Cat street, Tome 8

Encore un tome bien sympa et tout mignon et une fin digne de ce nom

Cette série raconte l'histoire d'une lycéenne que faisait jouait dans des pubs de plusieurs produits dès son plus jeune âge, tout était parfait jusqu'au jour où sa meilleur amie lui dit qu'elle valait moins qu'elle. A partir de cet instant Keito s'est refermée sur elle.mais elle put se relever grâce à ses nouveaux amis et recommença son activité sur scène.

Sa reprise va-t-elle réussir ?????

Aïeaïeaïe...

Une série vraiment superbe...!

Franchement j'ai eu l'impression de me prendre une claque au figuré, une claque qui me disait "regarde-la se démener avec ses amis dans cette foutue vie alors que toi tu glandes en cours et t'as quand même des bonnes notes!"

J'ai adoré chaque facette de chaque personnage, chaque tournant de ce scénario, chaque dialogue de chaque tome.

C'est une série de mangas à emprunter urgemment à la bibliothèque du coin ou à acheter en librairie!! En tout cas, à lire absolument.

Elle m'a fait monter les larmes aux yeux (et euh pleurer oui oui) (après je suis peut-être un tout petit peu trop sensible alors ce n'est pas un critère xD).

J'étais pour Kôichi, mais je ne voulais même pas que Rei et elle sortent ensemble parce que ça allait faire mal, trop mal!

En quelques mots: rien à détester, tout à aimer. Une révélation.

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2020/08/01/cat-street-t-8-yoko-kamio/

Cat Street se conclut dans ce huitième et dernier tome. Yui, qui se prétend une ancienne camarade de classe de Keito, dévoile son véritable visage et agresse la jeune fille. Les autres font quant à eux leur deuil de l’école El Liston, sur le point d’être démolie.

Pas de grosses surprises dans cet ultime volume. Il se termine comme il doit se terminer, ce qui, malgré le manque de suspens, n’est pas un mal, puisque je ne vois pas comment l’histoire aurait pu finir autrement. Cette conclusion est parfaitement logique après tout ce qu’a traversé le quatuor composé de Keito, Rei, Kôichi et Momiji.

La première partie m’a néanmoins semblé de trop. Je ne comprends pas vraiment ce qui a motivé « Yui » et son ami à agir ainsi, à s’en prendre à une innocente plutôt qu’à des personnes qu’ils auraient pu juger responsables de leur sort. Le désespoir, sans doute, mais cela m’a paru déplacé et démesuré. Il n’y avait pas besoin d’un tel acte pour traduire la souffrance des deux nouveaux et amener la fin de l’œuvre.

En fait, j’ai relevé, comme dans le tome précédent, un excès de drama, que j’ai également ressenti au niveau de l’entreprise de Kôichi. Je n’ai pas saisi comment tout pouvait basculer si facilement, et j’ai eu l’impression d’assister à un rétropédalage, à l’instar de la relation entre Rei et Keito. J’avais autant de mal à les imaginer en couple que Kôichi à la tête d’une si grosse société. D’autant que je me demande à quoi lui ont servi ses cent vingt employés, puisque tout semble reposer uniquement sur ses épaules à lui.

Un autre point qui m’a laissée perplexe, c’est le fait que les quatre protagonistes soient considérés comme les « légendes d’El Liston ». C’est présenté de manière favorable dans le manga, mais je trouve cela réducteur pour les autres. Et même si Keito, Kôichi et Rei ont atteint ou presque des sommets, je ne suis pas certaine que l’on puisse en dire autant de Momiji, qui mène une carrière relativement simple et discrète à côté de la leur, comme cela doit être sûrement être le cas d’autres élèves.

Je suis d’ailleurs un peu déçue que l’on ne voit pas les robes qu’elle affirme avoir conçues pour Keito (et j’aurais bien aimé voir une robe en particulier…), mais j’ai bien aimé le bonus la concernant. Je m’attendais presque à la voir en couple avec Rei, mais tant qu’elle est heureuse, cela me convient, car j’adore son personnage. En revanche, je n’ai toujours pas réussi à me faire à la relation amoureuse entre Keito et Kôichi. Je préférais le lien fort mais platonique qu’ils entretenaient dans les premiers tomes.

Cat Street se conclut donc d’une façon assez logique, mais je suis tout de même un peu déçue. Mon affection pour ce manga aura été en s’intensifiant jusqu’à atteindre son point culminant avec le cinquième tome, avant de retomber un peu avec les suivants. Je recommande cette saga, mais je déplore qu’elle ne soit pas restée à mon goût sur une pente ascendante.

Un manga qui parle d'amitié, d'amour, de vie sociale, et des difficultés de la vie professionnelle. C'était émouvant et l'histoire se termine d'une très jolie façon. J'ai beaucoup aimé cette série.

L'histoire avec la fille était assez prévisible.

Ce manga montre quand même un peu la pression sociale japonaise et les hikimori, tout en gardant un message d'espoir.

A la base, je ne suis pas très shojo et je trouve que cette histoire est parfois assez simplette, mais cela se lit.

Une pure merveille et une leçon de vie extraordinaire. Il m'a marqué et me marquera sans doute toute ma vie.

Magnifique ! Splendide. Ce manga m'a éblouit...J'adore, j'adore, j'adore. A tel point que mon vocabulaire se restreint. Mais sérieusement, ce livre n'est pas seulement un shojo, c'est aussi à appel à l'espoir, à la vie, à l'amitié. C'est beau, c'est magnifique, c'est sensible ! Les personnages, on s'y attache énormément, et chacun d'eux reste bien construit et se complexifie au fil de la série. L'intrigue me laisse sans mots, je ne peux que vous conseiller cet incontournable manga !

Bon je l' ai lu mais je n' ai pas trouvé ça très attrayant!! Je pense tout simplement que ce n' est pas mon style de manga!!

J'avoue que ça fait longtemps que j'ai lu ce manga donc je ne me souviens plus vraiment de l'histoire... J'aimerais vraiment le relire car voir les extraits et descriptions de chaque tome me rappelle tellement de souvenirs !!