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Il faudrait que les chiens puissent voler, avec des ailes en carton. Ou qu'ils se réincarnent en revolver. Il faudrait que la caissière du supermarché, pour laisser le temps aux amoureux de s'aimer, ne trouve jamais le code-barres sur les boîtes de maquereaux. Il faudrait qu'au fil suspendu des jours, les perles soient moins abimées. Bref, il faudrait que la vie, toujours, ait le goût des tartes aux pommes. Auquel cas, vraiment, ce ne serait pas la fin du monde.
« Étonnant premier roman. Guillaume Siaudeau recueille l'écume des jours d'un titubant jeune homme, mal à l'aise avec l'existence. Et l'on est sous le charme de ce texte écrit en tendresse inquiète. Empli de poésie et de dérision. »
J'aime bien les poissons, et c'est toujours un sacrifice de me séparer de ces bestioles en les vendant aux touristes. Ils avaient pourtant la gueule ouverte lorsqu'on arrivait à quai, mais dans les yeux de poissons morts je pouvais décrypter pas mal de choses. J’essayais de leur fermer les yeux, comme on le fait avec les morts pour éviter de croiser leur regard, mais rien à faire. Les yeux des poissons morts restaient aussi ouverts que la bouche de ceux qui parlent trop.
Un humour absurde comme j'aime qui donne une analyse plus profonde qu'il n'y parait sur la vie et les gens. Poésie, humour noir. Si je devais comparer cet auteur à un autre, ce serait sur à Joël Egloff.
malgré certains passages très poétique, j'ai vraiment pas été emballé à la lecture de ce court roman. En fait je crois que ce qui m'a dérangé c'est la narration à la première personne et des phrases trop courtes moi qui aime avoir le temps de m’immerger dans une histoire, de vivre plusieurs jours avec ses personnages là çà n'a pas été possible...je crois que je vais abandonner la lecture des trop courts romans !
Malgré une histoire un peu courte on est très vite embarqué dans la tête de ce jeune homme un brin spécial.
Si spécial que tout du long de ma lecture j'imaginais une personne parlant à la façon d'un Forest Gump mais en moins gentil.
Une histoire qui commence mal et se termine pas beaucoup mieux, c'est assez poétique et Guillaume Siaudeau réussi à jongler avec les mots d'une manière habile (Le point fort de ce petit livre).
Un belle histoire comme je les aime, absurde, touchante, avec cette touche d'humour à fleur de peau qui fait sourire mais réveille inévitablement quelque chose en nous de plus profond, de plus sensible.
J'ai adoré plongé dans l'histoire de ce jeune homme un peu dérangé, bouleversé par la vie dans laquelle il a du mal à se faire une place.
L'écriture de Guillaume Siaudeau a ce côté poétique et décalé qui me plaît tant, ce genre de style qui fait toujours mouche me concernant. Je suis accro à ces petites phrases incisives, drôles, mélancoliques ou bouleversantes qui suffisent, en quelques mots, à dire beaucoup et parviennent toujours à viser juste. Tartes aux pommes et fin du monde (et rien que ce titre aurait pu suffire à me faire comprendre que j'allais adoré ce roman) en regorge.
C'est une charmante petite perle de moins de cent cinquante pages, comme une bouffée d'émotions et de simplicité qui transporte le temps d'un instant. Une très chouette lecture.
Un court 1er roman tout en humour noir, au style faussement naïf, assez amusant. L'histoire d'un garçon solitaire qui croit rencontrer l'âme soeur, son inséparable, Alice... Et puis, tout s'écroule, comme la fin d'un monde... Alors, comment combler ce vide immense ? Son substitut est pour le moins dangereux, un compagnon d'infortune menaçant. Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir, dit-on...
Résumé
Il faudrait que les chiens puissent voler, avec des ailes en carton. Ou qu'ils se réincarnent en revolver. Il faudrait que la caissière du supermarché, pour laisser le temps aux amoureux de s'aimer, ne trouve jamais le code-barres sur les boîtes de maquereaux. Il faudrait qu'au fil suspendu des jours, les perles soient moins abimées. Bref, il faudrait que la vie, toujours, ait le goût des tartes aux pommes. Auquel cas, vraiment, ce ne serait pas la fin du monde.
« Étonnant premier roman. Guillaume Siaudeau recueille l'écume des jours d'un titubant jeune homme, mal à l'aise avec l'existence. Et l'on est sous le charme de ce texte écrit en tendresse inquiète. Empli de poésie et de dérision. »
Xavier Houssin – Le Monde des Livres
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