Il fait jour à Jérusalem

Résumé

Paris, Pologne, Jérusalem

• Ariela Palacz naît à Paris, le 23 février 1934 ; ses parents avaient immigré de Pologne, quelques années auparavant. Pendant la guerre, Ariela est cachée pendant trois ans et demi à l'Assistance publique, et envoyée à Saint-Amant en Puisaye, dans la Nièvre. En 1954, elle se marie avec Eytan Palacz et a deux enfants, Yoram et Yaël.

• En 1970, la famille fait son alyah. En 1974, Ariela a un troisième enfant : Keren. Depuis son arrivée en Israël, Ariela fait de la peinture, crée des vêtements de laine inspirés des paysages de Jérusalem et témoigne sur son expérience "d'enfant cachée". Elle vit à Jérusalem dans le quartier de Ramot Eshkol.

Un témoignage unique !

• La force exceptionnelle du témoignage d'Ariela Palacz n'est pas due, uniquement, au caractère extrême de son expérience, mais plus encore à sa capacité de ressentir ce que son expérience a eu d'extrême, et sa capacité de transmettre intactes, après tant d'années, les émotions et les sensations qui furent les siennes.

• Ariela ne transige avec aucune vérité - l'authenticité de sa parole est fidèle au devoir qu'elle a envers les disparus - mais elle réussit pourtant à faire passer un message d'espoir d'une très grande luminosité qui s'adresse aux aspirations les plus intimes des lecteurs de tous milieux, et de toutes conditions.

• Il fait jour à Jérusalem est un voyage identitaire qui nous entraîne au plus profond de l'exil de soi, dans un périple que seuls les "enfants cachés" peuvent nous décrire, et nous ramène chaque fois, un peu plus fortement, à la lumière resplendissante et revivifiant de Jérusalem.