Pour une grande fan de ce conte depuis ma plus tendre enfance, ce livre est vide d'intérêt et vraiment mauvais. Trop de liberté prises, tue la liberté. Et l'oeuvre en passant. Décevant.

Après avoir été terriblement déçue par Phobos de Victor Dixen, j’ai quand même décidé de lire Vampyria. Tout d’abord parce que je suis une amoureuse des vampires depuis ma plus tendre enfance, ensuite parce que l’idée d’une cour dont le temps s’est arrêté au règne de Louis XIV sous le joug des ténèbres était plus que séduisante. Et c’est tout à fait Victor : avoir des idées excellentes, mais ne pas les exploiter convenablement.

Pour commencer, il y a toujours ce problème de Mary-Sue, bien que ce soit beaucoup moins exagéré que dans Phobos, Victor s’enferme toujours plus ou moins dans ce personnage principal qui s’attire l’admiration et tout ce qui s’en suit sans qu’il y est, la plupart du temps, une raison véritablement logique à cela. C’est malheureusement ce que nous retrouvons dans une floppée de livres young adult.

Ensuite, l’univers est tellement bien pensée mais si peu exploitée que c’en est frustrant. Les personnages secondaires ne sont que des stéréotypes, on n’arrive pas à s’attacher à qui que ce soit. De plus, vu les passages parfois vraiment sanglant voir terrifiant et cette magna vampyria qui avait tout le potentiel pour en faire un chef d’oeuvre, Victor n’aurait pas dû rester dans ce thème ado/young adult. Je pense que de vouloir rester dans cette case l’a fait passer à côté de ce qu’aurait pu être Vampyria. Je m’attendais plutôt à quelque chose de plus mature, quelque chose dans les pas d’Anne Rice.

En clair, un univers extrêmement bien pensé mais trop de clichés et pas assez d’exploitation. Tant concernant cet état de vampire que des péripéties en général.

Cependant, je pense tout de même me plonger dans le second tome, en espérant ne pas décrocher de ma lecture.

PS : On apprécie la position contre la chasse à la courre glissée subtilement dans ce roman!

Après moultes décéptions suite à certaines dystopies qui n’avaient de dystopique que le nom sans vraiment d’histoire creusée derrière, je suis ravie d’être tombée sur Partials qui nous sert comme on aime.

Premièrement, c’est un point sans doute mineur pour beaucoup, j’ai apprécié que le roman soit conté d’un point de vue omniscient et non à la première personne comme c’est le cas dans pas mal de dystopie young adult. Cela rajoute à son originalité.
Les personnages sont attachants, pas de Mary Sue en vue. J’ai apprécié aussi que Kira soit d’origine Indienne, on trouve rarement ce type de diversité pour un protagoniste principal. D'ailleurs, il y a énormément de diversité dans le livre de Dan Wells, qui à mon sens représente mieux les Etats Unis, même avec 90% de la population décimée.
Le gros points fort du bouquin c’est aussi tous les efforts qu’a mis l’auteur à nous plonger au coeur de la maladie, pas seulement en nous montrant les dégâts mais également en nous expliquant chaque composants du RM. On fait littéralement les recherches en même temps que Kira, rien n’est laissé au hasard.

En somme, tout y est pour en faire une très bonne dystopie. Humour, action, pointe de romance, suspens et beaucoup de détails afin de nous plonger au mieux dans cet univers que je suis contente d’avoir lue, mais également soulagée de ne pas en faire partie!

J'ai finalement fini par lire ce bouquin. Après tout Twilight a été une partie de mon début d'adolescence.

Même si cela m'a fait plaisir, au début de retrouver les personnages ainsi que l'ambiance... il n'a pas vraiment eu d'intérêt. C'est long, mou et redondant. On a envie de coller un aller retour à Edward pour qu'il arrête enfin de se lamenter.

Ce livre n'apporte pas grand chose (l'histoire de base n'est pas fofolle de toute façon), on s'ennuie rapidement.

A lire juste pour ne pas réfléchir et replonger dans la nostalgie.

Une lecture intéressante dans laquelle il est un peu compliqué de se plonger au début, mais une fois l’histoire entâmée et la familiarisation avec tous les êtres divins il est difficile de ne pas accrocher à l’histoire de Circé racontée par Madeline. Elle est à la fois si loin et proche de nous, les mortels. On peut aisément s’y référer. Je rajoute qu’il n’y pas non plus besoin de s’y connaître en mythologie grecque, je n’en ai jamais été friande et pourtant ce bouquin a été un vrai plaisir.

L’évolution de Circé est décrite avec brio, on passe par pas mal d’étape de sa vie de Déesse qui, ormis certains détails parfois délirants, se rapproche finalement d’un humain quelconque... à quelques centaines d'année près.
On part sur une Circé fragile, bouc émissaire, jalouse et naïve à une Circé maternelle, prête à montrer ce dont elle est capable, indépendante et forte (un peu féministe il faut se l’avouer!).

Je referme ce roman avec une fascination pour cette Déesse, mais toujours pas pour la mythologique grecque en général. Leur monde de Dieux, même décrit par cet auteur à la plume poétique, reste absolument nauséabond. Tant du point de vue de la mentalité Divine que de leurs… créations. Non je ne parle pas du Minotaure. (si) Sans parler du sort réservé aux mortels qu'ils aient été bons ou moins bons.

Ne laissez pas traîner ce livre plus longtemps dans votre PAL !

Un tome où il faut avoir l'estomac et les nerfs bien accroché, The Walking Dead ne rajoute de paillettes dans ce monde post-apocalyptique et les monstres ne sont pas que les morts... loin de là.

Tome suivant s'il vous plaît!

Je reprends les comics de Walking Dead après une longue pause, j'avais arrêté suite à des scènes qui me déplaisaient et n'étaient pas le point principal d'une apocalypse zombie (comprendra qui pourra je ne vais pas m'étaler d'autant que mes souvenirs sont vagues désormais).

Ce tome était très bon en tout cas, il est temps de passer au suivant. Je veux absolument savoir ce qu'il va advenir de la troupe et des ressentiments qui se dévoilent.

J’aurais laissé une chance à ce livre jusqu’à atteindre quasiment la fin, il devait me rester un chapitre, mais impossible d’aller plus loin. J’espérais que l’histoire deviendrait plus intéressante, moins redondante et plus riches en détails au fil de ma lecture mais il n’en fut rien. Parfois je me demande vraiment d’où viennent ces notes exemplaires accordées à certains livres. Soit il y a une majorité de pré-adolescente, soit je suis trop dur en affaire. Quoi qu’il en soit, c’est parti pour les critiques. Je vais essayer de rester calme et posée car encore une déception pour encore des raisons similaires à d’autres bouquins lu dernièrement qui me faisaient de l’oeil depuis parfois plusieurs années… c’est très frustrant. D’autant plus que je venais de finir une saga dystopique et j’étais ultra contente d’en commencer une nouvelle qui avait l’air prometteuse au vu des commentaires, des notes et des placements en bibliothèque.

Premièrement, America Singer. J’avais tiqué directement sur son nom que je trouve risible. Même ça, ce n’est pas un minimum recherché. Pourtant pour trouver un nom et un prénom convenable pas besoin d’avoir fait Saint-Cyr. Là, on est déjà dans une espèce de Mary-Sue rien qu’avec son identité. Bref, au-delà de ce détail elle semble attirer le prince Maxon juste en étant une véritable tête à claque. Il n’y a rien d’original dans son caractère. C’est la même personne qu’on peut retrouver dans n’importe quelle romance adolescente. Elle ne mange pas à sa faim, elle n’aime pas le luxe, elle a une grande gueule et elle, elle ne suit pas la masse car elle veut juste éviter son ex et manger des tartes aux fraises. Rien chez elle n’est attachant, mais heureusement dans les livres on peut faire de l’effet aux autres personnages en ne faisant pas grand chose.

Ensuite, j’en ai ma claque des amoureux ténébreux aux yeux verts. Franchement sortez dans la rue et pondez-nous autre chose que ce même mec PAR-TOUT.

Ilea… on se croirait presque chez les Winx mais passons. On ne connait rien de l’histoire qui a ammené à ce système de caste. Sincèrement, l’auteur est passé à côté de tout le potentiel de son histoire. Rien que d’apprendre et d’avoir de nombreux détails au sujet des guerres aurait apporté un gros plus.

On est censé être dans une télé-réalité mais concrètement on a pas l’impression d’y être. Et au lieu d’avoir profité de toutes ces nanas entassées pour donner du pep’s… on se retrouve uniquement avec des dialogues digne de Princesse Barbie.

Il n’y a pas d’action, la seule qu’il y a ce sont des rebelles qui viennent balancer des cailloux et tout le monde se planque. C’est devenu intéressant avec l’histoire de la servante mais au final ça s’est arrêté là. On ne sait pas vraiment qui ils sont ni quelles sont leur véritable motivation. L’action c’est simplement : il y a des malades qui viennent une ou deux fois par an.

Je ne conseil vraiment pas, et à l’avenir j’éviterai de me fier aux notes.
Je n’ai rien contre le fait de retrouver des détails similaires surtout dans du YA dystopique mais là, ça n’en vaut vraiment pas le coup. C’est mal exploité et bien trop immature.

Série vu avant d’avoir lu le livre, et pourtant ça ne change pas tellement de choses. Quelque part j’espérais tomber sur mieux. Certains détails sont plus agréables dans le bouquin (pas de cause X représentée à outrance sans raisons), d’autres dans la série (notamment la dernière cassette).

L’écriture ne m’a pas emballée des masses, ce n’est pas vraiment riche et ça ne tient pas non plus en haleine. On visite simplement le quartier avec Clay, sa tasse de milkshake à la main tout en écoutant le message d’Hannah. Rien n’est creusé, tant du point de vue de l’histoire, du suicide ou des personnages. L’auteur à vraisemblablement voulu ajouter un acte dramatique à une histoire adolescente américaine des plus banales, qui finalement m’a laissé de marbre.

Je pense que ce tome est celui que j'aurais préféré. Il a été bien plus riche en péripéties, en émotions et en suspens que les deux précédents, bien qu'ils soient tout aussi épatants. Mais là, il y a vraiment quelque chose de spécial. Il en est finit des petits ricanements du Capitole, on rentre dans le vif du sujet, ce qui signifie : pertes, boulversements, enthousiasme, affolement, tristesse, angoisse, empathie... beaucoup de choses y passent!

Encore une fois je suis très agréablement surprise par l'écriture de Suzanne Collins. A la première personne, tout est moins simple à expliquer. Pourtant, on rentre sans avoir eu le temps de s'en rendre compte dans la peau de Katniss.

Le seul bémol dans l'ultime tome de cette trilogie, c'est la fin. Sans jeu de mot, je suis littéralement restée sur ma faim. Tout se termine trop vite, Katniss passe du Geai Moqueur à une quasi inconnue.
Il n'y a pas vraiment d'évolution avec Gale ou Peeta, tout se fait sans vraiment que se soit creusé, bien trop rapidement.

Je pense qu'il aurait fallu quelques pages en plus pour finir ce tome comme il se doit, mais concrètement Hunger Games est une excellente découverte. Je regrette déjà d'avoir tout dévoré et aimerait recommencer en oubliant les événements.

Bien que la première partie du livre soit un peu longuette (puis j'suis franchement pas intéressée par sa relation avec Peeta), on se laisse vite submerger par la seconde. La plume de l'auteur est toujours aussi fluide, et je trouve l'action nettement plus présente que dans le premier tome.

Il est temps de commencer le troisième tome!

J'avais les livres depuis un moment mais ils traînaient dans ma PAL après avoir finalement succomber à la saga sur grand écran. J'ai mis du temps à m'y mettre... étant de nature extrêmement loyale, je n'ai pas voulu en entendre parler au départ à cause du bruit que ça avait fait en comparant avec mon bébé : Battle Royale. Oui c'est ridicule et oui j'assume.

Bref, passons à mons avis et non à mon blabla inutile car tout le monde s'en contre-fiche haha. J'ai vraiment beaucoup aimé. Suzanne Collins écrit vraiment très bien, et il n'est pas chose aisé de réussir à plonger le lecteur dans de telles aventures en écrivant uniquement du point de vu "je". J'ai apprécié l'ambiance décrite, les anecdotes sur les plantes, la chasse (bien que je sois une fervente amoureuse des animaux et que je serais plutôt du genre à avoir le caractère de Prim haha). Mais ce que j'ai d'autant plus aimé ce sont tous ces détails que nous n'avons pas dans les films afin d'être visible pour le plus grand public. Le livre éclaircit beaucoup de points et est nettement moins adapté à des très jeunes.
Les émotions sont très bien retranscrites, même si je trouve que la peur de la mort est trop survolée. Certes ils sont habitués à la Moisson et aux émissions, mais quand on y est c'est plus intense.
Ce qui m'a fait le mettre en liste d'argent, c'est les scènes entre Katniss et Peeta sur la fin qui deviennent vraiment trop longues et cul-cul la praline. Dommage que ça ne se soit pas terminé sur la meilleure note, mais ce bouquin n'en reste pas moins de qualité.

Pour ceux qui comme moi hésite encore suite à la confrontation BR et HG, allez-y. Certes s'en ai inspiré, mais le rendu est bien différent!

Comme d'habitude, je ne suis jamais déçue par la plume de Christie Golden. Le travail des deux auteurs est incroyable.

Assurément l'un des meilleurs livres concernant l'univers de World of Warcraft de ce que j'en ai lu pour le moment. Que ce soit l'écriture, le vocabulaire riche, les descriptions si bien travaillées qu'on a l'impression d'y être ou encore les personnages, c'est juste dingue. C'est d'autant plus immersif lorsque l'on est un joueur du mmorpg, car cela nous permet de voir les endroits que nous pouvons fouler de nos montures en virtuel avec un oeil complètement différent et avec bien plus de profondeur (et notamment sur la horde/alliance et les personnages pnj).

Si vous l'avez dans votre PAL et qu'il traîne, un conseil : ouvrez-le sur le champ!

J'avais mis ce livre dans mes envies il y a bien longtemps et j'aurais peut-être mieux faire de relire le résumé avant de me lancer dans ma lecture. Quoi qu'il n'est pas très révélateur de la grosse décéption et l'énervement qui s'en est suivit. Ce livre a bouleversé l'Angleterre? J'en doute mais alors très très fort.

Bon déjà quand on parle d'enlèvement (que ce soit juste une image ou non), arrêtez de glamouriser le bourreau. J'en ai vraiment ras-le-bol de ce genre de choses, particulièrement quand c'est écrit par des femmes. C'est la honte, et cette lecture étant particulièrement adréssée aux jeunes adultes/adolescent(e)s faudra pas vous étonner des conséquences. Je parle là d'un effet de masse sur les livres YA, c'est hallucinant.

Au delà de ça quand je commence une lecture j'aime bien tomber sur des personnages réalistes et attachant, pas sur mister beau gosse de la mort qui tue et une nana imbuvable. Ca doit faire le troisième livre que je commence, qui avait l'air pas mal à première vue, et les premières lignes que je me tape c'est "il est tellement beau, musclé, gngngn". C'est à s'en taper la tête, clairement.

Tout personnage (à part les potes) qui n'est pas cette ignoble Grace est soit laid, soit mal lavé. Ca commence dès le départ, une vieille aux avec ses pointes fourchues dégoûtantes, et une autre dame qui n'a rien demandé à personne qui sort du bus à les cheveux gras, berk. Et alors je ne parle pas de ce pauvre vendeur avec une acnée sévère qui n'a pas voulu lui vendre sa bouteille d'alcool car elle n'avait pas sa pièce d'identité. Je cite attendez : "Bon, j'imagine qu'il faut bien se défouler de temps en temps, quand on a un visage aussi répugnant et couvert de pus que le sien, et aucun, mais alors aucun espoir de relations sexuelles un jour". Alors un physique disgracieux présenté dans un bouquin je veux bien, mais quand c'est gratuit et sans histoire...

C'est mauvais, vraiment mauvais.
Passez votre chemin, vous me remercierez plus tard.

J'ai beaucoup aimé cette histoire, je ne suis pas une grande fan de manga en général il y en a très peu que j'aime et Claymore a passé le test avec brio!

J'ai surtout, malgré l'histoire très fantaisique, beaucoup aimé qu'il n'y en ai pas "trop" comme c'est le cas dans pas mal de manga où c'en devient imbuvable. Là, on est face à des guerrières plus ou moins "réaliste" dans l'irréel si je puis dire, dans le sens où elles se retrouvent souvent en difficulté et sont matures. Et puis, l'histoire entre Claire et Thérèse, ça m'a convaincu dès le départ.

Je recommande!

J'ai toujours été fasciné par les vampires, depuis petite. J'avais Dracula en poster dans ma chambre à l'âge de 4/5 ans donc c'est tout naturellement que j'ai tenté ce bouquin en espérant tomber sur une bonne histoire qui relève le niveau de la bit-lit en général. Mais non.

Une fois de plus, une héroïne fade à souhait, un vampire ridicule au possible et l'écriture, la trame... non. Il n'y a donc personne qui se démarque dans cette catégorie?

Une perte de temps.

J'avais lu la trilogie en une semaine il y a quelques années et j'ai enfin pu mettre la main sur celui-ci. Définitivement l'une de mes saga favorites, j'ai dévoré le bouquin. Je ne me lasse absolument de cet univers dystopique qu'a instauré l'auteur et ça m'a fait du bien de replonger dans l'histoire avec Quatre et un peu de Tris!

Lecture affreuse. Non pas parce que c'est trop explicite ou autre, je suis habituée aux documentaires, films ou livres traitant de sujets difficiles, mais là c'est clairement sans intérêt.

Les personnages principaux ne sont ni attachants, ni intéressants. On part déjà sur un cliché de base : la belle Vic et sa peau pâle et le ténébreux Reagan, trop beau, yeux verts, cheveux noirs etc. Vu le sujet du livre, cette glamourisation m'a posé un gros problème et ça a directement dénaturalisée l'histoire.

Niveau psychologie des personnages ça reste également très peu réaliste par rapport à leur vécu. Et cette histoire de lien rendait leur captivité encore plus ridicule.

L'écriture n'est pas riche, trop de mots familiers tuent le familier.

En clair, le thème en lui même était attirant mais malheureusement je n'y ai pas trouvé mon compte. J'aurais préféré des scènes de viols moins explicites et une psychologie plus présente et fidèle aux personnes ayant vécu ces traumatismes.

Je me suis mise aux mangas après avoir vu l'anime qui m'a pas mal fait délirer. C'est pas du grand art, mais ça reste sympa et drôle, on s'attache finalement à Onizuka!

Rien de bien extraordinaire mais sympa à feuilleter de temps en temps entre deux autres lectures.

Je bavais sur ce livre depuis des années et je l'ai enfin eu. Le livre en soi est juste magnifique. La couverture épaisse et les pages cartonnées rendent vraiment l'effet grimoire escompté. Sans compter les illustrations et la mise en page qui sont un réel plaisir.

Malheureusement en vu de certains commentaires on se rend compte qu'effectivement il y a beaucoup d'inventions de la part de l'auteur, et je m'attendais plutôt à quelque chose de plus concret, de plus authentique... quelque chose qui puisse vraiment m'instruire.

Assez décevant si on s'attend à plus d'informations vérifiées.
Vraiment chouette si on passe au dessus et qu'on apprécie l'ambiance dans son ensemble.

Je n'ai pas pu finir ce livre. Tant de potentiel gâché avec des stéréotypes et une Mary-Sue, c'est vraiment dommage.

Encore une fois, Christie Golden nous épate avec un roman inspiré de l'univers de World of Warcraft. C'est indéniablement la meilleure!

J'adore le personnage de Jaina, et je l'aime d'autant plus après avoir terminé ce bouquin.

On en veut plus!

Un témoignage poignant et révoltant. L'auteure a énormément de courage et de volonté, son récit s'en ressent et en est d'autant plus accrocheur.

Que ces prétendus "prêtres" et "nonnes" brûlent en Enfer, ainsi que tous les hommes ayant profité de la détresse de ces filles pour leur voler leur innocence et leur dignité.

À lire pour prendre conscience que l'habit ne fait pas le moine.

Bon bon bon... je viens de terminer ce bouquin, et je dois avouer que je suis assez mitigée. Plus de la moitié du livre était difficile et épuisant à lire, quant aux derniers chapitres, ils étaient très entraînant donnant tout à fait envie de lire le tome suivant.

Mais je vais commencer par les points négatifs, qui ont pris énormément de place notamment dans les 500 premières pages, ce qui n'est pas rien. Je rappel tout de même que nous nous trouvons face à un gros livre de près de 800 pages qui aurait largement pu être réduit de moitié s'il n'y avait pas eu toutes ces longueurs. Je m'explique:

Le premier point négatif qui s'est imposé : l'écriture.
Autant l'auteure à un vocabulaire extrêmement riche, autant on se trouve face à des répétitions, notamment pas mal qui qui frôlent le pléonasme. J'ai bien trop souvent eu la sensation de faire enfin un pas en avant dans l'histoire, pour ensuite revenir sur des événements/sentiments précédents qui m'ont en fait refaire deux en arrière.
Du coup, face à cette écriture lente, redondante et souvent interrompue pour revenir sur le passé, on se retrouve devant une mise en place longue à souhait ce qui a failli me faire abandonner ma lecture à plusieurs reprises.
Un des autres points noirs au niveau de l'écriture, c'est ce questionnement et cette remise en question de Cornélia. On se retrouve à lire des pages entières de « pourquoi ci? Pourquoi ça? Comment cela se fait-il? pourquoi? comment? pourquoi? pourquoi? », c'est à en avoir la migraine. Tout comme « subitement » qui devient un véritable mot parasite.
Dernière chose: on suit Cornélia du levé au coucher, il y a très peu de laps de temps entre deux événements ce qui donne à l'histoire une impression de lassitude, de relire les mêmes choses, de ne pas avancer malgré les pages qui défilent.

Deuxième point négatif, et pas des moindres puisqu'il s'agit du personnage que nous suivons sans relâche : Cornélia.

J'ai eu énormément de mal à m'attacher à elle, à éprouver de l'empathie ou même de la sympathie. Je l'ai trouvé bien trop pleurnicheuse, ses yeux passent leur temps à lui brouiller la vue pour un oui ou pour un non. Elle est capricieuse avec Henri, et n'hésite pas à lui manquer de respect pour des choses qui pourraient paraître évidente... ou pour une contrariété quelconque. Du coup, on se retrouve face à une héroïne qui chouine alors qu'elle devrait montrer du caractère, et gueularde quand elle devrait être dans ses petits souliers, c'est gênant pour elle.
De plus, c'est un personnage qui, en plus de pleurer trop souvent, manque tout le temps de s'évanouir, se blesse sans arrêt, est tout le temps fatiguée et dois se reposer excessivement, et surtout a la migraine tout du long. C'en devient fatiguant pour le lecteur, et j'en ai presque moi-même eu des maux de têtes et envie de dormir.
Et puis, elle peut dire à Henri d'éviter le soleil, mais pas faire le lien avec le sang humain? C'était ridicule et incohérent. Cette manie d'être longue à la détente pour des choses logiques dont même le lecteur fait le lien avant que cela ne soit écrit est énervant et, encore une fois, nous ralenti considérablement dans l'avancée de l'histoire.

Ça fait quand même beaucoup de mauvais points, et je ne suis pas étonnée que certains aient lâché l'affaire avant la fin, voire même avant d'atteindre la page 200.

Passons maintenant aux points positifs. Moins nombreux, certes, mais pas à négliger.

J'ai beaucoup apprécié les vampires que nous décrit l'auteure. Elle a réussit à manier avec brio le moderne et l'ancien. On se retrouve du coup avec des vampires très proche de ceux d'antan, mais avec une pointe de nouveauté et d'originalité.
Les rêves de Cornélia ont été un gros point fort du livre nous faisant sortir du présent morne pour retourner 300 ans en arrière explorer ses souvenirs et ses aventures.
Le statut de Cornélia et le pouvoir qu'il lui confère apporte également une certaine originalité à l'histoire.
Je pense que l'auteure à su me retenir sur son livre grâce à cette ambiance gothique, glauque, fantastique et gore. Ce sont des univers que je n'affectionne pas tous avec la même intensité, mais les trois réunis rendait le récit à la fois terrifiant et splendide.
Une fois passé ces 500 pages environs, l'écriture est beaucoup moins lourde, et nous avançons de plus en plus rapidement dans l'histoire.
Si on s'accroche, le livre devient contre toute attente assez addictif.

Je pense lire le tome 2 en espérant que la plume de l'auteure soit aussi vive que les derniers chapitres qui ont rattrapé le coup de justesse.

Tout comme « Dans l'esprit des meurtriers », c'est un bouquin fort intéressant nous expliquant l'histoire du cannibalisme ainsi que plusieurs personnes célèbres pour l'avoir pratiqué. C'est pas joyeux, mais c'est bien expliqué et ça attise une certaine curiosité!