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Commentaires de livres faits par Celiska

Extraits de livres par Celiska

Commentaires de livres appréciés par Celiska

Extraits de livres appréciés par Celiska

Ce roman voit grand, peut-être un peu trop. Il entremêle ses personnages à l'histoire, celle qu'on connaît et celle qu'on ignore. La vie au sein d'un régime totalitariste est bien rendue, et la claustrophobie causée par l'URSS l'est mieux encore. L'époque et les événements historiques ne sont au final qu'un prétexte, un angle d'approche; là n'est pas le sujet du roman, ni son intérêt. Ils sont dans le quotidien des personnages.
Malgré toutes ses qualités de style, j'ai trouvé le roman un peu trop long par moments, et la fin un peu trop abrupte. Une très bonne lecture malgré tout.
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Le roman, et ses personnages surtout, ont plutôt mal vieilli... Il a une très forte ambiance années 50 (la place de la femme, de la famille, les réactions des personnages, l'équipement scientifique et technologique...). Ce n'est pas un mal en soi, mais il faut être prévenu, et ne pas lire Les prairies bleues après un roman SF contemporain...
Le début est fort lent et s'attarde un peu trop sur le mystères des personnages. Mais la lecture devient bien plus agréable à la fin de la première moitié.
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Un début un peu hermétique, mais une intrigue très prenante, complexe, pleine de suspens et de rebondissements. Une très bonne ambiance, un univers travaillé et cohérent, un personnage plutôt original et attachant.
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date : 06-09-2017
Un roman d'un naturalisme auquel je ne crois pas vraiment (je ne peux tout simplement pas concevoir que l'indifférence générale qui y est décrite soit réelle), malheureusement très mal traduit...
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Cette autobiographie parue en 1990 retrace l’incroyable parcours de Françoise Moréchand, dite Morechan-san, dans le Japon de 1957 à 1990.
Le vécu de Morechan-san est extrêmement riche, et les thèmes qu’elle aborde sont très divers. Si la mode, le Japon, les chocs culturels, l’esthétique, la Seconde Guerre mondiale, les coutumes japonaises, les médias ou, dans une moindre mesure, le féminisme, la libération des mœurs et les événements de mai 68 vous intéressent, vous trouverez cette autobiographie à la fois intéressante et touchante.
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La traduction est moins bonne que celle des précédents tomes, et ça se ressent assez fortement quand on les lit les uns après les autres.
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date : 13-06-2017
C’est amusant, parfois, de découvrir pourquoi tel roman est souvent comparé à un tel autre.
Intempérie est présenté comme proche du fameux La Route de Cormac McCarty. Je veux bien admettre quelques similitudes, comme la présence d’un enfant et d’un homme solitaire dans un monde hostile, mais la comparaison s’arrête là.
Le roman est un récit initiatique plutôt classique recouvert de pensées philosophiques pessimistes et de valeurs négatives.
Sans être sans intérêt, les propos de l'auteur (abus de pouvoir, blessures psychologiques, fuite, refuge dans l'inconnu) ne sont pas non plus extrêmement originaux. Mais ils sont écrits avec un style particulier, puissant, évocateur, parfois cru qui leur donne un nouvel éclairage. Beaucoup de choses sont évidentes sans être clairement exposées, d’autres, comme le passé des personnages secondaires, sont à peine esquissées. Le parti pris de ne pas nommer les personnages est audacieux, et plutôt réussi : il n’empêche pas de les comprendre et, dans une certaine mesure, de s’identifier à eux.
Dans l’ensemble, c'est un roman plutôt contemplatif, à l’intrigue linéaire, sans vraiment de rebondissements. L’auteur prend même soin de volontairement prévenir le lecteur pour désamorcer la possible surprise des derniers chapitres. Cela n’enlève rien à la tension et à l’ambiance du récit. On sent le destin se referme sur les personnages, comme dans une tragédie grecque.
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date : 12-06-2017
Peter Watts est immense par son talent. Il faut le lire pour le comprendre : le style, les thèmes, le rythme des short stories, la dureté ou le soyeux des mots sont excellemment maîtrisés.
Mais ce n’est pas parce que les nouvelles de Peter Watts sont remarquables et devraient être lues par tout amateur de science-fiction qu’elles sont d’un abord facile. Elles ne vous mâchent pas le travail. Si, dans la plupart des cas, les termes scientifiques de physique ou de biologie servent l’ambiance ou permettent de décrire avec précision l’environnement, une nouvelle vous demandera d'essayer de comprendre la physique quantique. Dans d’autres cas, ce ne sera pas la science qui se mettra sur le chemin de votre compréhension, mais la narration de Peter Watts lui-même. Il vous arrivera de relire une nouvelle pour saisir véritablement sa chute et son message, parce que Peter Watts ne donne pas toujours dans l'explicite et dans l'évident. Et tant mieux!
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date : 07-06-2017
L'édition bilingue Langues pour tous propose une traduction plutôt insuffisante. Fautes d'orthographe, coquilles, non respect du rythme de Jack London (je préfère de façon générale la traduction sourcière). J'ai presque envie de penser que c'est volontaire... Dans une édition bilingue, on a plus envie de lire le texte original plutôt que sa traduction bâclée.
Cette édition ne se compose que de Le Tinito (The Chinago) et La Maison de Mapuhi (The House of Mapuhi). Si j'ai du mal à saisir la morale de la dernière, les descriptions sont prenantes, les intrigues bien ficelées. La profondeur des personnages pâti un peu de la distance avec laquelle London les fait vivre.
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Beaucoup de personnalité dans ce roman de space opera, des questions intéressantes soulevées mine de rien, cachées dans l'intrigue. Le personnage principal est très attachant bien qu'un rien stéréotypé, mais cela n'enlève rien à son charme.
Au final, Le Vieil homme et la guerre est un roman très spontané, très agréable.
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date : 16-05-2017
Dépêches du Vietnam est un recueil des lettres de Steinbeck, correspondant de guerre pour le Newsday. Ces dépêches sont aussi les derniers écrits publiés de son vivant.
On a tous appris quelque chose sur la guerre du Vietnam, par des films, des livres, des reportages. Steinbeck, en 1966, tenta d'y voir plus clair au milieu des informations contradictoires ou visiblement erronées qui inondaient les Etats-Unis à propos de cette guerre et s'est rendu sur le terrain pendant plusieurs mois, au Sud-Vietnam, en Thaïlande, au Laos - il tenta d'entrer au Nord-Viêtnam, en Chine et au Cambodge, mais les visas lui furent refusés. Il ne put observer tous les aspects de la guerre - il ne connaissait pas l'existence de l'Agent orange, ni des exactions américains perpétrées contre les civils. Faute d'avoir pu visiter les deux camps, son point de vue n'est pas sans défaut, mais ses observations, son témoignage, sont indubitablement éclairant. Moral des troupes, méthodes de reconnaissance et de guérilla, exactions du Vietcong dans les villages: tout est vrai.
Steinbeck n'était pas vraiment pour la guerre, mais il gardait l'idée de ces Etats-Unis libérateurs, image qu'ils avaient acquis lors de la Seconde Guerre mondiale, que Steinbeck a connu personnellement, et qui était toujours, pour lui, une réalité en Asie du Sud-Est. Il méprisait les manifestant anti-guerre, qu'il trouvait lâches, égoïstes, volontairement coupés de la réalité.
Les Dépêches du Vietnam proposent une vision certes tronquée de cette guerre atypique, mais authentique.
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date : 13-05-2017
Des excellents nouvelles de Ken Liu, des univers prenants, beaucoup d'émotion, de diversité et d'originalité. Un régal! Point négatif cependant: la traduction n'est pas toujours au point, et laisse même parfois des fautes d'orthographe.
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date : 07-05-2017
Un excellent recueil de nouvelles pour qui a lu la trilogie de la Première Loi, Servir froid, Les Héros et Pays Rouge. Tous les personnages des nouvelles ont traversé l'un ou plusieurs de ces romans, et certains événement sont parallèles à ceux de leurs intrigues. A ne pas lire avant les autres, donc, au risque de ne rien comprendre à plus d'une nouvelle.
Tous les ingrédients habituels de l'univers d'Abercrombie sont là et, bonheur suprême, on découvre la genèse de certains personnages principaux de ses œuvres.
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date : 06-05-2017
Plutôt déçue par ce roman. L'émotion est très présente, les personnages plutôt attachants, mais les deux tiers du roman au moins sont de trop, selon moi. Ciel d'acier a été mis en avant pour son intrigue en relation avec l'attentat sur les tours jumelles du World Trade Center, mais cela ne représente qu'un tiers de l'intrigue totale. Je pensais, avant ma lecture, qu'il y était presque entièrement dédié.
Pour terminer, je n'aime pas trop le style de Michel Moutot, même s'il présente par moments de très belles images. Les dialogues sont vraiment moyens et les propositions des phrases sont souvent inversées par rapport aux conventions de la langue française. La narration confuse, le passage de la troisième à le première personne ont achevé de me perdre.
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date : 01-05-2017
Un beau roman court, poétique, à la narration hachée, sur le Vietnam d'après-guerre, sur les boat-people, sur les immigrés depuis le départ de leur foyer jusqu'à la reconstruction d'une vie en terre étrangère en passant par les camps de réfugiés... Quelques beaux passages sur l'amour maternel, filial, sur l'amour tout court, une pluie de saveurs exotiques, des réflexions sur la façon de vivre et d'être heureux de vivre.
J'ai lu Ru par hasard en le découvrant dans la bibliothèque familiale, et je ne regrette certes pas de lui avoir donné sa chance.
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date : 30-04-2017
Un roman original, parfois dur et choquant, bien que cet aspect soit en général gommé par la distance volontaire que le personnage met entre lui-même et les scènes violentes dont il est témoin, et parfois très émouvant (ces deux émotions, le choc et la tristesse, sont clairement séparés dans la narration).
Les personnages sont très bon, très crédibles; le background historique est très documenté, et on y apprend forcément quelque chose, surtout que les éléments qui bâtissent l'intrigue ne sont pas de ceux qu'on apprend dans les écoles en France ou en Belgique. J'ai dévoré Max en deux jours, l'intrigue donne envie d'en savoir toujours plus, on a envie de passer du temps avec les personnages, surtout une fois passées les premières étapes du développement de Konrad, et, encore mieux, on réfléchit. On n'approuve pas les événements et les programmes décrits, bien évidemment! Mais on comprend. On comprend la vie des civils, on comprend ces enfants façonnés par le nazisme, on comprend la peur, l'immobilisme, le fanatisme.
Et surtout, on comprend Konrad.
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J'ai lu peu de romans steampunk, celui-ci n'est que le troisième que je découvre, mais je l'ai trouvé très bon. Fabrice Colin est un auteur qui met beaucoup de cœur dans ses oeuvres; elles manquent un peu de rigueur dans l'intrigue, le style n'est pas exempt de répétitions, mais il se jette à corps perdu dans ses écrits et ça se ressent dans l'ambiance, dans les dialogues, dans les inspirations, dans l'esthétique. Quand à Mathieu Gaborit, je n'ai encore rien lu de lui - mais je suis très curieuse de le découvrir maintenant dans l'une de ses œuvres en solo.
Le roman a une très bonne ambiance et un univers bien à lui qui m'a beaucoup plu. J'ai juste quelques doutes sur la pertinence de la narration à la première personne...
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La première chose qui m'a marquée lors de ma lecture fut la traduction très médiocre. Jean Rosenthal m'avait habituée à mieux, mais ici je suis quasi certaine que la confusion de la narration est due à la traduction. Ajoutez les coquilles typographiques (pas de renvoi à la ligne pour un nouvel intervenant dans un dialogue, apparition d'un phrase entre guillemets au milieu d'un paragraphe alors que c'est un dialogue, l'incroyable "Les Russes ont surveillé" là où "Les rues sont surveillées" aurait dû être écrit... Incroyable). Et pourtant mon édition date de 2012.
Les commentaires des autres internautes résument le reste: très différent du film, bon rythme, prenant.
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Un excellent roman d'anticipation, qui offre bien plus de réflexion qu'il n'y parait au premier abord. Critique de la société récente (le livre est paru au début des années 70), des mœurs occidentales plus anciennes, de notre société actuelle et, évidemment, ce que des idées proches ou opposées pourraient devenir, poussées à leurs extrêmes. Rien n'est tout noir ou tout blanc, des idéologies radicalement opposées s'opposent et se repoussent: une excellente lecture du gabarit des romans classiques d'anticipation ou dystopiques.
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Ces nouvelles sont très dissemblables et plutôt inégales dans l'intérêt qu'elles suscitent, selon que le lecteur accroche au thème et à la forme ou non. Beaucoup de ces nouvelles s'articulent en effet autour de thèmes tels que les voyages maritimes, les ballons, les mystères résolus par déduction, le magnétisme, la mort d'une épouse. C'est surtout flagrant avec l'ordre dans lequel elles apparaissent, regroupées par sujet. Toutes ne sont pas fantastiques, mais elles dénotent de l'intérêt de l'auteur pour les nouvelles technologies, les découvertes et les théories scientifiques les plus avant-gardistes (avant-gardistes pour les années 1840). Certaines sont vraiment dérangeantes; je pense notamment à La Vérité sur le cas de M. Valdemar, Leigeia et Metzengerstein, présentes en fin de recueil. Et Aventure sans pareille d'un certain Hans Pfaall est tout à fait comique.
Bref, une grande diversité de sujets, de tons et, il faut bien le dire, d'impact sur ma mémoire.
Histoires extraordinaires est aussi, typiquement, le genre de livres pour lesquels, à mon sens, un avis personnel est superflu. Les romans de Victor Hugo et d'Emile Zola sont dans le même cas. Finalement, que je j'ai aimé ou non les Histoires extraordinaires n'a aucune importance: Charles Baudelaire et Jules Verne les ont adorées, et il est impossible que mon opinion ait le moindre sens à côté de la leur. Parce qu'ils ont également marqué leur époque (qui coïncida ou qui fut légèrement postérieure à celle de Poe), parce qu'ils comprenaient bien mieux les contextes et les références, ils ont raison. Pas parce qu'ils sont devenus célèbres, et certainement pas parce que j'apprécie leur travail: parce qu'ils sont contemporains à l'œuvre de Poe.
Les classiques s'apprécient avec leur époque, et, malheureusement, elle n'est plus accessible à l'immense majorité des lecteurs, mois comprise. Je fais confiance à ces personnalités qui savaient de quoi elles parlaient, et qui connaissais le monde quand lequel Edgar Allan Poe vivait et écrivait, et je me range à leurs côtés: ce recueil est un classique. Lisez-le et tentez d'en retirer plus que des fantômes du XIXe siècle. Il y a largement moyen.
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date : 12-04-2017
Si l'écriture du traducteur laisse à désirer, La Proie et l'ombre est un excellent petit roman policier atypique. Certains aspects ont certes vieilli (le roman date quand même de 1925), mais la narration, les personnages, l'originalité, le mystère et l'ambiance oppressante restent et resteront excellents.
La Proie et l'ombre est ma première découverte de la littérature japonaise, tout en délicatesse et en perversité, et j'ai beaucoup aimé.
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Le style et la narration ont fort vieilli, l'aspect terrifiant s'est totalement érodé, et ce livre, en tant que roman, n'a finalement pas beaucoup d'intérêt. Cela change quand on s'intéresse au sous-texte engagé, voire politique, que Mary Shelley a disséminé dans Frankenstein. Pour qui connait un peu le contexte historique anglais du début des années 1800 et se renseigne sur la vie de l'auteur, Frankenstein acquière une seconde dimension bien plus intéressante et devient un témoignage de l'époque en plus d'une tribune pour les opinions de l'écrivaine.
Un classique, mais comme beaucoup de classique plus pour ses thèmes et son engagement que pour l'histoire qu'il raconte.
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Ce livre de voyage reprend les réflexions de Huxley sur le monde qu'il découvre, parfois politisées, souvent très poussées. Si le contexte a changé depuis 1926, avec surtout la disparition des colonies, on ne peut nier l'impact que les politiques européennes ont encore sur le monde oriental actuel (Inde et Indonésie) et beaucoup des réflexions de Huxley semblent encore fondées aujourd'hui, moins, bien sûr, dans l'observation que dans les critiques qu'il en tire, autant pour l'Europe que sur l'Asie.
La dernière partie (les Etats-Unis) me parait plus fade, moins pertinente, peut-être un peu bâclée. C'est dommage de terminer de cette façon après le fantastique voyage à travers les Indes que nous offre Huxley!
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Seconde Fondation est pour moi le meilleur des trois premiers tomes de ce cycle. Il est plus rythmé, les personnages paraissent plus vivants, son intrigue très travaillée, comme toujours avec la Fondation, est plus ironique. L'auteur a distillé suffisamment d'indices pour que le lecteur attentif ne soit pas en retard sur les personnages et puisse bâtir ses propres hypothèses, mais il a aussi su garder le secret sur certains détails quine sont révélés que dans le dénouement.
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Un très grand roman par ses ambitions, qui a visiblement exigé énormément de temps et de documentation tant il est fouillé, précis, et à la pointe de la technologie, même s'il a été publié pour la première fois voilà 25 ans.
J'ai un peu plus de réserve concernant les personnages qui, bien qu'ils soient aussi réalistes que les autres aspects du roman, me paraissent tous décrits avec une froideur et une distance qui m'empêche de m'identifier à l'un d'entre eux.
Mars la Rouge est un must have pour ceux qui aiment la hard science fiction car il englobe tous les thèmes et tous les domaines imaginables: politique, social, économique, et bien sûr nombre de disciplines scientifiques.
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Avis mitigé pour ce roman. Le style est très beau mais la ponctuation est déplorable, les personnages sortent des archétypes habituels mais sont finalement interchangeables, au point que des répliques ou des dialogues entiers soient recopiés, au mot près, dans les trois romans de ce recueils, alors qu'ils sont supposés appartenir à des personnages différents. L'intrigue est assez prévisible, mais j'ai la forte impression que c'est parce que l'auteur n'a pas jugé nécessaire de tracer des fausses pistes pour entretenir le suspens. Et s'ajoutant sur le tout, le troisième et dernier récit déploie des efforts excessifs en rebondissements saugrenus pour parvenir à une morale qui aurait pu être tracée dès les premières pages.
J'ai lu La planète des ouragans comme une curiosité littéraire, l'un de ces romans inclassables qui naissent généralement d'auteurs emportés par leurs passions, et selon moi il n'a d'intérêt que sous cet angle.
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