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Florence, 1537. Alexandre règne par la terreur, et la vertu a fui. Jusqu'à son cousin Lorenzo qui a changé de visage ! Lui qui était un modèle de pureté, il s'est fait entremetteur. Par mépris, on le surnomme Lorenzaccio. Lorenzaccio ne serait-il qu'un masque ? C'est que Renzo a un projet fou : à lui seul, il veut tuer le tyran. Pour l'approcher, le héros joue le débauché. Mais le rôle n'est pas sans risques. Très vite, le costume lui colle à la peau. Florence et Lorenzaccio, c'est tout comme. Trop divisés pour jamais s'entendre, ils sont tous deux condamnés à mourir. Avec ce drame de la désillusion, Musset signe l'un des plus beaux portraits de héros romantique.
Aah ce Lorenzaccio ! Œuvre étudiée pour mon année de terminale et le bac, la première fois que je l'ai lu, il m'a posé pas mal de problèmes. Pièce complexe avec énormément de personnages et d'intrigues parallèles, tournant toutes autour du Duc de Médicis et de la destinée de Florence, ce n'est que grâce à une relecture et surtout à mes cours que je l'ai enfin vraiment comprise - et appréciée. Tous les personnages sont différentes possibilités de réactions à la tyrannie d'un duc (se servir de lui, tenter un coup d'état, de mettre fin à sa tyrannie par la séduction, par le meurtre...), et du côté de Lorenzo, on a affaire à un personnage à la psychologie tourmentée et complexe que j'ai adoré étudié. Certaines tirades sont magnifiques, et plus je relis Lorenzaccio, plus j'aime cette pièce de théâtre ! Moi qui adore le théâtre, désormais c'est une de mes pièces préférées.
Je conseille quand même de prendre son temps pour la lire afin de tout comprendre, ou de regarder quelques pistes de lecture, parce que cette pièce est si riche qu'en la lisant seulement une fois je pense qu'il est difficile de tout saisir...
Par ailleurs j'ai regardé certaines mises en scène et ai particulièrement apprécié celle de Belletante que je vous conseille !
Lorenzaccio d'Alfred de Musset est une œuvre théâtrale emblématique du théâtre romantique français. À travers le personnage complexe de Lorenzo, Musset explore les thèmes de la trahison, de la politique corrompue et de la quête de vérité dans une Florence décadente du XVIe siècle. La pièce offre une réflexion profonde sur la nature humaine, la morale et le pouvoir, tout en présentant des personnages tragiques et passionnés. Avec son mélange d'intrigue politique, de passion amoureuse et de lutte intérieure, Lorenzaccio demeure une œuvre captivante et intemporelle, invitant le public à une exploration des tourments de l'âme humaine.
Pour apprécier cette pièce de théâtre il m'aurait sans aucun doute fallu un cours m'expliquant les tenants et les aboutissants de celle-ci.
J'ai tout de même compris que Lorenzo semble être un être fourbe ayant une double personnalité afin de mieux tromper son monde. S'ajoutent à cela des secrets d'alcôve plus ou moins secrets d'ailleurs ! Des désirs de vengeance exacerbés qui mènent à une vendetta de laquelle il semble impossible de s'échapper.
Je découvre ici un Musset dont la trame se complexifie et où les personnages se multiplient à la manière d'une pièce de Shakespeare - impossible d'ailleurs de lire la pièce sans penser au héros préféré des romantiques, notre bon vieux et dépressif Hamlet, venant tout les deux, lui et Lorenzaccio, revêtus de noirs et avançant un livre à la main.
Et malheureusement c'est peut-être le souvenir de cette lecture qui est venu parasiter celle de Lorenzaccio : je n'ai cessé de comparer notre héros à celui du dramaturge anglais, remettant, sans cesse, en cause sa crédibilité en tant que personnage. Ce qui est bien injuste car il n'en reste pas moins intriguant - je peinais juste parfois à saisir sa profondeur.
La pièce n'en reste pas moins magnifique, la plume de Musset et la poésie de son langage me charme toujours autant. La construction du décor de Florence, quant à elle, est achevée avec brio : on sent toute la décadence et le chaos ambiant au travers des répliques. Le voile sombre qui entoure la ville est tout à fait palpable.
Une pièce de théâtre assez intrigante qui relate selon Musset l’assassinat du duc Alexandre de Médicis Spoiler(cliquez pour révéler)par son cousin, Lorenzo (Lorenzaccio) qu’il adore.
Je ne m'attendais pas à réellement apprécier cette pièce, les classiques souvent donnés en lecture scolaire et moi font généralement bien plus que deux. Ce fut donc une excellente surprise (merci à ma très chère sœur), la plume de Musset est des plus agréable, et ses références historiques et culturelles m'ont beaucoup plus (grâce à mon édition, j'ai pu accéder à celles que je n'avais pas). Le fond de l'intrigue était également intéressante, les différentes couches sociales, profils et affinités politiques sont mis en avant dans un bel ensemble. Lorenzo bien que central n'est pas omniprésent à chaque instant, ce qui permet d'avoir une vision complète de la situation de Florence.
Résumé
Florence, 1537. Alexandre règne par la terreur, et la vertu a fui. Jusqu'à son cousin Lorenzo qui a changé de visage ! Lui qui était un modèle de pureté, il s'est fait entremetteur. Par mépris, on le surnomme Lorenzaccio. Lorenzaccio ne serait-il qu'un masque ? C'est que Renzo a un projet fou : à lui seul, il veut tuer le tyran. Pour l'approcher, le héros joue le débauché. Mais le rôle n'est pas sans risques. Très vite, le costume lui colle à la peau. Florence et Lorenzaccio, c'est tout comme. Trop divisés pour jamais s'entendre, ils sont tous deux condamnés à mourir. Avec ce drame de la désillusion, Musset signe l'un des plus beaux portraits de héros romantique.
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