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Quand son fiancé est tué par un chevalier félon, Lyonesse jure de le venger. Et, de fait, elle réussit l'impossible : enlever son ennemi, Rhys de Faucon, et le séquestrer en son château. Mais très vite, elle comprend son erreur : l'attirance que lui inspire le prisonnier est si forte que, malgré ses scrupules, elle sent faiblir sa rancune. De cette faiblesse, qui est trahison, elle a honte aussitôt. Comment peut-elle s'autoriser pareilles errances ? Comment ose-t-elle rêver d'être possédée par l'homme même qui a brisé sa vie ? Pourtant, il serait vain de nier l'évidence : le trouble violent qu'elle ressent en sa présence n'est pas haine, mais désir, désir essentiel. Jamais, de toute sa vie, elle n'a éprouvé une émotion semblable : peur et tentation étroitement confondues. Et elle sait qu'il suffira d'un mot, d'un geste de son tourmenteur, pour qu'elle s'abandonne à cette passion coupable qui, elle le pressent déjà, la mènera à sa chute...
— C’est tout ce que vous avez à dire ? remarqua-t-elle en fermant la porte, gardée par deux sentinelles, derrière elle. Pas d’excuse pour avoir saccagé mon existence ? Pas de regret d’avoir tué un homme innocent ?
— Je n’ai jamais enlevé la vie à un innocent, répliqua-t-il, tandis qu’un pressentiment inexplicable naissait en lui.
— Vous mentez si bien…
Il eut brusquement conscience d’un danger imminent. Les yeux étrécis, il scruta le visage de Lyonesse, avant de lui demander :
— Que voulez-vous ?
Repoussant sa capuche, Lyonesse détacha le fermail de son long manteau, qu’elle laissa tomber sur le sol. La bouche de Rhys devint sèche.Les longs cheveux de la jeune femme, libres, cascadaient sur ses épaules pour retomber sur ses bras nus. Elle portait une robe d’étoffe souple, sans manches, qui moulait son corps comme une seconde peau et dégageait la peau laiteuse de sa gorge jusqu’à la naissance de ses seins ronds. Sous cette robe, aucune chemise ne dissimulait la chair satinée qui apparaissait par les fentes du laçage, sur ses flancs.
Quand Lyonesse s’approcha de lui, à grands pas presque silencieux, il discerna, sous l’étoffe fine, le modelé parfait de ses longues jambes.
Rhys demeura silencieux, le souffle coupé. Les battements précipités de son cœur écartaient toute pensée cohérente de son esprit.
— Eh bien, Faucon, murmura Lyonesse, je veux ce que j’ai toujours voulu…Le délicat parfum de rose et d’épices qui émanait d’elle lui tournait la tête comme la plus entêtante des boissons. Sans même qu’il s’en fût aperçu, elle s’était approchée tout près de lui.
— C’est-à-dire ? parvint-il à articuler, tout en luttant contre l’envie irrésistible de tendre les bras pour l’attirer contre sa poitrine.
Lyonesse leva les yeux vers lui. La clarté mouvante des torches allumait des myriades d’étoiles dans ses prunelles. Quand elle sourit, le cœur de Rhys cessa de battre.Il ne pouvait détacher son regard de sa bouche si proche, prête à être embrassée. Lentement, il s’inclina vers son visage…
— Tout ce que je veux, Faucon, c’est vous, dit-elle alors, tandis que, pour souligner ses propos, elle pressait contre sa poitrine la pointe froide et aiguisée d’une dague.
Un peu beaucoup déçue de ce livre… je ne saurais dire si c’est les personnages (bien trop antipathiques pour certains), l’humour, la violence banalisée, l’intrigue… qui me dérange! Je n’ai pas trop apprécié ce tome.
Je n'ai pas été spécialement emballée, j'ai trouvé l'écriture parfois très brouillonne.
Si la romance est plutôt sympa, certains des traits de caractère du couple m'ont posés problème.
Lyonesse est le genre d'héroïne que je trouve agaçante, qui fait des histoires pour tout et agit avant de réfléchir. Certaines autrices confondent toujours avoir du caractère et avoir mauvais caractère.
Rhys est plutôt agréable, mais je le trouve intrusif et insistant avec l'héroïne, il se permet beaucoup d'actes charnels forcés (baisers, caresses) et je déteste ça, rien de tel pour me gâcher une romance.
Résumé
Angleterre, 1142.
Quand son fiancé est tué par un chevalier félon, Lyonesse jure de le venger. Et, de fait, elle réussit l'impossible : enlever son ennemi, Rhys de Faucon, et le séquestrer en son château. Mais très vite, elle comprend son erreur : l'attirance que lui inspire le prisonnier est si forte que, malgré ses scrupules, elle sent faiblir sa rancune. De cette faiblesse, qui est trahison, elle a honte aussitôt. Comment peut-elle s'autoriser pareilles errances ? Comment ose-t-elle rêver d'être possédée par l'homme même qui a brisé sa vie ? Pourtant, il serait vain de nier l'évidence : le trouble violent qu'elle ressent en sa présence n'est pas haine, mais désir, désir essentiel. Jamais, de toute sa vie, elle n'a éprouvé une émotion semblable : peur et tentation étroitement confondues. Et elle sait qu'il suffira d'un mot, d'un geste de son tourmenteur, pour qu'elle s'abandonne à cette passion coupable qui, elle le pressent déjà, la mènera à sa chute...
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