Commissaire Venturi, Tome 3 : Hurlements

#02 #Hurlements de @AlexisLaipsker 📖

Commissaire Venturi Tome 2

‼️ Encore un coup de ❤️‼️

Juste Waouh !👏 Lu en 2 jours !😉

Le duo Cowboy/Menthe fonctionne à merveille😊

Ecriture fluide, rythmée & chapitres courts

Suspens jusqu'au derniers chapitres & fin surprenante😲

09/10📝

Quel plaisir de retrouver ce duo de flic - psy

Un appel à venturi pour le prévenir qu’on détient menthe à l eau. Il fonce chez elle et la découvre laissée pour morte avec un coup de couteau.

Dans la foulée l agresseur lui a dit qu’il détenait 5 femmes et qu’il adore les faire souffrir.

Qui est il ? Pourquoi agresser menthe à l eau ? Pourquoi appeler Venturi ? Pourquoi ces 5 femmes qui n’ont rien en commun ?

Lisez pour comprendre

J’ai eu plusieurs fois de la peine pour menthe à l eau et pour venturi chacun ayant des problèmes perso ça me prends aux tripes.

Mon ressenti à la fin de cette lecture ??? Spoiler(cliquez pour révéler)Je serai Julien, je finirai aussi interné !!!!

Mon deuxième roman de cet auteur, je suis encore une fois époustouflée de voir qu'on garde le suspens jusqu'au derniers chapitres et que la fin soit encore une fois aussi surprenante !

Clairement mon Top 1,

J'ai rien vue venir, je me sentais bête.

Et j'aime beaucoup que l'on me surprenne.

10/10, 100/100, 50000/50000 !

J’adore ce duo. Il fonctionne à merveille. J’en veux encore!!!!! Alexis Laipsker joue avec nos nerfs! Je trouve l’écriture fluide, rythmée. C’est vraiment dur de lâcher le livre avec ses chapitres courts! Une lecture haletante et stressante vous attend!

Waouh, quelle intrigue haletante ! Mon premier roman d’Alexis Laipsker et c’est une très belle découverte.

Dès le premier chapitre, le lecteur est embarqué dans cette histoire à vous glacer le sang. On a rapidement affaire à un tueur sanguinaire, qui prend un malin plaisir à faire souffrir ses victimes au plus grand désespoir des enquêteurs.

Le couple Venturi et Montalvert alias « Menthe à l’eau » fonctionne parfaitement bien, nous avons deux personnages très perspicaces et complémentaires. L’un étant commissaire et l’autre psycho-criminologue forcément leur perception des événements est différente.

On sent que le duo est bien rodé, leur complicité n’est plus à démontrer. La bienveillance et la taquinerie sont au rendez-vous, pour le grand plaisir du lecteur !

Petite déception personnelle, car je découvre ces personnages pour la première fois, mais au détour d’une page, j’apprends que ce tandem s’est déjà formé au cours d’une affaire criminelle antérieure.

Du coup, ni une ni deux, petite recherche et me voilà à acheter « Les Poupées », que je vais prochainement dévorer j’en suis certaine !

Donc petit conseil, même si cela ne gêne absolument pas la lecture de « Hurlements » (juste petite référence très légère concernant cette précédente affaire) : peut-être commencer par ce premier tome pour se mettre dans l’ambiance ! 😊

L’histoire est prenante, elle suit une certaine logique et ça fonctionne parfaitement ! Contrairement à d’autres enquêtes, où l’on découvre rapidement que le coupable, c’est ce bon vieux Colonel Moutarde dans la cuisine avec une corde .. on se retrouve plongé ici dans une quête de la vérité, à étudier chaque détail dans le but d’y déceler un indice.

On s’enfonce au fur et à mesure dans l’intrigue, les chapitres sont plutôt courts et s’alternent entre plusieurs personnages. L’appréhension et l’effroi prennent vite le dessus, ascenseur émotionnel quand tu nous tiens !

J’ai pris beaucoup de plaisir dans cette lecture, « captivant » sera mon mot de la fin. Merci pour cette angoisse Mr Laipsker et à très vite !

Quel plaisir de retrouver le commissaire Venturi (Le Cow Boy), super flic aguerri à la française, et sa jeune acolyte, Olivia Montalvert (dite Menthe à l’eau), spécialiste en psychocriminologie. Le duo était déjà au cœur du roman précédent de l’auteur (« Les poupées »). Il fonctionne bien et on ressent bien l’affection des deux héros l’un pour l’autre au travers de leurs dialogues pimentés d’humour. L’enquête démarre encore une fois sur les chapeaux de roue et maintient son rythme nerveux grâce à des chapitres courts qui intercalent le vécu de différents protagonistes dont un officier de police judiciaire. J’ai apprécié la mécanique narrative parfaitement maitrisée. J’ai également aimé le clin d’œil appuyé à un personnage du « Mangeur d’âmes », autre thriller que j’avais adoré. Encore un énorme coup de cœur pour ce roman d’Alexis Laipsker (4 coups de cœur pour les 4 romans qu’il a publiés jusqu’ici, il devient l’un de mes auteurs phares).

Avec "Hurlements", c'est un cri de joie qui sort de la bouche du lecteur, tant cela est plaisant d'avoir un thriller d'une aussi belle qualité et dans lequel on se fait habilement piégé. Alexis Laipsker confirme encore, s'il le fallait encore, qu'il est un parfait joueur et manipulateur. Découverts dans "Les poupées" c'est un vrai plaisir de retrouver Venturi et Montalvert, un duo formé de personnalités aussi différentes que complémentaires, une relation complexe et agréable teintée d'échanges facétieux et bourré d'humour. Mais l'intrigue elle, n'a rien de drôle puisque l'auteur nous entraine dans une histoire très sombre, très noire et surtout très glauque faite de meurtres, de séquestrations et de mutilations. Des atrocités décrites dans des passages sanglants, cruel et brutaux, susceptibles de heurter. Pour le lecteur aussi, il y a aussi une certaine torture mentale: qui exerce ces horreurs? pour quelle raison? quel est le lien avec le titre? Encore une fois, Alexis Laipsker maîtrise son art et sa plume pour vous embrouiller et vous attirer peu à peu dans son piège. Une jolie réussite!

Alors c'était pas mal, mais moins que les poupées.

J'ai trouvé que le duo Olivia - Victor s'essoufflait déjà mais peut-être aurais-je du attendre un peu plus entre les deux opus.

De belles descriptions bien dégueulasses, donc cœurs sensibles s'abstenir.

J'ai aimé les chapitres courts qui donnent un bon rythme mais surtout, cette envie à la fin de chaque chapitres de continuer la lecture.

Le bémol pour moi, j'ai trouvé l'ensemble assez linéaire. C'est vraiment dans le dernier tiers du roman que des rebondissements apportent un peu plus de peps.