Lettres portugaises

J'ai bien aimé ce livre, cependant je m'attendais à quelque chose d'encore au-dessus. Bien que l'écriture de Guilleragues soit très belle, je n'ai pas réussi à ressentir comme je l'aurais voulu le désespoir de Mariane. Sa plume manquait d'images et de belles métaphores. De plus, les cinq lettres sont assez courtes, ce qui fait qu'on a du mal à être totalement immergé dans l'histoire.

Ce fût une très bonne surprise, j’ai beaucoup apprécié ce roman espitolaire.

C'est une lecture obligatoire pour l'un de mes cours et j'ai eu beaucoup de mal à lire ce livre.

Il est assez court mais malgré cela il m'a fallut plus de dix jours pour le lire. Les lettres de Mariane sont très belle à lire et elles parlent principalement des sentiments de cette dernière. Au cours de ma lecture, je n'avais pas vraiment l'impression que Mariane était passionnément amoureuse de son chevalier français. Pour moi, elle semble plus amoureuse de sa passion que de l'homme en question.

Dans mon édition, il y a d'autres lettres écrite par une autre femme. Tout d'abord, j'ai préféré ces lettres à celles de la religieuse portugaise. Je pense que la principale raison pour laquelle je préfère ces lettres, c'est que la jeune femme semble réellement amoureuse. Elle est très jalouse et sa relation amoureuse est plus largement évoquée.

J'appréhendai cette lecture (imposée) en raison du genre et surtout de l'époque, mais ce fut finalement une agréable surprise. Si j'ai effectivement eu du mal à arriver au bout de la première lettre, les quatre suivantes sont passées comme une lettre à la poste ! La plume de Guilleragues est magnifique et il parvient à mettre les mots sur la détresse de la religieuse abandonnée à la perfection. C'est une belle lecture.

Des lettre courtes certes mais qui pour ma part ne m'a pas trop intéresser. Je trouve aussi que la présentation est mal faite , puisque que l'on ne sait pas qui écrit les lettres et pour qui, pour cela il faut lire la préface et je trouve cela pas top. Mais cela n'empêche , que c'est lettre parle bien de l'amour et de l'abandon de l'être aimé, et que pour le premier roman épistolaire de l'époque, je le trouve assez bien réussi.

un livre que j'ai découvert à l'époque du lycée, plutôt bien écrit mais qui ne m'a pas laissé un souvenir impérissable ;)

Lecture scolaire, une de celles que j'ai le moins appréciée. Long, le recueil de ces cinq lettres ne traitent que de la passion et de la place qu'elle occupe dans la vie de la narratrice.

Très beau texte. A relire plusieurs fois je pense pour mieux en saisir la profondeur.

un livre que j'ai trouvé sans interêt et franchement barbant (désolée pour celles et ceux qui ont aimé)

Très court, ce livre se dévore d'une traite. Guilleragues, pour ce roman épistolaire monodique a réalisé un travail profond sur les sujets, les tournures de phrases et les mots qui pourraient naturellement êtres issus de la plume d'une femme. La force de cet écrit c'est que malgré tout on y croit et on éprouve de l'empathie pour cette femme qui aime sincèrement. Malgré le lieux commun liminaire "Au lecteur" qui reprend un procédé bien connu du public, celui du manuscrit trouvé.