J'ai été ravie de retrouver Teagan et Eléna. En effet, les quitter m'avait donné l'impression qu'il manquait encore un bout de leur histoire, et pour cause, c'était le cas !

Leurs tourments ne sont pas encore terminés, mais ce dernier tome leur permet d'évoluer dans le bon sens. On voit vraiment la manière dont ils s'affirment, chacun de leur côté, et ensemble dans leur amour. J'ai été contente de constater que leur romance ne se disloque pas. Ils continuent de marcher côte à côte, s'éloignent pour mieux se retrouver. J'ai adoré !

Roman somme toute classique, ce qui m’a attirée en premier lieu, c’est la localisation. Étant Vendéene, j’ai été ravie de voir un roman d’urban-fantasy se déroulant dans mon département. J’ai vite déchanté en me rendant compte qu’il aurait pu se dérouler n’importe où ailleurs.

Nous sommes donc sur un classique du genre. Un loup-garou beau gosse sauvage, une sorcière qui a du peps… mais une histoire qui a le mérite d’être originale. Plusieurs mystères et chevauchent et ne sont pas résolus. Je me demande bien où vont-ils mener, notamment l’identité de cette louve et la raison de cette chasse à la sorcière… ça m’intrigue et ça m’a tenue en haleine.

Nous en revenons encore une fois à cette chose que je déteste : l’appartenance. Elle appartient au loup. C’est toujours pareil, vive le féminisme ! Je ne vais pas m’épancher là-dessus.

Erik est un personnage que j’ai pourtant globalement apprécié, mais il a de sérieux problèmes d’écoute. Alyssa, elle, a du mal à communiquer. Certaines situations auraient pu être évitées s’ils s’étaient simplement parlé, et ça aurait été bien plus agréable !

J’ai apprécié ma lecture, même si je n’en ai pas raffolé. Un classique, qui m’a déçu sur certains points et intrigué sur d’autres. Je lirais probablement la suite.

Que dire ? Ce tome est sans nul doute mon préféré depuis que j’ai commencé cette saga ! Je suis passée par toutes les émotions, et la fin m’a laissé pantoise et le cœur battant à tout rompre.

Béatrice Hyde-Clare a beau promettre au beau duc de Kesgrave qu’elle n’enquêtera plus, les morts ont une fâcheuse tendance à croiser sa route… Il n’en faut pas plus pour que la vieille fille de 26 ans commencent à investiguer. Pourtant, cette fois, elle est bien décidée à le faire seule. Ses sentiments pour l’inaccessible duc ne doivent pas être démasqués.

Plus facile à dire qu’à faire ! Si l’évolution de Béatrice est douce, ce tome marque un tournant dans sa vie. Elle prend petit à petit confiance en elle, soutenue et épaulée par tout un panel de personnages différents et intelligemment bien écrit.

Je pense notamment à Lady Abercrombie, cette veuve au tempérament de feu que j’admire et apprécie pour sa frivolité, son intelligence et sa capacité à renverser les codes de cette société anglaise si sûre d’elle. Béatrice peut également compter sur le soutien de sa cousine, Flora, une jeune fille bien sous tout rapport qui l’admire et est prête à tout pour l’aider.

Car la pauvre vieille fille trouvera également de nombreux antagoniste sur son chemin, et oui, j’avoue sans honte classer sa tante Vera parmi ces obstacles. Cette femme qui n’est pas fondamentalement mauvaise, n’a pas pour autant ma sympathie. Elle a participé à briser sa nièce, briser sa confiance et l’empêcher d’évoluer dans la société. C’est elle qui a précipité la rébellion de Béatrice et je l’ai trouvé peut-être plus antipathique dans ce tome-ci.

L’écriture est divine. Le style s’adapte parfaitement à chaque situation, et l’on passe du rire franc à la tension palpable. La délicieuse relation de Béatrice et du duc de Kesgrave s’intensifie encore. Ce slow-burn me réjouit car il est bien mené et inattendu. Je dois avouer que la fin du tome m’a mise dans tous mes états. Attendre la sortie française va être une véritable torture !

Je me suis investie avec les personnages de cette saga, l’ambiance chic et un poil suranné de cette société anglaise du XIXème siècle a su me toucher. Je m’identifie sans mal à Béatrice, respectant son mal-être, mais appréciant surtout le chemin qu’elle prend et qui lui permet d’avoir confiance en elle. Cette saga nous parle pas seulement de meurtres et de romance, mais d’émancipation et de liberté. C’est un véritable coup de cœur.

J'ai dévoré "La guerre des clans" de la même autrice. J'ai donc pensé qu'une autre saga de son cru me plairait, mais ce n'est pas le cas. Pourtant, j'adore les chiens. Bien plus que les chats. Cependant, je n'ai pas accroché au personne principal. En réalité, Lucky m'a énervée. Tout le temps. Difficile d'apprécier une histoire quand le personne principal nous énerve énormément. Je reconnais cependant que l'histoire est intéressante et il y a de nombreuses choses à développer, mais l'aventure s'arrête ici pour moi !

J'ai lu le premier tome en 2018, ainsi, mes souvenirs sont très flous. En relisant le commentaire laissé sur Booknode, il semblerait que je l'avais apprécié au point de le mettre dans ma liste d'or. Ce n'est pas le cas de ce second tome.

Lu rapidement, parce qu'il ne se passe pas grand-chose, je l'ai trouvé particulièrement insupportable. Laure et Alex ne me font plus d'effet. Je lève les yeux au ciel, soupire, le style est simpliste... Bref, je l'ai lu, et c'est déjà pas mal. La vengeance de Laure me laisse vraiment de marbre. À quoi bon se faire autant de mal ? Vraiment, je ne comprends pas !

Alexandre, lui, est un salaud manipulateur. Il m'a été impossible de l'apprécier, et vu que la majorité des chapitres se déroule de son point de vue, ça a été très long... Il est toxique, prétend aider Laure, mais ne fait que la dominer encore et encore. C'est un bad boy trop vu, trop apprécié, trop... et pas assez en même temps.

Disons que le roman porte très bien son titre, car les deux se font du mal, et on a presque l'impression que c'est sans raison.

Après la vengeance de Laure, j'ai survolé les dernières pages. Honnêtement, je n'avais pas envie de finir sur leur mal-être, et voir leur retrouvaille... Une nouvelle fois, la plume d'Elle Seveno ne me convient pas, et je pense m'arrêter là concernant ses romans.

Un quatrième tome haut en couleur et surtout riches en rebondissements. Malgré quelques longueurs, je dois avouer qu'il m'a particulièrement plu ! On oscille entre Claire, à son époque, et la quête de Brianna et Roger pour les retrouver et suivre leur périple en parallèle, 200 ans plus tard. Je dois avouer que ces voyages dans le temps, bien loin de me perdre, m'ont beaucoup plu. Sans spoiler, toute l'affaire autour de Bonnet m'a énormément émue, et j'ai hâte de plonger dans le cinquième tome !

Ce troisième tome m'a énormément plu. Tout d'abord, c'est celui que j'ai dévoré le plus rapidement, car l'enquête que mène Claire à son époque pour retrouver Jamie est vraiment bien menée. On plonge avec bonheur dans ces archives du passé, déterminée presque autant qu'elle à retrouver le Highlander. Et au moment des retrouvailles, impossible de lâcher le livre ! 20 ans se sont écoulés, et pourtant, rien n'a changé pour ce couple !

J'ai beaucoup apprécié la façon dont les histoires de Jamie et Claire se déroulent en parallèle sur une ligne du temps bousculée. De nombreux moments m'ont surpris, et j'ai souris plus d'une fois face aux petites touches d'humour de l'autrice !

Entre « Belle et la Bête » et « Dracula », ce roman nous propose une histoire où le temps n'est pas aussi linéaire qu'on le croit. Enlevée par le Dullahan, une terrible créature tueuse qui hante la lande irlandaise, Mila se retrouve prisonnière d'un château en 1601. Son rôle ? Lever la malédiction qui pèse sur le Maître, l'hôte des lieux qui, chaque nuit, se transforme en Dullahan et pars accomplir sa funeste mission.

Cependant, la journée, il n'est qu'un homme drôle et sensible, auprès duquel Mila va se rapprocher. On retrouve ici le scénario type de « Belle et la Bête », sans trop de surprises donc. En revanche, le dénouement final est, lui, surprenant.

Le roman se lit très vite. De fait, il n'est pas très long, mais tout se passe finalement assez rapidement. On ne prend peut-être pas assez de temps pour tout, et certaines explications sur la fin me paraissent un peu facile et tirées par les cheveux, un peu trop grosses pour être parfaitement réaliste. J'ai été un peu sortie du récit sur le dénouement final, ce moment crucial où tout se joue, car je n'ai pas tout compris, je n'y ai pas cru. À mon sens, il manque des scènes, des explications qui auraient été bienvenues. J'avoue que le dernier chapitre m'a un poil déçue. J'aurais aimé une scène où Mila retrouve sa famille, mais cela passe un peu trop vite, comme tout le reste.

Elle tombe amoureuse rapidement, découvre la vérité rapidement et tout paraît peut-être un peu trop facile. C'est probablement pour cela que j'ai eu du mal à m'attacher et m'identifier aux personnages. Cependant, j'ai apprécié la lecture sans prise de tête que ça offre.

Dans ce nouveau tome, Béatrice Hyde-Clare, bien que déterminée à éviter les ennuis, se retrouve plongée malgré elle de nouveau dans une enquête ! Et je vous le donne en mille, avec le magnifique Damien Matlock, Duc de Kesgrave ! Nous retrouvons avec un immense plaisir ce duo aux joutes verbales toujours aussi savoureuses, mais cette fois, leur relation s'approfondi un peu plus !

Je ne peux pas vous raconter les nombreux sourires que j'ai esquissé en lisant certains passages où ils se rapprochent. Et mes rires quand ils s'affrontent l'un à l'autre.

Ce second tome soulève également plus profondément la thématique du pouvoir de la femme dans une société anglaise marquée par les inégalités. Si le duc a des passes-droit partout du fait de son sexe et de son statut, Béatrice Hyde-Clare doit se travestir pour espérer avoir ne serait-ce que l'attention de ceux qu'elle interroge... et ce n'est pas facile. Cela pose alors un nouvel obstacle à notre héroïne préférée dans son enquête car, loin du huis-clos de Lakeview Hall, son sexe l'empêche d'être véritablement prise au sérieux.

D'ailleurs, on remarque bien l'évolution de son personnage. Sa prise de confiance en elle est plaisante, même si les restes de l'ancienne Bea sont encore bien cachés là, et cela nous indique donc qu'il y a encore matière à la voir évoluer.

Sa relation avec le duc est également plaisante à lire. Ce slow-burn s'installe lentement, renforcé par leur statut si différent. Sur le plan émotionnel et mental, ils s'allient parfaitement, mais dans cette société bien-pensante où l'on se marie par convenance, leur romance paraît impossible. C'est cela qui renforce notre affection pour eux.

J'ai hâte que le troisième tome sorte en France !

Je suis une grande fan des histoires en costume. Le XIXè siècle anglais fait partie de mes époques de lectures préférées. Alors quand je suis tombée sur ce premier tome dans une librairie, j'ai tout de suite sauté dessus. Ce que je peux dire, c'est que je n'ai pas été déçue.

Nous découvrons Béatrice Hyde-Clare, une orpheline vieille fille de 26 ans qui se retrouve en campagne avec sa tante et ses cousins. C'est une femme discrète et timide, qui manque cruellement de confiance en elle et a qui on a toujours bien fait comprendre qu'elle n'était pas à la hauteur. Son destin, elle le sait, est de s'occuper de sa tante quand elle sera vieille, ou des futurs enfants de ses cousins. Mais tout bascule lorsqu'elle découvre le cadavre de l'un des invités, au beau milieu de la nuit, et bien vivant à ses côtés, l'insupportable Damien Duc de Kesgrave.

Béatrice décide alors de mener l'enquête et nous entraîne avec elle au cœur de cette partie de campagne bien mystérieuse. Mais elle n'est pas la seule sur le coup, car le Duc de Kesgrave souhaite lui aussi démasquer le coupable. Et, bien qu'ils ne peuvent se supporter, ils vont devoir s'allier !

Et je dois avouer que j'ai particulièrement adorer cette alliance ! Leur joute verbale sont un vrai plaisir à lire, et on en veut plus, car on voir un début de relation se tisser entre eux. C'est un rival-to-lover comme on les aime et qui se déroule en fond, car l'important, c'est l'enquête !

Le personnage de Bea m'a particulièrement touché. Je m'identifie beaucoup à elle et j'adore la voir prendre petit à petit confiance en elle grâce à cette enquête et à son verbiage avec le duc. Elle a beaucoup d'auto-dérision, mais également ses faiblesses et ses peurs. J'ai beaucoup aimé la suivre et j'ai hâte de lire le tome 2 !

Mystère, humour, romance délicate, et suspens insoutenable, avec un coupable surprenant, ce roman est un coup de cœur !

Ce roman nous propose exactement ce que l'on attend de lui : une lecture légère, sans trop de surprises, mais qui propose des situations inédites et des personnages attachants ! Le petit plus, c'est ce triangle amoureux qui se dessine au fil des pages et que l'on apprécie sans pouvoir vraiment choisir notre petit préféré !

Un conte de Noël pour enfant sympathique, avec une jolie morale. Avec son style enfantin et ses dessins, ce roman s'adapte tout à fait aux lecteurs les plus jeunes. C'est une histoire plutôt mignonne, avec de l'aventure, de l'amitié et un univers bien construit. Pour moi, qui perd souvent mes affaires, ce Pays des Choses Perdues est une bonne alternative pour l'endroit où vont les choses que j'égare !

Bref, c'est agréable à lire et sympa à suivre !

Un second tome à la narration changeante, mais de façon toujours logique et très bien écrite ! On retrouve donc Claire et Jamie, mais également leur fille, des années plus tard ! On découvre la vérité sur le retour de Claire à son époque

Comme beaucoup je suppose, je me suis lancée dans cette saga après avoir regardé la série, et je dois avouer que ce premier tome est loin de m'avoir déçu.

J'ai commencé ce roman sans appréhension, et il m'a happé. Ce n'est pas à travers un rocher fendu que j'ai basculé, mais à travers les mots d'une autrice qui a su me toucher. Son univers est riche et bien fourni, on sent un attrait pour l'histoire, qui ne déborde pas du récit. Nous ne lisons pas une fiction qui a pour but de nous apprendre des choses, mais bien le récit de Claire Randall, infirmière mariée et heureuse en ménage qui se retrouve soudain dans le passé.

Ce roman nous présente ainsi des personnages que l'on prend plaisir à suivre. Claire est extrêmement attachante. Hypersensible, courageuse et autoritaire, on peut facilement s'identifier à elle. Elle a de la suite dans les idées et parvient à se tirer et parvient à se tirer de certaines situations délicates sans l'aide de personne. Et quand quelqu'un vient la sauver, elle n'a rien d'une demoiselle en détresse. Claire est un personnage féminin fort et doux à la fois, une bonne amie, une bonne épouse, qui succombe parfois à la fatigue.

Et que dire de Jamie ? Évidemment qu'on l'aime ! Évidemment qu'on s'attache à ce grand gaillard intelligent et cultivé qui nous séduit tant par son esprit que cette sauvagerie sous-jacente caractéristique des Highlanders.

Ainsi, ce premier tome pose le décors d'un univers riche, et nous propose des personnages tour à tour attachants ou détestables, et déroule lentement le fil d'une histoire qui va nous mener très loin. De nombreuses questions surviennent à la fin de ce premier tome, et j'ai hâte de me plonger dans le second afin d'obtenir des réponses !

Stephen King est un portraitiste incroyable ! Pour bien démarrer son roman, il nous plante longuement le décor. L'histoire se déroule dans la ville de Salem, et nous faisons peu à peu connaissance avec ses habitants et le nouveau venu : Ben Mears. Avant que l'histoire ne commence véritablement, nous devons d'abord connaître les personnages et leur train de vie. J'avoue que les 300 premières pages m'ont paru très longues, mais dès que l'intrigue a véritablement commencé, j'ai été agréablement surprise et surtout conquise par ce que nous proposait Stephen King.

Comme toujours, il parvient à me surprendre avec son style très incisif et sans fioriture. Il ne cache rien, il dévoile tout peu à peu, véritable narrateur omniscient qui raconte une histoire comme on regarderait un film. Une fois le début passé, j'ai vraiment apprécié ma lecture. Les portraits laissent la place à des vies et Salem est une petite ville tranquille et typique de la campagne américaine. Les événements qui s'y déroulent ont de quoi la secouer et je prononce volontairement aucun mot sur la nature du mal qui la touche car j'ai adoré le découvrir par moi-même !

C'est un roman que je recommande, mais le début vraiment long m'a plutôt refroidie quand j'ai entamé ma lecture. Il faut y passer et ensuite, le récit nous porte simplement !

Un roman peut-être un peu simple dans sa narration. J'ai trouvé l'histoire plutôt intéressante. Elle apporte une vision de la religion qui me parle énormément, mais le style très simple, presque enfantin, ne m'a pas permis de m'identifier aux personnages ou d'entrer dans leur tête. J'ai trouvé les relations forcées. Il n'y avait pas vraiment d'alchimie entre eux, notamment entre Alexanne et son love interest. Cependant, l'histoire m'a intrigué et je pense lire la suite !

Un autre tome tout aussi lisible. Sans casser trois pattes à un canard, l’histoire a un côté intéressant grâce aux sorcières. La, point de boule de feu qui sortent des mains, mais des plantes, des incantations, et des élixirs ! La romance se développe un peu trop vite, on en arrive trop facilement aux liens. Le fait qu’ils soient adolescents est aussi un peu agaçants, mais ce tome est un peu au-dessus des précédents

Disons que ça se lit. C’est un roman classique, déjà-vu, avec des personnages creux. Une héroïne qui se prétend forte, mais qui passe son temps à chouiner et à se cacher dans les jupes du vampires. Un développement des personnages inexistants, une psychologie absente. Ça se lit, mais c’est pas incroyable

Trois romans en un, aussi ferais-je un avis général ! Ce récit rempli d’humour noir à ce petit quelque chose de captivant malgré la redondance de sa trame ! A la manière d’une série, chaque tome nous raconte un nouveau stratagème comme un épisode nous montrerait un nouveau méchant !

J’ai pris plaisir à la lecture et je me demande où cela va mener ! Les orphelins Baudelaires se débarrasseront-ils de l’infâme comte Olaf un jour ? J’avoue être curieuse !

Lu rapidement. Plutôt sympa, mais pas folichon. Les événements passent rapidement, et on n’a pas vraiment le temps de s’attacher aux personnages. Le principe de base était vraiment cool, avec une fratrie en héros, mais tout est passé très vite, trop, et la fin arrive sans qu’on ait eu l’impression qu’il se soit passé quelque chose.

Ce roman m’a transporté de bout en bout ! Le récit qui est fait ici glace le sang par son réalisme. On croirait presque lire le journal intime d’une femme piégée dans une dictature du passé ou d’un lointain pays. Tout est pensé qu’on s’identifie à cette femme sans nom, à ces femmes qui vivent soumises aux hommes. Car tout est possible et même certains aspects ne semblent pas si dramatique.

L’humour qu’on trouve par touche apporte une certaine dimension en plus à notre Defred, de même que son passé. C’est une victime qui se conforme à son univers.

La fin ouverte nous donne à réfléchir, à nous demander ce que nous aurions fait à sa place, et comment. J’ai tout bonnement dévoré et apprécié ce roman !

Le serpent se mord la queue. Avec ce dernier tome, la boucle est bouclée ! Que de révélations ! Les complots se dénouent enfin, et notre sorceleur qui parcourt le monde dans le simple but de retrouver sa fille est en très bonne compagnie !

Sa fin, quoiqu’attendue, me laisse un peu mitigée. Je crois que je l’ai apprécié, mais je n’en suis pas sûre. Je sais cependant que l’univers complexe et très bien fourni ainsi que ses personnages vont ce manquer. Il est clair que Geralt et Yennefer se réalisent en tant que parents, c’est cela qui cimente leur couple, et l’évolution de la jeune Ciri nous rend presque aussi fier qu’eux !

Ce tome nous emmène plus loin a la recherche de Ciri. Alors que des complots éclatent au grand jour et que la jeune fille évolue, notre Geralt a bien du mal à suivre le rythme ! J’ai vraiment apprécié ce tome !

Ce tome m'a littéralement emporté ! L'auteur et ses idées progressistes m'ont agréablement surpris tout au long du roman ! Notre sorceleur se retrouve dans de beaux draps ! Blessé et affaiblis, sur une mauvaise piste, il continue pourtant inlassablement sa quête ! Je n'ai qu'une envie : lire la suite !

Malgré un scénario original, je n’ai pas réussi à trop m’intégrer dans cette histoire ! On y retrouve de nombreux clichés de la littérature young adult, mal utilisés malheureusement, et un triangle amoureux légèrement agaçant.

La narration, ou plutôt la traduction française, m’a énormément perturbé. Ce mélange d’imparfait et de passe composé empêche de plonger dans le récit et au cœur de l’action. Ça manque un peu d’émotions également !

Pour autant, je pense lire la suite, car l’histoire m’intrigue et les couvertures sont belles, sous réserve de les trouver à pas trop cher d’occasion !

Ce tome 4 est palpitants ! Cette fois, Géralt de Riv est laissé un peu en plan pour que l'on puisse se concentrer sur la petite Ciri, et ça fait du bien de trouver cette gamine comme personnage principal car elle est le centre du récit ! Même si je dois avouer que le sorceleur et sa romance avec une certaine sorcière m'a un peu manqué, je suis ravie d'avoir pu suivre les pérégrinations de Ciri et j'ai hâte d'en savoir plus !