L'Odyssée est un petit pavé versifié ( pour la VO et la traduction de Jacottet que j'ai lue ) qui raconte, comme tout le monde le sait, les aventures et mésaventures d'Ulysse en rentrant de la Guerre de Troie.
J'ai trouvé qu'il se lisait plutôt facilement, ce qui, je pense est principalement dû au rythme imposé par une versification stricte ( plus ou moins conservée par le traducteur ).
Ensuite, j'ai passé pas mal de temps à m'étonner des goûts des Grecs de l'antiquité en matière de héros. Ulysse est célébré dans tout la Grèce néanmoins la première action qu'il fait en sortant de Troie, c'est un petit arrêt "razzia" chez les voisins. De même, il n'y a pas grand monde qui semble s'inquiéter de la mort des compagnons d'Ulysse, tant que lui est de retour.
Les véritables ventures d'Ulysse ne dominent pas vraiment le récit, l'action se passe principalement à Ithaque, juste avant et juste après le récit.
En soit, je trouve le livre plus intéressant pour ce qu'il est que pour ce qu'il raconte réellement, même si je ne me suis pas vraiment ennuyée pendant ma lecture.

J'ai lu ce livre en rentrant tout juste d'Angleterre et j'étais très contente de revenir à Londres pour quelques pages ^^
En soit, il n'y a rien de très complexe dans ce livre. L'héroïne, Aurora, alias Rory ( on reviendra sur ce détail ) déménage à Londres pour le travail de ses parents, et atterrit en pension dans un lycée au plein cœur de Londres. Au même moment, la police retrouve un cadavre qui réveille rapidement le souvenir de Jack L'éventreur...
J'ai beaucoup aimé voyager dans Londres pour suivre le "nouveau" "Jack" et suivre Aurora dans sa nouvelle vie Londonienne. J'ai été assez surprise par la fin.
D'un autre côté, il a plein de petits détails insignifiants qui m'ont un peu énervée, comme le fait que personne ne semble daigner se servir de son prénom en Angleterre ( alors que pour moi c'est une spécificité plus Américaine... ). L'histoire avec Jérôme est également sans le moindre intérêt selon moi. Peut-être sera-t-elle utile plus tard, mais là, elle est vraiment là pour dire de mettre de la romance dans l'histoire.

En somme, j'ai un avis plutôt positif sur ce livre, et j'ai bien envie de lire la suite !

L'Illiade, comme beaucoup de personnes le savent, c'est l'histoire de la guerre de Troie. Enfin presque. Parce que la guerre de Troie à duré presque dix ans, et que les évènements relatés dans l'Illiade ont uniquement lieu dans la neuvième année. On a donc un petit aperçu des joyeusetés de la guerre dans l'antiquité grecque et de quelques grandes figures de la mythologie.
L'Illiade peut paraître un peu difficile à lire à cause des très nombreux noms cités. Dès les premiers chants, on a le droit à un inventaire des forces grecques en présence ( et il y a du monde ). Et même dans les autres chants, on a généralement de longs passages où l'on voit des guerriers encore jamais cités se battre, ce qui ajoute encore des noms... Autant dire que ce n'est pas très dur de s'y perdre !
On peut tout de même se rattacher à un noyau de personnages principaux, qui servent de marionnettes aux divinités qui ont l'air de follement s'amuser dans une partie de Sims endiablée ! ( je sais que cette comparaison n'est sans doute pas à la hauteur du texte mais je la trouve parfaitement cohérente avec le comportement des divinités ).
De base, l'Illiade est écrite en vers, ma traduction est en prose, j'avoue ignorer si elle a été traduite en vers, mais il reste un certain rythme d'écriture que l'on retrouve dans la prose qui rend le récit assez dynamique.
Je n'ai pas vraiment trouvé que l'Illiade regorgeait d'action. Certes, à (presque) chaque chant on nous décrit une bataille entre les Grecs et les Troyens, néanmoins ce sont généralement des soldats parfaitement inconnus qui se font tuer par les personnages principaux ce qui ne nous permet pas de nous attacher aux personnages qui disparaissent et ce qui peut laisser assez indifférent.
Leurs grands discours sur le champs de bataille m'ont assez amusée puisqu'ils m'ont parut bien peu réaliste. Je ne pense pas qu'il est réellement possible de discuter ainsi au milieu d'un champ de bataille sans se prendre un coup de lance dans le dos.
J'ai été déçue de ne pas retrouver beaucoup d'éléments marquants de la guerre de Troie dans le livre. Seuls deux personnages marquants y sont tués, et peu d'actions sortent de l'ordinaire.
Néanmoins, je me suis surprise à ne pas m'ennuyer pendant les scènes de bataille, ce qui est je pense principalement dû au rythme et à la présence continue de la mort.
Les personnages sont également assez intéressants, lorsqu'ils ne sont pas totalement soumis aux désirs des dieux.

Globalement, c'est un livre assez facile à lire qui est très intéressant pour l'histoire de la littérature.

Ce livre m'a vraiment fait enrager...

Je n'avais pas été vraiment convaincue par le premier tome, néanmoins puisque la fin était meilleure que le début, je me suis dit : pourquoi le tome 2 ne serait-il pas meilleur que le tome 1 ?

Mais ça ne l'a toujours pas fait pour moi. Je me suis pas mal ennuyée encore une fois, même si ce tome nous rapproche un peu plus de ce que je voulais ( c'est à dire décrire l'univers, le système etc ) .

C'est peut-être parce que la fuite est éreintante pour Rhine et Gabriel, et qu'ils passent leur temps à être fatigués.

Encore une fois, je ne comprenais pas vraiment l'univers : on dit être dans le futur, on peut soigner toutes les maladies, mais le monde est exactement tel qu'il est de nos jours, et ça, ça m'a pas mal perturbée...

Le principal hic c'est qu'en fait j'ai vachement accroché avec les 80 dernières pages XD donc j'ai pas aimé quasiment tout le livre, mais j'ai une folle envie de lire la suite ^^ Et ça c'est méga rageant !

Ephémère, c'est l'histoire de Rhine, seize ans, plongée dans un monde au bord du chaos suite à un "virus" qui tue toutes les jeunes filles à 20 ans et tous les jeunes hommes à 25. L'humanité revient donc à ses bons vieux fondamentaux : patriarcat hypra développé, mariages forcés, polygamie, ...
En soit, ça promet de la bonne dystopie, non ?

Bon. Je suis pas une pro en dystopie, à part 1984, et maintenant Ephémère, j'en ai jamais lu. Mais là, ça l'a pas fait pour moi.
Ce qui est chouette avec de la dystopie, c'est de découvrir l'univers, non ? de voir dans quelles horribles extrémités l'humanité peut aller en cas de catastrophe. Eh bah là, l'univers est noté dans la 4ème de couv' et pis c'est tout...

Bon, quand même pas, on l'utilise un peu l'univers, mais assez peu je trouve puisque l'action se passe intégralement dans le manoir du mari de Rhine.

J'ai eu un peu de mal à rentrer dans cet univers car je ne savais pas où le situer chronologiquement. Leur monde ressemble à s'y méprendre au XXIème siècle, si ce n'est qu'il y a des hologrammes et que c'est plus ou moins le chaos dans le monde entier.

De plus, je ne trouve pas non plus les personnages très originaux ni passionnants, sauf Cecily car elle est la seule à être réellement totalement "dans le système" et que je trouve ça follement intéressant.

L'intrigue ne m'a pas passionnée, et je me suis ennuyée un long moment, jusqu'aux cents dernières pages environ, où l'histoire à commencer à réellement décoller.


Globalement mon avis n'est vraiment pas très positif, malgré un bon finish et un gros potentiel. Mais puisque j'ai déjà le tome deux en ma possession ( vive les promos XD ) je vais le lire en espérant qu'il ressemble surtout à la fin du livre ^^

Très facile à lire, Une Maison de Poupée n'en reste pas moins extrêmement intéressant.
L'histoire suit Nora, une jeune femme mariée depuis huit ans à Torvald Helmer. Le couple est un parfait exemple du couple bourgeois Norvégien du XIXème siècle. Néanmoins, Nora semble cacher un énorme secret à son mari...
J'ai encore maintenant beaucoup de mal à m'imaginer que cette pièce ait été écrite à la fin du XIXème siècle, je l'imagine plutôt totalement prendre place dans les années 1950/1960, dans un contexte de libération féminine.
Ce n'est pas juste de la libération de la femme dont nous parle Ibsen, mais bien de la prise de conscience par un individu de tout ce qui l'asservit dans son quotidien. Nora n'est pas la seule à être tyrannisée dans ce livre. Chaque personnage de la pièce est soumis à une force qui le dépasse : l'hérédité, l'argent, la société, ... faisant d'Une Maison de Poupée non uniquement un drame mais presque une tragédie moderne où ce ne sont plus les dieux qui empêchent les humains d'être libres mais d'autres forces sur lesquels on ne peut pas agir.

Le DSV est un livre intéressant bien qu'assez difficile à lire. Etienne de La Boétie se questionne sur ce qui peut faire qu'un peuple se soumette à un tyran. Les idées et les exemples développés sont très intéressants, néanmoins, j'ai eu beaucoup de mal à comprendre. La langue du XVIème siècle est très compliquée, malgré de nombreuses notes de vocabulaire dans mon édition. De plus, je trouve que le plan du livre est assez difficile à suivre : on y retrouve pas mal de répétitions ou de détails qui peuvent paraître hors sujet ( La Boétie avouant lui-même s'être parfois particulièrement éloigné du sujet).
Je ne suis pas une experte de livres philosophiques, mais l'année précédent ma lecture du DSV j'avais étudié un chapitre du Contrat Social de Rousseau qui m'avait paru bien plus clair dans la disposition des arguments.
Le sujet traité reste cependant extrêmement intéressant et d'actualité, et les idées avancées par La Boétie sont encore pertinentes de nos jours.

Lettres Persanes fait partie de ces "must have" d'une bibliothèque, lorsque l'on lit des "classiques". J'ai passé une année entière à l'étudier ( vive la prépa --' ) donc j'en connais aujourd'hui pas mal de détails.
C'est une œuvre très intéressante sur la société du XVIIIème siècle qui amène le lecteur à se questionner sur sa manière de vivre au travers du regard perçant de persans.
Je m'attendais à ce qu'il y ait une trame narrative plus développée : au final, il n'y a pas réellement d'histoire, si ce n'est le léger bazar au sérail sur la fin du livre. Néanmoins, je trouve qu'il se lit assez facilement, la langue est claire et la quasi-totalité des thèmes abordés peuvent avoir un écho de nos jours, ce qui rend ce livre encore intéressant plusieurs siècles après son écriture.

N'ayant pas trop le temps de lire dernièrement, j'ai jeté mon dévolu sur ce livre, pas très volumineux...
Eh bah ça a pas été bien glorieux...
Les personnages ne sont pas bien intéressants. Le seul à la limite sur lequel on peut s'arrêter, c'est Patch. Ça tombe bien, c'est le mec mignon de service. Pour les autres : aucun intérêt. Les descriptions des personnages se limitent souvent à l'éternel et épuisant duo couleur d'yeux/couleur de cheveux. De plus, leur intérêt dans le déroulement de l'histoire est souvent bien limité... Elle sert à quoi, Vee, sérieux ? Au seul moment où elle semble s'intégrer dans l'histoire, l'héroïne est trop préoccupée par M. beau gosse de service pour s'occuper d'elle...
L'intrigue est quasiment inexistante, il ne se passe presque rien...
C'est vraiment dommage, parce que je suis convaincue que l'idée de base est hyper bonne, et qu'il y a vraiment moyen de faire mieux avec le thème des anges déchus.
Je crois que ce qui a le plus bloqué ma lecture c'est que j'avais déjà lu presque exactement la même histoire sur Wattpad... en mieux ( pour les curieux ça s'appelle Zel l'ange mercenaire (je l'ai lu avant la réécriture, donc ça peut avoir pas mal changé ^^ )).
Ce n'est pas un livre horrible, loin de là, il y a quelques bons points. L'univers est assez sympa, le côté Y-A sombre me rappelait un peu l'ambiance d'Abandon de Meg Cabot.
Mais c'est loin d'être un coup de cœur également...
Par contre la couv' est sublime ;)

Un classique incontournable, une véritable réflexion sur le totalitarisme et la société, et malheureusement toujours d'actualité.

Le livre suit Winston Smith, un homme semble-t-il banal dans un univers commandé par un parti, l'Angsoc, qui contrôle absolument chaque aspect de la vie de ses citoyens. Rapidement, on se rend compte que Winston doute de ce parti. En effet, né avant la révolution de l'Angsoc, son esprit n'est pas encore totalement contrôlé.
Il va alors chercher des appuis pour s'élever contre le parti. Et s'il n'était pas le seul à douter ? Et si une révolution était possible ?

Ce roman n'est pas juste une dystopie, c'est un véritable avertissement que nous donne Georges Orwell, de ce à quoi notre société pourrait ressembler et dont nous devons nous méfier.
Et malgré cela, il se lit très facilement et est assez addictif ( j'ai énormément accroché sur la fin principalement ).

Orgueil et Préjugés est un classique de la littérature britannique, et j'ai rapidement compris pourquoi. L'histoire est très belle, les personnages variés et complexes.
Bien que ce soit un classique il reste assez facile à lire ( pour ma traduction en tout cas ), et bien addictif.
J'ai adoré me plonger dans le XIXème siècle anglais et dans les histoires d'amour, de famille et de mariages des Bennet.
Et puis je suis tombée amoureuse de M.Darcy, moi ^^

Bon bah il aura pas duré longtemps entre mes mains celui-là...

En même temps, il était vraiment bien !!

Même si certains détails de l'histoire étaient très faciles à deviner ( en même temps on ne s'attend pas à autre chose dans un livre Young Adult), ça a été une vraie surprise, l'univers est bien construit, il me plaît beaucoup, bien que généralement la science-fiction ne fasse pas partie de mes préférences. J'ai bien aimé le coté "humain" qui restait dans les robots. Le côté politique de l'histoire fait, selon moi, beaucoup pour le livre. Je pense que c'est ce que j'ai le plus apprécié ^^ En plus j'ai très vite été attachée aux personnages.
J'aime bien les réinterprétations de contes de fées et celle-ci ne fait pas exception ^^

J'ai hâte de lire la suite pour voir comment cette réinterprétation va se poursuivre ^^

Petit livre tout sympatoche.

Bon, c'est loin d'être le meilleur de Meg Cabot, mais il se laisse lire facilement.

Le fait que l'histoire soit racontée principalement par messages ( mail, messagerie, lettre, ... ) est assez amusant et original, et bien mené par l'auteur.
On devine rapidement la fin de l'histoire, cela dit, on s'attache ( ou on se prend d'antipathie ) quand même vite à certains personnages.

Eh beh, encore un livre qui n'a pas fait long feu. ça commence à être énervant ces livres qui sont tellement bien qu'on les lit trop vite ! ^^

Sinon, évidemment, j'ai adoré. Il y a pas mal d'action, beaucoup de nouveautés par rapport au premier tome.
Mais à la fin il y a encore beaucoup de questions sans réponses. Je crois même qu'il y a plus de questions supplémentaires que de réponses au total.
Ce tome est aussi beaucoup plus dramatique que le premier, même s'il y a toujours des petites touches d'humour de temps à autre.
J'ai trouvé ça dommage qu'on ne voit pas trop certains personnages comme Camille, Marlène et Max par exemple.
Mais bon, on voit quand même Gabriel et pleins d'autres personnages que l'on adore, évidemment.

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Et j'ai bien aimé le come-back de Goliath aussi ^^ Je l'aimais bien, moins, Goliath ^^

Bon bah sur ce, je vais me mettre en attente du tome 3 ...

J'en ai lu des commentaires élogieux sur ce bouquin... Mais bon, il les mérite largement.

Je l'ai avalé en un jour seulement ! L'écriture est incroyable, très intense, et on perd totalement la notion du temps en lisant ce livre.
C'est une très jolie ode à l'adolescence.
Chaque chapitre permet de faire avancer le schmilblick d'un énorme pas, ce qui fait qu'à chaque fin de chapitre, on se croirait presque à la fin du livre. Mais elle arrive très, très vite quand même la vraie fin du livre ^^

La seule chose qui m'a embêtée, c'est que à cause de tous les commentaires et à cause des catégories dans lesquels il est placé, ça gâche un peu le suspense. Cela dit, c'est tellement bien écrit que ça passe quand même ^^
Une fois que je l'ai eu fini, j'ai même lu encore une fois le dernier chapitre...

Une très bonne suite, avec pas mal de suspense et toujours autant d'humour !
Les personnages sont vraiment vraiment vraiment géniaux. C'est tellement bien que je ne sais pas quoi dire de plus ^^

Une superbe BD que j'ai découvert dans le CDI de mon lycée. L'histoire est originale, le dessin super, c'est drôle ( on me prend d'ailleurs un peu pour une malade lorsque je le lis dans le calme ambiant du CDI.... ).
Et puis en plus, le parc est installé à côté de chez moi ^^

Comme pas mal de monde d'après ce que je peux lire, j'ai bien aimé ce livre, mais....

En fait, je reste assez mitigée. Le livre est sympa, l'histoire, bien que prévisible est agréable, mais il y a un truc qui ne m'a pas fait accrocher totalement. Je ne sais pas trop pourquoi...

J'ai bien aimé la plupart des personnages, mais ils manquent parfois un peu de développement. Même sur Joshen, qui est un des principaux protagonistes, on ne sait pas grand-chose.

Parlons de la fin, parce que c'est un sujet bien développé ici. C'est vrai que lorsque j'ai vu toutes les pages qu'il restait après l'affrontement, je me demandais pourquoi il y en avait autant, mais c'est vrai que dans l'absolu c'est pas idiot, puisque :
1_ il faut bien qu'elles partent de la Tartennie et ne pas mettre ça, ça aurait été comme oublier les soldats et les chanceliers Tartenniens.
2_ ça introduit le personnage du Chancelier Grendi, qui va, j'en suis persuadée, revenir dans les prochains livres.

Ensuite, c'est vrai qu'il y a des passages un peu survolés dans la fin.

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Comme lorsque Senna repense à ce qu'avait dit Espen avant sa transformation à propos du Chancelier

Ce n'est pas un mauvais livre, loin de là, mais ce n'est pas LE livre de ma vie ^^

J'ai lu deux nouvelles de Conan Doyle en anglais. Et je suis fière de moi ^^
Outre la fierté de lire des histoire en anglais, les histoires de Sir Arthur Conan Doyle sont très prenantes. Même la deuxième nouvelle, qui peut paraître moyennement folichonne lorsqu'on lit la 4ème de couverture, une histoire de triche en université est bien moins passionnante qu'un meurtre dans une famille peu commune, mais l'auteur réussi à tout rendre très intéressant.

Et puis bon, c'est Sherlock Holmes, quoi !

Jolie introduction à la philosophie pour moi ! Depuis que je sais lire, mon père me dit de lire Le Monde de Sophie, et maintenant c'est chose faite !

Ce livre nous apprends beaucoup de choses, mais il doit être lu, lu et relu, et rerelu, et rererelu si vous espérez en retenir l'ensemble de ce qu'il a à nous enseigner. Mais sinon, vous pouvez le lire une seule fois pour vous dire mais la philo, c'est classe !!
Il y a tellement de choses à dire sur ce livre... Mais ce que je préfère, ce sont les illustrations des explications d'Alberto dans la vie de Sophie.

Même si vous n'êtes naturellement pas friand de philosophie, lisez ça. Si vous adorez la philo, lisez ça. Si vous n'êtes pas un grand connaisseur de philosophie, lisez ça.

Et puis au moins, vous pourrez frimer dans les diners mondains ou les repas de famille ^^

Lu pour le bac français, j'ai bien aimé cette pièce. La fin est un peu mystérieuse et pas très claire ( mais il existe plusieurs versions ), mais à part ça, la pièce m'a beaucoup plu. Les scènes où ils parlent en patois sont très très très dures à comprendre, parce que déjà du patois d'aujourd'hui c'est pas toujours évident, mais alors à du patois XVIII ème....

Ayant très apprécié les films de Narnia, j'ai décidé de lire les livres. Ils ne sont pas mauvais, mais pour moi, il font assez enfants, contrairement aux films qui font plus ados. J'ai été assez déçue, mais je suis persuadée que si je les avais lu en étant plus jeune, j'aurai bien aimé.

Ce livre est Gé-nial.
Je l'ai dégoté dans un catalogue( j'avoue avoir d'abord flashé sur le nombre de pages ^^ ) et quand je l'ai vu j'ai su qu'il me le fallait.
Et lorsque je l'ai eu, je n'ai pas été déçue ! L'histoire est prenante, les personnages super, ... bon, je vais pas faire toute la liste, mais bon.... En bref :mer-vé-yeu.
Ça m'a donné envie de me remettre à écrire....
Mais aussi de lire la suite ( de toute façon, même s'il n'y avait pas de suite prévue j'aurais attrapé l'auteur et l'aurais séquestrée jusqu’à ce qu'elle ponde la suite !)
A lire ABSOLUMENT

Un livre lu pour le lycée, que j'avoue avoir eu du mal à finir. Ce n'est pas qu'il m'ait ennuyé, mais je n'avais pas trop le temps. J'ai l'impression qu'il ne se passe pas beaucoup de choses avant que

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Mme de Tourvel ne cède à Valmont, et qu'a partir de là, sur 50 lettres tout s'emballe. Sinon intéressant quand même sur les moeurs au XVIII.

Je l'ai enfin fini !! Il était long ! Il n'est pas horrible, loin de là, mais c'est tout de même long à lire. Les (trop ?) nombreuses allusions à des faits de son époque, ce qui rallonge encore le roman par les annotations nécessaires. Toujours est-il que l'histoire est jolie, un peu tordue par moment, comme les personnages. Je le conseille à ceux qui ont l'habitude de lire.

Toujours aussi passionnant ( et passionné ) ce Stéphane Bern !! Il a trouvé le moyen de me redonner le goût de l'histoire alors que je l'avais pas perdu ( c'est fort, hein ?!?! ). J'avoue pourtant avoir zappé le chapitre sur le roi d'Angleterre ( ils ont tous le même prénom c'est trop compliqué !! )