Graziella

Auteur trop peu reconnu, Alphonse de Lamartine livre ici un roman d'une grande beauté, poétique et sensible. Il raconte son voyage sur la côte amalfitaine (région de Naples), et notamment son séjour sur la paisible île de Procida, où il tombe amoureux d'une fille de pêcheur.

Une lecture parfaite pour s'évader dans des rêveries douces et poétiques.

Lamartine est un de mes poètes préférés et pourtant j'ignorais qu'il avait aussi écrit des romans. Celui-ci est court, on y retrouve bien le style de l'auteur, tout en poésie et en romantisme, mais ça ne restera pas une lecture très marquante. L'histoire est jolie bien que la fin soit triste, on la compare à une autre Paul et Virginie, mais comme je ne l'ai pas lue, ça ne m'a rien évoqué. Contente d'avoir découvert cet ouvrage mais je n'en retiendrais pas grand chose.

Un très beau roman d'amour. Lamartine nous livre de très belles réflexions. Le texte est assez court, pour autant on s'attache aux personnages. A lire, une vraie bulle pastorale.

Un beau roman qui n'a pas vieilli avec le temps... Un superbe voyage avec l'auteur vers l'Italie du Sud, Napoli, Procida et Ischia petites îles pauvres ou vivent les pêcheurs. Une histoire d'amour fou, à la fois terrible et sensible, l'auteur nous transporte à travers un style propre au génie.

Livre que j'ai relu avec plaisir, j'ai surtout été charmé par la beauté de l'écriture. En parallèle du livre "René, Atalla, Le dernier abencerage" de R. de Chateaubriand, Lamartine ne souffre pas de comparaison.

Même si je n'ai pas beaucoup apprécié, c'est une belle histoire d'amour que je recommande.

Un beau roman d'un auteur classique. Je le recommande

J'ai été charmée par l'écriture de Lamartine, et l'amour qu'il ressent pour Graziella, et qu'elle-même ressent pour lui. J'ai notamment adoré le passage où l'auteur parle du Colisée et de la Basilique Saint-Pierre et le "chapitre" XXXVI du chapitre quatre, qui m'a vraiment émue.

L'action s'installe progressivement : le livre commence au moment où le narrateur va seulement quitter la France pour l'Italie. Je suis vraiment entrée dans l'histoire au moment que Lamartine nomme "Episode".

Je n'ai trouvé aucune longueur à ce livre, ce qui m'a permis de très vite entrer dans l'histoire et apprécier les personnages. Le narrateur est censé être Lamartine dans sa jeunesse : j'ai préféré suivre l'auteur sur ce point et lire Graziella comme il voulait que ses lecteurs le lisent. La jeune fille m'a paru très attachante, douce et courageuse à la fois.

La fin est triste, comme on peut s'y attendre. Le poème glissé par Lamartine à la fin est sublime et retrace la rencontre et l'amour du poète avec Graziella.

C'est donc un très beau livre, très poétique et touchant.

Je me suis aventuré dans ce type de livre et je suis tombé sous le charme, il envoûte le lecteur dans un monde de beauté sublime, en mêlant tristesse et amour. Je le conseil

Graziella de Lamartine est une petite histoire d'amour virginal entre un jeune aristocrate français et la fille d'un pêcheur. L'écriture est poétique. Les nombreuses descriptions de la nature qui s'entrelacent avec les premiers émois juvéniles sont très romantiques. Bien qu'on ne puisse adhérer à une histoire aussi "fleur bleue", le texte nous berce comme une douce musique. Dans la préface, Jean-Michel Gardair interprète l'histoire d'une façon beaucoup plus réaliste.