un chemin, est de se réfugier dans une tour de claustration. Dans le même temps, un jeune couple en voyage de noces visite cette région aux traditions tellement éloignées de la vie moderne de Tirana. Il est écrivain et animé par la curiosité pour cette loi ancestrale du talion. Elle ne comprend pas cette fascination et est révoltée par cette tradition. Elle finira par s’immiscer, forcement de manière tragique, dans le destin de Gjorg.

Kadaré est le premier auteur à abandonner la vision romantique de la vendetta et de ses prétendus héros, pour en montrer toute l’absurdité et l’horreur. Il apostrophe son personnage, le jeune marié : « vos livres, votre art, sentent tous le crime. Au lieu de faire quelque chose pour les malheureux montagnards, vous assistez à la mort, vous cherchez les motifs exaltants, vous recherchez ici de la beauté pour alimenter votre art. Vous ne voyez pas que c’est une beauté qui tue. »

Ecrit en 1978, ce récit qui se déroule en 1930 est d’une beauté intemporelle.

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Commentaire ajouté par myritille 2016-05-07T13:18:29+02:00
Lu aussi

Dans la librairie il avait un petit mot sur ce livre qui en faisait l'éloge, alors bon, je l'ai pris les yeux à demi fermés. Je n'aurais sans doute pas dû. Peut-être que je n'ai pas la maturité pour lire ce livre, je n'en sais trop rien. Je ne l'ai d'ailleurs pas fini, car on ne sait jamais que dans 20 ans je le trouve j'aurais encore l'intrigue à découvrir.

Découvrir les coutumes d'une autre culture m'a bien plus mais j'ai trouvé que tout était long et l'écriture trop peu fluide à mon goût.

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Date de sortie

Avril brisé

  • France : 1982-12-01 (Français)

Activité récente

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 28
Commentaires 4
extraits 5
Evaluations 6
Note globale 7.5 / 10

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