Descendez-le à la prochaine
Auteur
- San-Antonio (Écrivain)
Série
San-Antonio (175 livres)Acheter neuf
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Classement en biblio - 33 lecteurs
extrait
Le transport s’est effectué dans les meilleures conditions possibles… Il s’agit maintenant de ne pas commettre d’impair. Tout est silencieux. Un instant, j’ai redouté qu’un chien quelconque ne vienne jeter la perturbation dans mon programme, mais rien ne s’est produit. Au loin, entre les frondaisons, la maison semble roupiller. Je suis vergeot, somme toute !
Je prends le petit sac de toile attaché sous mon bras. J’en retire les objets qu’il contient : le briquet et les cigarettes dans la poche gauche de la veste ainsi que les clés… Bon, voilà qui est fait… Une petite boîte d’aloufs dans la pochette intérieure… Ça y est… Le portefeuille à droite… Bien ! Reste le mouchoir, le morceau de crayon et le canif dans la fouille gauche du grimpant…
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SA doit trouver un cadavre de dimension identique à une personne recherché.
Une fois et déposé dans une propriété l'histoire continue....
Le commissaire Béru apparaît vers la fin bien heureusement pour SA !
il s'est fallu d'un cheveu pour que se soit la fin de la série des SA...
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Très bon polar de S.A. avec de l'humour hyper décapant !
Difficille d'être à la hauteur de San Antonio...que se soit de la vergue ou des exploits...
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Paru en 1953, on a déjà une idée du machisme de San Antonio, machisme qui fait partie du charme du personnage. Cependant, on se souviendra de sa rencontre avec Rachel Dietrich une auto-stoppeuse. Après l'avoir séduite, il rompt d’une façon expéditive, puisqu’il la jette par la fenêtre.
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Date de sortie
Descendez-le à la prochaine
- France : 2011-02-10 - Poche (Français)
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Résumé
Le gars qui pourrait me prouver par a+b qu'il a, au cours de de son existence, exécuté une besogne plus débecquetante que celle à laquelle je me livre depuis une huitaine de jourd aurait droit, selon moi, au salut militaire, au salut éternel et à une place assise dans les chemins de fer.
Faut vraiment avoir le palpitant arrimé avec du gros filin pour tenir le choc. Et je le tiens, moi, le choc, parce que mon job c'est justement de ne pas faire la fine bouche.
Voilà une semaine que je visite les morgues de France à la recherche d'un cadavre.
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