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La Drôle de Vie de Bibow Bradley



Description ajoutée par anonyme 2012-11-11T17:23:42+01:00

Résumé

«- Chez les Bradley, on travaille pas avec sa tête ! me disait, l'oeil plein de fierté, mon grand-père Bob le borgne en lorgnant ma dictée toute raturée de rouge. Et quand je leur ai annoncé que je redoublais, ils m'ont offert une bicyclette.»

Juin 1964, USA. Le jeune Bibow Bradley est envoyé au Vietnam où, en toute logique, il devrait perdre un oeil comme papy (en Normandie) ou une jambe comme papa (en Corée).

Sauf que Bibow a un don : il ne connaît pas la peur. Un don très utile aux yeux de la CIA... Le voilà vite embarqué de mission en mission, entre activistes communistes à Moscou et rassemblements hippies à Woodstock !

Juin 1964, USA. Le jeune Bibow Bradley est envoyé au Vietnam où, en toute logique, il devrait perdre un oeil comme papy (en Normandie) ou une jambe comme papa (en Corée). Sauf que Bibow a un don : il ne connaît pas la peur. Un don très utile aux yeux de la CIA... Le voilà vite embarqué de mission en mission, entre activistes communistes à Moscou et rassemblements hippies à Woodstock !

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Classement en biblio - 47 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Rowena77 2016-06-17T17:55:32+02:00

Mon envie d’ailleurs s’était envolée lorsque j’avais connu Molly, être sans elle, c’était être nulle part partout.

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Commentaires récents

Argent

C'est une histoire assez particulière et pleine de rebondissement de la vie d'un drôle de bonhomme pas si normal.

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Commentaire ajouté par Miaouss 2022-08-13T10:53:44+02:00
Or

C’est drôle, impertinent et audacieux ! C’est un roman qui se lit aussi bien en tant qu’adolescent qu’adulte. Robert Bradley dit Bibow a hérité d’un des pires surnoms de sa famille mais c’est aussi celui qui accomplira les plus grandes aventures. Tantôt soldat, tantôt agent pour la CIA, on le fera passer pour mort mais c’est bien vivant qu’il découvrira son destin.

Peu à peu, on se rend compte d’une particularité chez Bibow qui va le rendre attachant selon moi, sans cette particularité ce serait simplement une triste histoire d’un gamin qu’on envoi à la guerre et qui ne reviendra probablement jamais, or ici, sa faculté le pousse à aller d’un métier à l’autre et à sortir de l’ordinaire.

J’ai adoré cette lecture sans prise de tête bien rythmée et plutôt originale. J’ai apprécié la fin, la boucle est bouclée et on espère le meilleur à ce jeune homme dans sa nouvelle vie.

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Argent

Spoiler(cliquez pour révéler)Une version bad guy de Forest Gump ! ?

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Commentaire ajouté par April11 2015-04-19T19:03:25+02:00
Argent

e qui m’a donné envie de lire ce livre? Tout simplement ça couverture et le résumé qui annonçaient un univers complètement loufoque! J’ai été servie =) Au début je ne comprenais pas vraiment pourquoi il avait une pomme sur la tête, mais maintenant je sais et je trouve que ça représente très bien son don.

« C’est drôle, si un type vous dit qu’il croit au Père Noël vous le prenez pour un fou, alors que s’il dit croire en Dieu tout le monde trouve ça normal… »

Le livre démarre avec l’enfance de Robert Bradley, qui a hérité du surnom Bibow, il le déteste, et ça se comprend^^ Son enfance passe très rapidement, on saute plusieurs années, et j’ai trouvé dommage qu’elles ne sont pas plus exploitées. On découvre sa famille (que je n’aurai pas du tout aimé avoir), et on découvre l’environnement dans lequel il vit : un bar d’alcooliques ^^

Un jour Bibow reçoit une lettre, il est convoqué pour une visite médicale, pour partir à la guerre au Vietnam. Je ne vous en raconte pas plus sur l’histoire pour ne pas vous spoiler, mais je l’ai trouvé très originale, je n’ai jamais lu une histoire de ce genre. J’ai adoré!

« Si certains font la guerre pour la paix, d’autres font la guerre pour la guerre ; en ce qui me concernait, je voulais bien faire la guerre tant qu’on me foutait la paix. »

Un point négatif, c’est le fait que je n’ai pas réussi à m’attacher au personnage de Bibow. Il était beaucoup trop plat à mon goût, c’est comme si je le survolait.

Ce que j’ai beaucoup apprécié dans ce roman, c’est le fait que les personnages sont variés. IL y a de tout. On passe des communistes au hippies, des soldats aux alcooliques. C’est haut en couleurs!

Mais il y a également des personnages qui ont vraiment existé! J’ai trouvé ça vraiment très intéressant. D’ailleurs si vous lisez ce livre, je vous conseil d’aller voir les photos de ces personnages sur internet (pour vous donner une idée de leur tête) =)

« Quand vous êtes tout seul et que personne vous parle, vous êtes « un solitaire », tandis que quand vous êtes deux et que personne vous parle, vous êtes des exclus. »

Je sais que certaines personnes n’ont pas aimé l’humour de Bibow, mais moi j’ai beaucoup aimé. Et d’ailleurs les fautes d’orthographes (qui sont volontaires) ne m’ont pas dérangés plus que ça, ça donne un style ;-)

Les dernières pages du romans ont défilé à une vitesse folle! J’avais hâte de connaître la fin. Et j’avoue être un peu déçu, je ne m’attendais pas du tout à cela. Au moins c’est une surprise^^

J’ai donc adoré cette lecture, je vous la recommande vivement, et il apporte quelques petites connaissances sur la guerre du Vietnam. J’ai aussi trouvé que ce livre était en quelque sorte une réflexion sur la peur, car on a tous envie de n’avoir peur de rien, mais est-ce vraiment génial? A vous de lire ce livre pour vous faire votre propre avis =)

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Commentaire ajouté par Lewan 2013-12-18T12:05:53+01:00
Lu aussi

À première vue, l’histoire a l’air déjantée. À première vue partie deux, l’histoire a l’air « jeun’s » puisque le livre a reçu le titre de Pépite du Roman Adolescent européen 2012. Et enfin, à première vue partie trois, l’histoire a l’air de ressembler à un Forest Gump pour ado (pour rappel, un jeune homme doté de la particularité de ne pas ressentir la peur et qui, une fois retiré de la guerre, est recruté par la CIA et va en quelque sorte changer le cours de l’Histoire).

Voilà ce qui m’est venu à l’esprit en voyant le livre et en lisant la quatrième de couverture.

Mais plongeons dans la pratique et commençons la lecture. Première constatation en demi-teinte : la narration à la première personne. Beaucoup aime, moi nettement moins, mais pourquoi pas ? Le personnage promettant d’être haut en couleurs, ses réflexions le seront probablement tout autant. Non ?

Et bien non. Alors oui, il y a certaines répliques assez amusantes mais le reste du temps je n’ai pas du tout accroché à l’humour. Pire, les fautes (certes volontaires) de langue m’ont hérissé le poil. Je comprends que ce soit un choix artistique et je ne demande pas du langage soutenue pour un personnage peu fut-fut, mais le strict minimum ne fait pas de mal. D’autant que les quelques pépites fusant de temps en temps semblent du coup presque déplacées venant de ce brave Bibow. Au point que je me suis plusieurs fois demandée si l’auteur ne s’était pas brimé en optant pour la narration à la première personne.

Ensuite, j’ai dit « brave Bibow », mais ce n’est pas du tout le cas. J’ai été strictement incapable de m’attacher à ce personnage. Le problème avec les anti-héros c’est qu’ils ne font généralement pas dans la demi-mesure question effet sur le lecteur. Soit on les adore, soit on les déteste. Soit on adore les détester. Or il m’a juste ennuyée, voir agacée, mais n’a rien déclenché de plus palpitant qu’un haussement de sourcil (le droit).

Autre problème selon moi, la particularité partiellement définie de Bibow. On nous l’annonce dès la quatrième de couverture : il est insensible à la peur. Ceci étant dû à un problème physiologique, et non psychologique. Pour ceux qui ont du mal avec les dictionnaires je simplifie au maximum : physiologique = de cause physique. Psychologique = c’est dans la tête. Ici Bibow est véritablement né avec un problème physique (au niveau des amygdales si mes souvenirs sont bons) qui le rend inapte à ressentir la peur.

La-Peur. Et juste la peur. Pourtant on découvre assez rapidement que le personnage a d’autres tares nettement plus inquiétantes. Il n’est pas juste exempte de peur il est aussi à moitié exempte de toute émotion. Du genre psychopathe.

Dans l’absolu, j’ai rien contre un personnage psychopathe, et même ce-que-vous-voulez-path, à partir du moment où il est captivant. Malheureusement Bibow est plat.

On part pourtant d’une particularité qui aurait pu être très intéressante et qui ouvrait une large palette de possibilités voir de moment épiques, mais pwouf, ça retombe comme un soufflé !

Je partais peut-être avec trop d’attentes, justement, m’attendant à une épopée à la Forest Gump version ado. Je préfère prévenir pour ceux qui se berceraient de la même illusion : ce n’est pas le cas…

Autre point m’ayant un peu gêné, les réflexions anti-guerre, anti CIA, anti capitalisme, bref, anti-tout ou presque, mille et une fois rabâchées -avant et ailleurs- donnant un petit ton moralisateur qui arrive avec des années de retard.

Dernier soucis, l’équilibre général. Je ne parle pas du rythme, lui est plutôt à classer dans les points forts tant il est régulier. Les chapitres courts et efficaces accélèrent grandement la lecture. Le problème réside dans la répartition d’importance des personnages, du temps, et des lieux. On saute x années sans que cela paraisse avoir d’incident sur Bibow, les faits historiques sont relatés très succinctement, juste assez pour situer la scène, il n’y a quasiment aucune description de lieu… Les personnages secondaires sont plutôt grossiers, et ne suscite que peu, voir pas, d’intérêt. Ils auraient tout aussi bien pu s’appeler « Bidule » et « Machin », qu’on ne leur aurait guère prêté moins d’attention. En bref, le strict minimum pour le cadre et les personnages secondaires, et tout dans le personnage principal. C’est une stratégie qui peut s’avérer payante dans le cas d’un personnage principal vraiment fascinant, mais dans le cas de Bibow, c’est plutôt pénalisant.

Ce qui me frustre au plus haut point en plus c’est qu’il ne manquerait pas grand-chose pour me faire aimer ce roman ! Simplement plus de légèreté ou de peps dans le ton aurait changé la donne. Je le répète, il y a quelques phrases, quelques réflexions vraiment tordantes. Rares, mais revigorantes. Dommage que l’auteur ne nous ait pas fait profiter de son humour décalé plus souvent car celui de Bibow, mortellement désabusé, manque de piquant.

Finalement je dirai que ce livre –et je devrai dire plutôt « ce personnage » car le reste a si peu de place que ça en est négligeable- créé des attentes auxquelles il ne répond pas.

Selon moi, à réserver aux adolescents (plutôt garçons) en révoltes, trouvant l’apathie irrésistible. Les lecteurs novices réfractaires aux descriptions devraient aussi passer un bon moment.

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Date de sortie

La Drôle de Vie de Bibow Bradley

  • France : 2012-09-05 - Poche (Français)

Activité récente

Liilo le place en liste or
2021-02-02T13:59:36+01:00
scara l'ajoute dans sa biblio or
2017-06-20T14:47:46+02:00

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Note globale 8.08 / 10

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