Mamma Maria

Sofia a quitté Paris pour rompre avec Jérôme et retrouver son pittoresques village de la côte italienne. Elle s’installe chaque jour à la terrasse du café de Maria pour travailler et jouer à la scoppa avec ses amis retraités. Un jour Franco lui demande de venir l’aider : une femme Libyenne et son enfant de 2 ans se sont réfugiés dans son poulailler, ce qui peut poser problème dans un village plutôt raciste. D’un chapitre à l’autre Sofia alterne la narration avec Maria, et nous découvrons les parcours individuels, et une solidarité qui se crée autour de Souma et son fils. Un livre léger, avec une happy end un peu facile, qui fait voyager et donne envie de voir l’Italie l’été !

Un nouveau roman de Serena Giuliano toujours aussi dolce ! Il a le goût de l'Italie, le parfum de la mer et de l'humour mais, aussi vrai que la vie, des joies et des peines. Mais surtout l'espoir.

Et l'envie d'aller faire un tour en Vespa pour boire un Amalfitano chez Mamma Maria !!

J'ai aimé que l'auteur évoque son précédent livre dans le roman. J'ai aimé qu'elle nous fasse découvrir de si beaux paysages avec des mots simples. J'ai aimé la multitude de personnage, leur caractère et leur évolution. J'ai aimé que l'auteur intègre des faits réels dans son roman. J'ai aimé qu'elle fasse voyager à Paris ses protagonistes. Le roman est simple, l'écriture est fluide. C'était un très bon moment de lecture qui met du soleil dans la grisaille parisienne.

Mama Maria est un roman passionnant et qui nous emmène dans l’Italie de nos jours, plus précisément dans la région de Salerne, la côte amalfitaine. En partant de Paris pour rentrer chez elle dans sa ville natale, Sophia, une jeune traductrice, va être plongée dans une histoire palpitante.

Et Maria, la propriétaire du bar MAMA MARIA, qui déteste sa belle-fille qui vient du nord, amoureuse de Celantano. Vont chacun à leur tour nous faire voyager dans leur ville. Sais sans compter Franco, un des petits vieux qui joue à la scopa asie au bar de Maria.

Une histoire poignante qui traite de la Dolce Vita mais aussi de l’immigration vue par les membres du petit village. Ce roman m’a fait rire et chanter, mais aussi pleurer. ET vous?

Un petit roman où l'on va suivre des moments de la vie simple dans une Italie remplis de soleil, d'amour et de bienveillance. On va suivre principalement les points de vues de Sofia, une jeune femme revenue dans sa ville natale après sa rupture ainsi que Maria, la maman du village que tout le monde aime. Mais tous va être bousculer lorsqu'un des habitués du café ne vient pas un matin.

On va aborder dans ce roman plusieurs sujets, notamment l'immigration, le racisme mais aussi un peu le deuil qui apparaît un peu plus tard dans le roman et auquel je ne m'attendais pas du tout. C'est un petit roman qui se lit facilement avec des chapitres très court, des changement de point de vue à chaque fois et une écriture magnifique !

Contente de terminer l’été par ce livre !!

C’est vraiment un livre estival qui donne envie de prendre un verre chez Mama Maria et de découvrir la côte amalfitaine !

C'est entre lecture en numérique et immersion en audio sur Bookbeat que je suis partie en Italie, posée sur la terrasse de Mamma Maria, à la rencontre de la plume de Serena Giuliano.

Assise sous le soleil italien, j'ai écouté Maria et Sofia me raconter leur histoire. J'ai pris en plein cœur tout l'amour qu'elles ont pour leur pays, leur village et ses habitants. De ma chaise, j'ai observé Maria, cette Mamma italienne qui, depuis son comptoir, fait tourner son bar ainsi que les villageois avec son franc-parler et sa sincérité, mais aussi un cœur énorme. Mamma Maria est une de ces personnes qui se soucie de tous en s'oubliant souvent. Toujours bien installée, j'ai aussi écouté les habitués du bar raconter les potins du village et je me suis sentie comme revenue au pays telle Sofia en écoutant les accents chantants.

Derrière ce feel good, l'auteure nous parle aussi de l'accueil de ceux qui fuient leur pays, mais également du racisme.

Entre solidarité, convivialité, tolérance et amour de son pays, Serena Giuliano nous offre une jolie carte postale de l'Italie.

Je retournerai bien passer quelques instants sur la terrasse de Mamma Maria écouter l'accent chantant de Maria, Sofia et tous les autres en sirotant un petit limoncello concocté par la Mamma.

C'est un bonheur ce livre. Les senteurs d'Italie, les personnages hauts en couleurs et si attachants, l"histoire personnelle et l'histoire contemporaine se mêlent: la moitié du faschisme se heurte au peuple migrain.

J'ai beaucoup aimé

J’ai écouté ce livre sans me soucier de la 4e de couverture en me disant que ce se serai léger entre 2 pavés 🤣

Et bien agréablement surprise :) en effet les sujets traités ne sont pas leger du tout mais la lecture l’est et ça a été un vrai plaisir. Les personnages hyper attachants, le cadre magnifique… voilà on a envie d’y être dans ce village :)

C'est le troisième livre que je lis de l'autrice et bon sang comme je l'aime ! Cette histoire est belle, drôle et percutante. Elle résonne avec l'actualité, la montée de l'extrême droite et du racisme. Et elle sait pourtant amener le soleil, les parfums et le goût de l'Italie ! Je vous le conseille à 100% !