Commentaires de livres faits par Enrika
Extraits de livres par Enrika
Commentaires de livres appréciés par Enrika
Extraits de livres appréciés par Enrika
[...]
Kikuchi : Même si tu ne t'en aperçois pas... tu changes surement peu à peu.
Futaba : Ah oui ? Tu... crois?
Kikuchi: Oui! C'est parce que tu te sens tour à tour forte et faible... que tu parviens à regarder les choses sous différents angles n'est-ce pas ?
Kikuchi : C'est douter et réfléchir qui fait évoluer.
p.111
p.344
-Dis-moi que je me trompe, et je m'en irais. Tu l'aimes ?
Nous nous dévisageâmes un long moment en silence.
-Je ne sais pas, murmura-t-elle enfin. Je ne sais pas.
-Quelqu'un m'a dit un jour que se demander simplement si on aime est déjà la preuve qu'on a cessé d'aimer, dis-je.
p.243
p.41
p.185
p.257
Elle m'a gratifié d'un sourire narquois.
-C'est bien, ça. Ça me plaît. Tu es sûr que tu n'es pas le dieu de la sagesse ?
-J'avais postulé, ai-je répondu, mais ils ont donné le job à quelqu'un d'autre. Qui avait inventé les olives, tu vois le genre, ai-je ajouté en levant les yeux au plafond.
p.317
-Brugnon, a acquiescé le Karpos.
Percy s'est essuyé le nez.
-C'est bas pour critiquer, a-t-il ajouté, mais pourquoi il groote ?
-Groote ? a fait Meg en fronçant les sourcils.
-Tu sais, comme dans Les Gardiens de la Galaxie... le personnage qui rébète tout le temps « Je m'appelle Groot»...
-Je crois que je n'ai pas vu ce film, ai-je dit. Mais ce Karpos a l'air d'avoir un vocabulaire très... ciblé, dirons-nous.
p.84
p.851
p.121
En réalité, tu n’es ni Saki ni Nogiku...
Tu resteras toujours Kasane !
Kasane : Je t’ai dit de ne pas m’appeler comme ça !
Iku : « Au fond, peu importe mon apparence... je suis moi... et rien... ne peut me changer ! »
Ce texte... si tu l’as livré avec un désespoir si absolu... c’est peut-être... parce qu’il exprime ce que tu refuses de t’avouer ?
Tant que tu monteras sur scène sous les traits d’une autre... tous les « hourra » et les « bravo »... iront à une autre que toi
Kasane : Tais-toi !!!
Sinon, qui réexpédierait par la poste une série de cassette lui reprochant d'avoir poussé quelqu'un au suicide ? Personne. Mais Hannah tient à ce que nous, ceux qu'elle a choisis, écoutions son message jusqu'au bout. Et nous nous plions aux règles, nous transmettrons les cassettes à l'accusé suivant, ne serait-ce que pour éviter de les voir atterrir entre les mains de gens extérieurs à la liste.
«La Liste. » On dirait presque un club secret. Une élite.
Et pour une raison que j'ignore, j'en fais partie.
p.23
p.50
"Le Thunderhead"
Curtil lui tendit son mouchoir, qu'elle accepta avec reconnaissance. « Non, répondit-il. Non, ne croyez pas cela. Quand le point d'appui de son monde disparaît, il est naturel de se raccrocher à ce qui reste, de faire tout son possible pour que la situation demeure aussi proche que possible de ce qu'elle était. » Il secoua la tête d'un air peiné. « Mais nul ne peut arrêter le temps.
-J'imagine que non. »
p.274
-Tu sais quoi ? Je suis amoureux de ma famille.
p.259
p.422
Je comprends pourquoi il y a des faucheurs, combien c'est important et à quel point leur oeuvre est nécessaire... mais je me demande souvent pourquoi il a fallu qu'on me choisisse moi. Et s'il existe effectivement un monde éternel après le nôtre, quel sort sera réservé à un preneur de vie ?
p.23
p.56
Tobie tenta de redresser son visage pour hurler :
-Mon peuple ! Mon peuple me poursuit, mon peuple a tué mon père et ma mère, mon peuple m'a arraché mes amis, il m'a couvert de sa haine ! Et maintenant, je paye pour lui ?
Il se contorsionnait dans tous les sens, roulant dans la terre grasse qu'il n'avait jamais sentie ainsi contre lui. Enfin, il retomba, épuisé. Sa voix n'était plus qu'un souffle.
-Tuez-moi. Sinon ils m'auront comme vous... Je viens de nulle part. Je n'ai personne. Je veux m'arrêter là. Tuez-moi !
p.348-349
p.195-196
Vous m’éblouissez, vous me bouleversez et vous faites battre mon cœur très vite. Je n'y peux rien.
Vous bouleversez mon univers avec une telle aisance.
Je suis amoureuse de vous depuis un moment, même si je sais que mes sentiments ne sont pas partagés.
Yû : Ha ?
Yoichi : J'ai cru que tu étais mort !!
Yû : Gwaaah ! Que...? Mais qu'est-ce qui te prend ? Tu me fous de la morve partout ! C'est dégueulasse... ! Aie ! Ouille ! Mais arrête !! Tu m'as déboîté l'épaule, crétin... !!
Extrait page 398