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Il est laid. Il est gros. Il n'a pas d'amis. Il a un travail ingrat dans une usine de papier toilette. Il est la risée et le souffre-douleur de tous ses collègues. Il vit toujours chez sa mère, une ignoble harpie qui le harcèle de ses moqueries à longueur de journée. Bref, à quarante ans, Martin Reed est un parfait loser, et son existence n'est qu'une pathétique litanie d'humiliations. Un matin, en voulant arracher un bout de pare-chocs abîmé de sa voiture, il se blesse. C'est la main ensanglantée qu'il arrive au bureau - où, pas de chance, l'attend la police, venue enquêter sur le meurtre horrifique d'une de ses collègues. L'engrenage infernal se déclenche : Martin est arrêté et écroué, dans l'indifférence de tous (y compris de sa propre mère). Pourtant, même les plus grands poissards ont des anges gardiens ; en l'occurrence, c'est la jolie inspectrice Albada qui, seule à douter de sa culpabilité, prendra notre malheureux en pitié. Grâce à elle, faute de preuves suffisantes, Martin est relâché. Mais le sort s'acharne : à peine est-il sorti de prison que Martin apprend son licenciement. Le soir même, il va au bureau récupérer ses affaires - et se fait sauvagement violer par sa secrétaire, perversement émoustillée par ses déboires judiciaires. Quand, le lendemain matin, on retrouve le cadavre de la secrétaire, tout recommence à zéro. Cette fois, pour Martin la Poisse, c'est la chaise électrique à coup sûr. Le malentendu vire au cauchemar - à moins qu'il ne s'agisse pas d'un malentendu et que Martin ne soit pas tout à fait le pauvre type qu'on croyait...
Les rêves de Martin se terminaient souvent sur cette heureuse image : sa mère disparaissait dans le néant le plus absolu. Tandis qu'il mangeait son sandwich dinde-bacon ou buvait son jus de pruneau, il imaginait qu'il était un personnage de fiction ; une espèce de comédie burlesque, pleine d'humour noir. Ses mots apparaîtraient entre guillemets ; ses pensées, en italique.
"Maman, pourrais-tu me passer le couteau à pain, s'il te plait ?" (En italique dans le texte.) Et aurais-tu l'extrême obligeance de te le planter dans le cœur d'abord ?
Court roman, ce polar permet de sourire grâce à une galerie de portraits (Martin est-il le mou qui cache bien son jeu ? Sa mère est-elle une femme équilibrée ? Et que dire de ses collègues ?), et à des réparties parfois savoureuses et cinglantes. Ce n'est certes pas le polar du siècle, mais la lecture est plaisante.
Un polar qui sort vraiment de l'ordinaire. Assez drôle même si l'on sourit plus que l'on ne rit réellement, mais cela se lit facilement et rapidement. De quoi se vider la tête entre deux lectures plus "denses".
Déjà, c'est un récit très court (peut-être un peu trop, il y a un moment qui aurait nécessité un peu plus de détails) qui se lit donc très vite.
Personnellement, j'ai bien aimé, mais je peux concevoir que l'histoire puisse ne pas toucher tout le monde, surtout à cause de Martin. Il est bien décrit dans le résumé. Méprisé de tous (collègues, assureur, et même sa mère), il ne fait cependant rien pour s'affirmer ou faire cesser ce qu'on lui fait subir. Il est complètement passif, subit en silence, trouve mêmes des excuses et minimise ce qu'il lui arrive. Même s'il se rebelle parfois mentalement contre sa mère.
Je suis quelqu'un de très calme et je me contiens énormément mais, à un moment lorsque la coupe est pleine, elle fini par déborder et, dans ces cas-là, mieux vaut ne pas se trouver à côté de moi. Et encore, je n'aurais pas accepté le quart de ce qu'il lui arrive... Bien que j'avoue avoir souri lors de certains passages... :p
Ceci dit, sa mère est franchement détestable, bien que... mais je ne vous en dit pas plus. ;)
Unique (à prononcer Youniké) est aussi.... unique... Je vous laisse découvrir le personnage pour ceux/celles qui en auront l'envie. ;)
Nous retrouvons aussi, sur quelques chapitres, le point de vue de Anther Albada, inspectrice de la criminelle un peu particulière. J'ai beaucoup aimé ce personnage.
Quant au coupable, je m'y attendais un peu. J'avais deux hypothèses qui se tenaient mais, au fur et à mesure, l'une est devenue plus évidente.
Pour la chute, elle est un peu 'spéciale', mais aussi intéressante, dans un sens.
Pour résumer, je vous recommande cette petite lecture rapide si vous voulez vous changer un peu l'esprit sans vous prendre la tête avec des choses trop compliquées et/ou trop noires.
Résumé
Il est laid. Il est gros. Il n'a pas d'amis. Il a un travail ingrat dans une usine de papier toilette. Il est la risée et le souffre-douleur de tous ses collègues. Il vit toujours chez sa mère, une ignoble harpie qui le harcèle de ses moqueries à longueur de journée. Bref, à quarante ans, Martin Reed est un parfait loser, et son existence n'est qu'une pathétique litanie d'humiliations. Un matin, en voulant arracher un bout de pare-chocs abîmé de sa voiture, il se blesse. C'est la main ensanglantée qu'il arrive au bureau - où, pas de chance, l'attend la police, venue enquêter sur le meurtre horrifique d'une de ses collègues. L'engrenage infernal se déclenche : Martin est arrêté et écroué, dans l'indifférence de tous (y compris de sa propre mère). Pourtant, même les plus grands poissards ont des anges gardiens ; en l'occurrence, c'est la jolie inspectrice Albada qui, seule à douter de sa culpabilité, prendra notre malheureux en pitié. Grâce à elle, faute de preuves suffisantes, Martin est relâché. Mais le sort s'acharne : à peine est-il sorti de prison que Martin apprend son licenciement. Le soir même, il va au bureau récupérer ses affaires - et se fait sauvagement violer par sa secrétaire, perversement émoustillée par ses déboires judiciaires. Quand, le lendemain matin, on retrouve le cadavre de la secrétaire, tout recommence à zéro. Cette fois, pour Martin la Poisse, c'est la chaise électrique à coup sûr. Le malentendu vire au cauchemar - à moins qu'il ne s'agisse pas d'un malentendu et que Martin ne soit pas tout à fait le pauvre type qu'on croyait...
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