La Guerre des mondes

Ayant vu la version moderne en film, je ne savais pas qu'il y avait un livre et je m'y suis aventurée !! J'ai eu du mal à le lire et à le terminer. Comme tout livre d'époque, beaucoup trop de description.

Un grand classique de la science-fiction que je découvre enfin.

N'ayant jamais regardé le film, j'ai tenu à me plonger d'abord dans l'atmosphère du livre avant de (peut-être) découvrir le film de Steven Spielberg.

Le roman est divisé en 3 grandes parties distinctes: l'arrivée des martiens, l'invasion d'une partie de l'Angleterre avant de se conclure par Spoiler(cliquez pour révéler)la mort des martiens, terrassés par les maladies terriennes..

Le récit est intéressant mais est très contemplatif; très peu de dialogues, un héros qui subit une partie des évènements en se cachant et plusieurs chapitres qui ne contiennent, en somme, que de longues descriptions des lieux dévastés par les martiens.

Les thèmes abordés dans le roman de H. G. Wells restent cependant encore fort d'actualité et la plume de l'auteur est assez accessible.

Une bonne découverte mais qui ne me réconcilie pas encore tout à fait avec le genre de la science-fiction.

Ouvrage pilier de la SF, on y retrouve le monde de son époque ainsi que le style d'écriture lui correspondant.

L'intrigue est bien développée, et plus que tout, on sent le poids des conséquences encore à venir.

Un très léger goût d'horreur cosmique à la Lovecraft.

Je suis fan de La Guerre des Mondes, des films, c'est une histoire que j'apprécie beaucoup et je tenais à lire le roman originel d'H.G. Wells. J'ai profité de la collection Les Maîtres du Fantastique pour avoir mon exemplaire dans une superbe édition et j'ai plutôt bien aimé ma lecture dans l'ensemble. J'ai bien retrouvé les grandes étapes de l'invasion martienne, les différentes villes attaquées, l'intrigue est intéressante mais j'ai trouvé ça beaucoup trop long ! Alors que le roman est somme toute assez court. Je ne dirais pas que je me suis ennuyée par moment mais j'ai failli décrocher, le roman tendant à être légèrement soporifique. Il faut dire qu'il n'y a pas de dialogue ou extrêmement peu, on a juste le point de vue d'un personnage en particulier au plus près de la catastrophe (et un peu par le biais de son frère). Par ailleurs, ce roman est toujours actuel car il est tout de même question de guerre, de virus, de survie, d'immigration de masse... et quand on voit l'actualité de ces dernières années et actuellement, j'y ai trouvé un certain écho. Un roman à lire mais il faut s'accrocher !

J'ai eu beaucoup de mal a entrée dans l'histoire a cause de la plume de l'auteur ainsi que des longs passages descriptifs.

Un classique et un précurseur du genre, bien entendu. C'est un récit sérieux, bien construit et courant sous la forme d'une chronique. La conclusion de ce roman est originale et perspicace encore aujourd'hui. Malheureusement, je n'ai pas accroché avec les personnages et le manque de rebondissements à alourdi le roman. Les chapitres semblent redondants. Une lecture mitigée d'un roman qu'il faut lire avec les yeux d'une autre époque.

Placer en contexte dans son époque, quel roman incroyable ! Un classique à lire au moins une fois.

Bon désolé mais j’ai pas accroché.

J’ai lu en entier mais j’ai dû me forcer.

J’ai eu l’impression de me retrouver dans une visite guidée détaillée de l’Angleterre, pour au final un scénario pas très poussé.

L’écriture, qui est d’époque, me faisait perdre le fils de certaines phrases et je devais m’y reprendre en plusieurs fois.

Petite déception. Mais le goût des un n’est pas celui des autres.

Pas assez de dialogues, c'est très voire trop descriptif. Et on ne comprend pas pourquoi les martiens disparaissent d'un coup...

Manquant de rythme mais pas de force, le plus célèbre des romans de Wells est un avertissement d'une terrible noirceur dans lequel l’auteur décortique aussi les réactions des Britanniques face à l’invasion, de la plus humaine à la plus bestiale : pillages, courage, folie, panique, résistance illuminée, retour à l’animalité, etc. La fin s’avère optimiste. "A coup sûr, si nous ne retenons rien autre chose de cette guerre, elle nous aura cependant appris la pitié – la pitié pour ces âmes dépourvues de raison qui subissent notre domination."