La Maîtresse de Rome, Tome 2

Une très bonne épopée historique signée Kate Quinn.

C'est une histoire de drames théâtralisés où se mêlent cruauté et passion. Les évènements sont extrêmement bien décrits qu'ils nous paraissent fort réalistes. Toutefois les mots ne nous procurent pas de grandes émotions à l'égard des personnages. L'auteur surjoue aussi un peu trop le drame et ne prend pas le temps de développer beaucoup les protagonistes et leurs pensées.

Mais tout de même ce fut une satisfaisante lecture, magnifique aventure au cœur de Rome.

J'ai laissé tombé ma lecture, je n'arrivais à rentrer dans l'histoire.

Vraiment une mauvaise lecture, frustrante, lue pour un challenge. J'ai détesté du tout au tout. Les personnages ne sont pas attachants et très peu nuancés (les antagonistes sont dépeints tout de noirceur, aucune profondeur - on vous les ferra détester pour être sûrs que vous vous ralliez aux protagonistes quand Spoiler(cliquez pour révéler)ils les tueront - dommage, l'auteure n'a aucune subtilité, et c'est la meilleure façon de me donner envie de soutenir les antagonistes dans toutes leurs noirceurs exagérées Spoiler(cliquez pour révéler)je dois bien être la seule à soutenir le personnage de Lepida, qui apparemment n'a aucun amour ou qualité en elle, finalement, j'ai trouvé sa façon d'être décrite hyper sexiste - si une femme aime le sexe et fait des efforts d'apparence, ouhlala, elle mérite ce qui lui arrive, j'imagine - et d'un coup, on oublie que son premier crime avec le fils de son mari, son beau-fils, l'adultère, c'est une faute qui se partage ou non ? Oh non, bien sûr que c'est cette séductrice la cause. Pas une seule fois dans le roman, il n'y a quelque chose qui pourrait la racheter à nos yeux - j'ai détesté le traitement de ce personnage qui aurait pu être nuancé), les romances mauvaises et très peu trépidantes, c'est d'autant plus terrible que plutôt que roman historique, c'est une romance, minable où l'on retrouve des couples partout (très peu réaliste), le côté historique est là uniquement si vous n'y regardez pas trop près : le décor est planté, les évènements arrivent et il y a de manière anecdotique des choses racontées qui sont historiques. Le reste, oubliez. Vous allez retrouver des personnages avec des comportements, des attitudes anachroniques - pareil pour la façon dont ils s'expriment. C'est bien trop : l'auteure écrit de manière plate, beaucoup d'images tombent à l'eau quand elles ne sont pas juste d'un ridicule achevé... Spoiler(cliquez pour révéler)les amants qui se retrouvent au lit et qui sont décrits comme un nœud de cordes tièdes. Lepida qui tout du long est comparée à une vipère et au moment où elle meure étranglée, et décrit son supplice de manière à satisfaire les lecteurs assoiffés de sang compare elle-même, ses beaux cheveux qui se défont de son chignon comme un nœud de serpents... as if ! mais si en plus, les personnages parlent avec trop de modernité - et je parle du vocabulaire, pas des tournures de phrases...

Et alors, les personnages historiques... ils se retrouvent avec un portrait hyper noirci Spoiler(cliquez pour révéler)(Domitien - apparemment l'auteur ne se serait basée que sur les écrits à son encontre - Suétone et cie - je veux bien que les sources ne se bousculent pas au portillon pour faire des éloges à un empereur frappé de Damnatio Memoriae, mais quand même : enfin, je comprends,... il fallait bien un grand méchant à cette histoire !), soit l'inverse est arrivé Spoiler(cliquez pour révéler)Julie, la nièce - devenue vestale : du grand n'importe quoi - c'est impossible d'y entrer comme ça, et leur description est à côté de la plaque... mais aussi Domitia, son épouse, qui dans la réalité malgré que cela aurait pu lui nuire, est restée fidèle au nom de son feu mari, a été transformée en l'instigatrice du complot - du coup, elle est dépeinte en bonne matrone indépendante et manipulatrice mais bienveillante dans ce livre - la vraie maitresse de Rome... Ne vous faites pas plus d'illusion avec les personnages fictifs - au mieux inintéressants, au pire, ils méritent des baffes comme Vix... et leurs attitudes, leurs comportements... avec des citoyens romains ou des matrones... rien n'est crédible : ils auraient été tués de façon ignoble bien des pages de longueurs plus tôt, en réalité. Finalement, Spoiler(cliquez pour révéler)cela finit en happy ending bien gnangnan, où apparemment l'impératrice Domitia s'abaisse à organiser tout pour le bien-être des assassins - une prostituée juive, un ancien gladiateur et leur rejeton - l'argent pour leur voyage, le voyage lui-même, elle donne même un bijou pour qu'ils s'achètent une maison et des robes de sa garde-robe... Mais bien sûuuuuur... Comme si le bas peuple avait une telle importance à leurs yeux... d'autant plus, des conspirateurs... ils auraient été tués tout simplement, pour ne pas qu'ils vendent la mèche. Bref, je pourrais en parler encore plus longtemps, tellement il m'a frustré, mais en résumé, c'est une perte de temps.

Très bon roman, extrêmement addictif, mêlant histoire, romance et action. Je lui trouve un seul écueil : les personnages sont tellement poussés qu'ils en sont presque caricaturaux

Juste waouh... Une montagne russe émotionnelle, trois jours plus tard j'ai toujours de mal en m'en remettre.

Beaucoup d'amour, de violence, d'intrigues politiques, de suspense... Ce livre nous fends le cœur et nous fais frissonner de terreur et de frustration tout à la fois.

Au cœur de la Rome antique, ce roman historique comblera tous les fans d'épopées et de péplums sur fond d'intrigues de palais, de romance, de pouvoir absolu et de quête de liberté.

L'histoire était très historiquement réaliste et j'ai beaucoup aimé, même si elle trainait un peu en longueur vers le milieu, mais heureusement chaque chapitre était captivant et relançait facilement mon intérêt de sorte que je ne me suis jamais ennuyée.

J'ai aussi apprécié chaque personnage avec son caractère, même l'horrible Lepida qu'on haie du début à la fin mais avec une pointe de moquerie tellement elle se rend pathétique au fil de l'histoire.

Le personnage que j'ai adoré est Vix, pour son caractère de feu et son humour déplacé.

Je recommande vivement ce livre à ceux qui aiment le type historique.

Cela faisait sûrement des années que j'avais envie de lire ce livre et autant de temps à prendre la poussière dans ma bibliothèque. Maintenant que je l'ai lu je peux dire que ça valait la peine d'attendre et en même temps j'en attendais beaucoup plus. J'ai adoré le monde des gladiateurs, des jeux dans l'arène etc, mais je suis un peu déçue que Théa ait pris autant de place dans l'histoire, j'aurais aimé qu'Arius ait plus de gloire en son honneur en quelque sorte. Néanmoins c'est une saga palpitante qui nous donne envie de nous plonger dans le monde romain, à leur époque. J'ai apprécié aussi le monde des vestales, me donnant plus encore de découvrir d'autres facettes de cette Italie flamboyante !

J'ai emprunté ce livre pour valider une consigne d'un challenge, c'était celui que j'avais le plus de chance d'apprécier avec un auteur en Q parmi ceux disponible dans la médiathèque.

La lecture n'était pas déplaisante, mais ce n'est pas vraiment mon type de lecture. Je ne m'attendais pas à ça en lisant la couverture, je trouve que ce livre ne fait pas assez "romance", que les sentiments des personnages ne sont pas assez montrés (même si j'ai du mal avec la romance).

Coté personnages, j'ai beaucoup aimé Vix, Julie, Paulinus et son père, moins Arius et Théa, et j'ai détesté l'empereur et Lepida. Cette détestation à grandi au fil de la lecture, car se sont des personnages qui montrent de plus en plus leurs cotés sombres.

Ce tome est assez centré sur les relations entre les personnages, les jeux de pouvoirs.

Coté Histoire, j'ai trouvé intéressant de connaitre certains faits historiques qui ont servi de base pour le roman.

Un roman historique bien écrit, qui ne tombe pas dans la vulgarité malgré l'époque de débauche durant laquelle l'intrigue se déroule.

On ne s'ennuie pas une seule seconde grâce à de nombreux rebondissements. La narration à plusieurs voix est intéressante car elle permet de mieux comprendre les différents personnages, à la personnalité fouillée.