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Lorsque Ethan Muller, propriétaire d'une galerie, met la main sur une série de dessins d'une qualité exceptionnelle, il sait qu'il va enfin pouvoir se faire un nom dans l'univers impitoyable des marchands d'art. Leur mystérieux auteur, Victor Crack, a disparu corps et âme, après avoir vécu reclus près de quarante ans à New York dans un appartement miteux. Dès que les dessins sont rendus publics, la critique est unanime : c'est le travail d'un génie. La mécanique se dérègle le jour où un flic à la retraite reconnaît sur certains portraits les visages d'enfants victimes, des années plus tôt, d'un mystérieux tueur en série. Ethan se lance alors dans une enquête qui va bien vite virer à l'obsession. C'est le début d'une spirale infernale à l'intensité dramatique et au coup de théâtre final dignes des plus grands thrillers.
Bien loin des polars calibrés habituels, Jesse Kellerman, styliste hors pair, nous offre ici un roman d'une indéniable qualité littéraire qui, doublée d'une intrigue machiavélique, place d'emblée le livre au niveau des plus grandes réussites du genre, tels Mystic River, de Dennis Lehane, ou L'Analyste, de John Katzenbach.
Traduit de l'anglais (américain) par Julie Sibony.
Je me rappelais avoir un jour demandé à mon père comment ils avaient pu baptiser un des tours "Platine" alors que même moi, je savais, à l'âge de 7 ans, que ce n'était pas une pierre. Comme il ne me répondait pas, j'avais répété ma question plus fort. Il avait continué à lire, prenant une mine suprêmement agacée.
- Arrête de poser des questions stupides.
Dès lors, je n'avais eu qu'une idée en tête: poser le plus possible de questions stupides.
un livre duquel il est difficile de se décrocher. la résolution de l'intrigue est trés bien ficelé même si on pourrait s'attendre a une meilleure fin, mais ceci ne m'a pas empéché de lire ce livre: il est adictif!!
Je ne peux pas dire que le roman est mal écrit, mais je rejoins le commentaire d'une lectrice, je me suis également ennuyée au possible. La construction du roman ne donne aucun rythme à l'histoire. Je dirai simplement : spécial, trop spécial.
Ce livre est le premier roman de Jesse Kellerman qui ait été publié en France, en 2009. Célébré par la critique d'outre-Atlantique, ce polar ne me laissera pourtant pas un souvenir impérissable.
L'intrigue met en scène un galeriste d'art new-yorkais. Ce dernier découvre et promeut l'oeuvre d'un artiste mystérieusement disparu, dans laquelle un policier retraité reconnaîtra les visages d'enfants assassinés près de 40 ans plus tôt. C'est le début d'une enquête plutôt poussive qui changera la vie du narrateur.
Au-delà de l'histoire qui manquent parfois de souffle, l'auteur dénonce l'addiction à deux idoles de notre siècle : le sexe et l'argent qui s'opposent à la dignité de l'homme et au bonheur des familles. L'ambiance est assez pesante, dénuée de tout espoir et finalement assez pénible à lire.
Pour autant, ce livre finit sur une lueur d'espérance, telle une fleur qui profiterait d'une fissure dans l'asphalte : les retrouvailles d'un père et d'un fils.
Les visages est un thriller dont j'ai fait l'acquisition des années après sa sortie. A l'époque, tout le monde en parlait et je ne voulais pas me laisser submerger par l'engouement. Plus de 15 ans après sa sortie, je me suis décidée à le découvrir, un fois l'euphorie passée.
Les visages est un thriller atypique et je ne m'attendais pas du tout à cela. Je pensais y lire l'histoire d'un tueur en série sévissant encore dans les rues et s'attaquant à de très jeunes enfants. Si dans le fond c'est bien le cas, le traitement est totalement différent de mes attentes. Les visages c'est avant tout l'histoire d'Ethan Muller, un galeriste new-yorkais qui découvre par hasard une œuvre totalement unique et inédite. Mais dès l'instant où il va comprendre la profondeur de l'œuvre et ce qu'elle représente, Ethan va se mettre en quête de l'artiste qui lui a permis d'exposer les portraits.
Malgré quelques passages à vide et l'impression que le roman tourne en rond, j'ai été plutôt séduite par Les visages. Ce n'est pas réellement ce à quoi je m'attendais mais la surprise fut agréable. J'ai cependant bien fait d'attendre avant de le découvrir sans quoi je pense que j'aurais été bien déçue à l'époque.
Des tableaux trouvés dans un appartement abandonné, un locataire disparut… Il n'en faut pas plus à un galeriste new-yorkais pour mener une enquête…
Entre secrets de famille, meurtre d'enfants et saupoudré de pouvoir et d'argent… tout y est pour passer un bon moment de lecture.
Je me suis laissé bercé par le récit, je n'ai pas cherché à découvrir les coupables si bien que je fus étonné par la fin.
Un auteur que je ne connaissais pas, mais un livre qui a fait son apparition si souvent sous mes yeux que j'ai fini par l'acheter. Et je ne regrette pas.
Polar qui attendait dans ma PAL depuis de nombreuses années ^^'. L'intrigue se situe dans le monde de l'art en reposant sur une enquête non résolue. L'alternance entre le présent et le passé permet de comprendre lentement que l'histoire est davantage basée sur la famille Muller que sur l'affaire policière, reléguée au second plan. Alors oui ce n'est pas un thriller haletant avec beaucoup de rebondissements et j'ai trouvé la résolution un peu dommage, mais l'écriture est vraiment sympa alors cela reste un bon moment de lecture.
Quelle belle surprise que ce livre ramassé dans une BAL.Je ne connaissais pas cet auteur.
Tres bien ecrit, une lecture innovante, avec ces interludes partant de tres loin dans le passé pour aboutir a une jonction dans le présent, et ainsi nous faire pressentir ce que l'on croyait avoir deviner de l'intrigue.
Des oeuvres sont retrouvés dans un vieil appartement. La majorité des personnes sont fascinées par ces tableaux "qui mêlent à un décor torturé d'innocents portraits d'enfants". Avant l'arrivée d'un policier à la retraite, Ethan Miller, galériste new-yorkais décide d'exposer ces œuvres. En effet, celui-ci "croit reconnaître certains visages : ceux d'enfants victimes de meurtres irrésolus". Avant d'exposer ces œuvres, il décide de résoudre cette enquête en collaboration avec le policier.
Au fil de cette enquête, ils découvriront plusieurs détails pour le moins surprenant... N'étant pas adepte des romans policiers et thrillers en général, je me suis surprise à tenter de démêler les fils de cette affaire hors-norme.
Une fin impossible à prévoir, à imaginer !
D'un chapitre à l'autre, le point de vue change. On alterne entre celui d'Éthan et celui du policier. L'un reste focalisé sur l'affaire, sur les faits, tente de débusquer un criminel tandis que l'autre cherche un moyen d'organiser une vente aux enchères. Lier des tableaux à une histoire de meurtre n'est pas très encourageant, n'est-ce-pas ?
Résumé
Lorsque Ethan Muller, propriétaire d'une galerie, met la main sur une série de dessins d'une qualité exceptionnelle, il sait qu'il va enfin pouvoir se faire un nom dans l'univers impitoyable des marchands d'art. Leur mystérieux auteur, Victor Crack, a disparu corps et âme, après avoir vécu reclus près de quarante ans à New York dans un appartement miteux. Dès que les dessins sont rendus publics, la critique est unanime : c'est le travail d'un génie. La mécanique se dérègle le jour où un flic à la retraite reconnaît sur certains portraits les visages d'enfants victimes, des années plus tôt, d'un mystérieux tueur en série. Ethan se lance alors dans une enquête qui va bien vite virer à l'obsession. C'est le début d'une spirale infernale à l'intensité dramatique et au coup de théâtre final dignes des plus grands thrillers.
Bien loin des polars calibrés habituels, Jesse Kellerman, styliste hors pair, nous offre ici un roman d'une indéniable qualité littéraire qui, doublée d'une intrigue machiavélique, place d'emblée le livre au niveau des plus grandes réussites du genre, tels Mystic River, de Dennis Lehane, ou L'Analyste, de John Katzenbach.
Traduit de l'anglais (américain) par Julie Sibony.
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