La guerre des mercredis
Auteur
- Gary D. Schmidt (Écrivain)
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Classement en biblio - 19 lecteurs
extrait
"Voilà comment ça se passe dans la vrai vie.
Les sourires ne sont pas toujours là. Parfois la vrai vie ressemble à Hamlet. Un peu effrayante. Incertaine. Un peu furieuse. En souhaitant arranger quelque chose qu'on ne peut pas arranger. Avec l'espoir que ce quelque chose s'arrangera tout seul, mais en se disant qu'un tel espoir est stupide."
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États-Unis, 1968. Holding Hoodhood, victime involontaire de sa non-appartenance aux deux principales confessions de sa ville, va découvrir Shakespeare, avec l’aide de son professeur, Mme Baker, qui, quasiment chaque mois, lui donne une pièce différente à lire (du « Marchand de Venise » à « Beaucoup de bruit pour rien »). Peu à peu, il réalise à quel point les vers de « l’immortel Barde » sont toujours d’actualité, tant dans sa vie personnelle - où il va découvrir l’amitié, l’amour, la persistance des liens familiaux, le goût de l’effort et l’enivrement de la victoire - que dans cette Amérique en proie aux soubresauts de la guerre du Vietnam.
L’auteur brosse l’évolution de son personnage principal et de son environnement avec humour et légèreté, à travers quelques épisodes marquants de son année scolaire. Un livre passionnant et optimiste, bien écrit et assez facile à lire, aux personnages attachants.
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Un très bon roman, amusant et profond à la fois. A partir d'un personnage d'adolescent banal, l'auteur expose une belle histoire sur l'attachement ainsi que les liens avec les ados et les adultes à l'adolescence, tout en dessinant une fresque riche des années 60 et de l'oeuvre de Shakespeare (sans jamais être barbant - la terreur du narrateur !).
Quelques oublis de corrections de la part de la maison d'édition.
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J'ai beaucoup aimé ce livre qui introduit la littérature de Shakespeare. J'ai également appréciée le personnage Holling, qui ni juif, ni catholique tisse un lien profond avec son institutrice : Madame Baker. Celle-ci se révèle être bien plus aimable qu'en apparence tandis qu'on en apprend d'avantage sur l'histoire des États-Unis. En effet, le roman se situe en 1968, où la lutte pour les droits civiques débute.
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J'ai adoré ce roman. Je m'explique pourquoi :
- tout d'abord, j'ai aimé ce mélange entre Histoire (guerre du Vietnam), école, amitié, amour, lecture, rapport avec le professeur... C'est un mélange très bien conçue qui nous donne l'impression d'être dans le roman et de participer aux mêmes événements que Holling.
- ensuite, j'ai aimé la présentation du roman, le fait que ce soit séparé sous forme de mois (la durée d'une année scolaire), c'est ludique et pratique
- enfin, j'ai adoré les personnages, surtout Holling et Mme Baker, leur complicité dépasse l'entendement et Spoiler(cliquez pour révéler)malgré elle, elle permettra à Holling (chose que ne font pas ses parents) de grandir et surtout de s'épanouir
Voilà!
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LA GUERRE DES MERCREDIS c'est une histoire sur l'amour, l'amitié, ceux qui se cherchent, le sport, les livres (surtout Shakespeare) et la situation aux Etats-Unis pendant la guerre du Vietnam. Mais c'est aussi la vie de ses personnages: Holling et sa soeur Spoiler(cliquez pour révéler)(j'ai bien aimé qu'on sache son prénom qu'à la fin, qu'une fois qu'elle avait réussi à être celle qu'elle voulait), Danny, Doug et son frère, Mery Lee, Mai Thi, Madame Baker, Madame Bigio et tous les autres. Et on apprend à les connaître et à les aimer au fil des chapitres qui sont découpés en fonction des mois de l'année.
J'aimerais parler du livre, de ce qu'il se passe, d'à quel point il est beau et touchant mais le résumé explique très bien sans trop en dire. Mais surtout c'est mieux d'avoir la surprise et de se plonger dedans. Il faut juste savoir que la plume de Gary D. Schmidt est très belle et que toutes les citations des pièces de Shakespeare sont très bien amenées et les voir à travers les yeux d'Holling était très intéressant.
Il faut aussi savoir qu'on finit par adorer presque tous les personnages, parce que c'est très dur de ne pas craquer devant eux, et qu'au final ça fait du bien. C'est pour ça qu'il faut foncer et le dévorer !
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Je viens de me prendre une belle claque, et je ne peux que recommander à tout le monde de lire ce livre, enfin cette petite pépite!
Tout est beau dans ce roman, du décor historico-politique aux personnages en passant par la plume de l'auteur!
C'est beau, c'est frais, c'est plein d'espoir et ça fait énormément de bien! La morale n'en est pas moins puissante, et on se laisse bercer par les questionnements de ce personnage principal plus qu'attachant ^^
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Date de sortie
La guerre des mercredis
- France : 2016-01-20 - Poche (Français)
Activité récente
Titres alternatifs
- The Wednesday Wars - Anglais
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Editeurs
Résumé
S'il y a un élève du collège que Mme Baker, la prof d'anglais, ne peut pas voir en peinture, c'est bien lui, Holling Hoodhood.
Chaque mercredi, alors que la moitié de la classe de cinquième est dispensée de cours pour se rendre à la synagogue, et que l'autre moitié va au catéchisme à l'église de la paroisse, Holling Hoodhood, qui n'est ni juif ni catholique, est le seul et unique élève à rester en cours avec Mme Baker.
Elle le lui fait payer. Cela fait plusieurs mercredis qu'il nettoie les tableaux, dépoussière les effaceurs, retire les toiles d'araignée, décrasse les fenêtres. Et voilà que Mme Baker s'est mis en tête de lui faire lire du Shakespeare ! Encore un stratagème pour le faire périr d'ennui.
Pendant que Holling Hoodhood découvre La tempête et s'aperçoit que Mme Baker est moins mauvaise qu'elle n'en a l'air, l'histoire des États-Unis suit son cours. Robert Kennedy se porte candidat à la présidence, la lutte pour les droits civiques prend de l'ampleur, la guerre du Vietnam fait rage. Nous sommes en 1968, et l'Amérique s'apprête à vivre l'une des années les plus violentes de son histoire.
A partir de 12 ans.
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