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Concrete Rose - Quand une rose pousse dans le béton



Description ajoutée par PatateB4 2021-12-03T13:32:06+01:00

Résumé

18 ans avant The Hate U Give, retrouvez Maverick. Lycéen. Dealer. Père.

En 1998, dans le quartier noir de Garden Heights. Maverick sèche le lycée, et il a déjà un pied dans les gangs. Malgré la poigne de sa mère qui l'élève seule, il s'apprête à marcher sur les traces de son père, un baron de la drogue en prison.

Tout change lorsqu'il découvre qu'il est père. Le voilà contraint d'élever son bébé, auquel il s'attache, tout en affrontant la colère de sa petite amie Lisa.

Maverick veut être un homme bien ; il veut prouver qu'il peut faire les choses différemment. Mais on ne quitte pas les gangs si facilement.

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Classement en biblio - 96 lecteurs

extrait

" Oui. C'est un peu comme avec nous. Il faut savoir nous débarrasser de ce qui ne nous fait pas de bien. Si ça n'aide pas la rose à pousser, il faut tailler. "

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Commentaires récents

Lu aussi

J’ai trop aimé ce lovre il était géniale!!

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Bronze

Un préquel super intéressant de The hate u give où on suit Maverick dont le père est en prison et sa mère enchaîne deux boulots pour maintenir sa famille à flot. Mav a 17 ans et vit dans un ghetto où les gangs font la loi, il tente de s'y soustraire pour se construire un avenir avec Lisa. C'est vraiment une histoire touchante et poignante !

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Or

J'ai beaucoup aimé ma lecture qui a été poignante et émouvante. Je me suis vite attachée a Maverick qui est vraiment un personnage "humain". Il essai de construire sa vie tant bien que mal en faisant parfois des mauvais choix qui vont le faire grandir. J'ai aimé ses réflexions et sa responsabilité. Les thèmes abordés sont bien traités et ce roman nous fait ouvrir les yeux sur la vie des ghettos

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Or

Lecture agréable, j'ai apprécié l'histoire, vraiment bien écrite et racontée et qui nous donne toujours envie de savoir la suite

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Or

Maverick, de son petit nom Lil’Don, est le fils d’un membre d’un gang, et pour sa protection lors de sa mise en prison il a dû lui aussi s’y rallier. En plus de cela, pour avoir plus d’argent, il a commencé avec son meilleur ami King un petit business. Mais du jour au lendemain il va se retrouver papa à temps plein, à à peine 17 ans.

Tout s’enchaîne et il a du mal à sortir la tête de l’eau, c’est beaucoup de pression d’un coup. Et surtout, il veut être un meilleur père pour son fils que son propre père l’a été pour lui. Alors il va mettre toutes les chances de son côté et se ranger, malgré les nombreux obstacles qu’il va rencontrer il ne va rien lâcher, pour sa famille, pour lui-même, même si cela signifie perdre une partie de sa famille, ses frères avec qui il a tout vécu.

C’est un magnifique roman, empreint de réalisme et d’espoir pour l’avenir des personnages. Un protagoniste résilient qui nous donne envie de mieux faire nous aussi.

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Bronze

Un bon roman qui donne envie de lire "The hate U Give". Bien que je n'ai pas spécialement apprécié le style d'écriture, je trouve que nous étions vraiment plongé dans l'univers de Maverick.

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Diamant

J'ai A.D.O.R.É. !!! Apres avoir lu "The hâte U give" j'ai vraiment, trouver ça génial de retrouver Maverick, Lisa et Seven (et d'une part Starr) dans ce roman lourd de sens et captivant.

En plus on arrive mieux a comprendre la relation de Carlos et Maverick.

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Diamant

Un livre extrêmement bien écrit dans la peau d'un jeune de 17ans. Un récit qui montre toutes les failles de notre société actuelle et celles passées mais qi démontre également que tout peut devenir possible tant qu'on s'en donne les moyens, peut importe nos origines, nos croyances ou encore notre famille. Une histoire rempli d'espoir et d'amour qui se mélange à la tristesse et à la peur de certains personnages qui ne sont pas moins attachants.

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Lu aussi

"Concrete rose" est un prequel du roman "La haine qu'on donne" et s'il est pertinent et sans doute très touchant dans sa version originale, ce que me confirme ma collègue qui l'a lu en version anglaise américaine originale, il est aussi le genre de roman qu'on préférerait dans son propre français. J'y reviendrai. Sa grande force, nul doute, est le sujet lui-même, comme ce fut le cas avec les autres romans. Non seulement les personnages afro-américains restent sous-représentés ( même si ça s'améliore beaucoup), les jeunes papas le sont encore plus. Bon, reste le fait que nous avons ENCORE un roman qui place un afro-américains dans un contexte social difficile ( à croire qu'un ado afro-américain qui vit en banlieue avec une vie normale, ça reste trop demander), mais si c'est pour traiter d'un jeune qui change son orientation pour miser sur son enfant, pourquoi pas?

Néanmoins, côté plume, je ne suis vraiment pas impressionné. Encore un roman des états-unis traduit en français européens "de jeunes", déjà, c'est pas joli. Le verlant est encore pire que d'habitude, avec "reuf" ( père), notamment, que j'aurais préféré ne jamais voir tellement ce mot est laid, et tout un tas de mots totalement inconnus dont j'ai du aller pêcher sur Internet la définition: reup, tehon, donf, camé, coathar, morfale, etc.J'ai tenter de trouver ces termes en fouinant sur Internet, mais il y en avait tellement que j'ai abandonné. Mais là n'est pas le seul soucis et je dois avouer ne pas savoir si ces phrases mal construites et ces absences de déterminants et pronoms sont le résultat de l'autrice ou de la traductrice, mais ça me bloque dans ma lecture quand les phrases ne font aucun sens comme "S'il avait parlé chinois, c'était la même."( Même quoi?) ou "C'est prise de tête" ( "Une" prise de tête", ok, pas "c'est"). Donner un style "gangsta" à l'oral, d'accord, mais au moins si la qualité de la langue pouvait rester dans les paragraphes, les "hors-dialogue", c'eût été apprécié. Enfin, les dialogues manquent de clarté, notamment dans la ponctuation et dans la désignation: Mais qui parle en ce moment? En plus, il y a des termes phonétiquement moches tels que "meuf", "teuf" ou "chelou", "ouf", sorte de français inversé qui sied très mal à des américains, qui plus est. De ma perceptive québecoise, ce genre de langage sonne comme du mauvais français, un peu comme notre joual québecois. Pour vous donner une perspective, imaginez lire une histoire se déroulant en Écosse moderne, où les jeunes parleraient en joual ( le jargon québecois), ou alors des Japonais qui jargonnerait en chiac ( le jargon acadien) ou des anglais qui s'exprimerait en ch'timi.

"Concrete rose", dont même le titre non traduit me nargue, est donc un roman que j'abandonne faute de temps ( ma pile de livre à lire pour mon travail de libraire atteint mon plafond), mais aussi faute de patience. Voir des personnages des états-unis parler le dialecte des ados parisien est chaque fois bizarre et je pense comprendre pourquoi de plus en plus de jeunes francophones nord-américains ( Canada, USA, Québec) se tourner vers les version originales: elles sont linguistiquement beaucoup plus crédibles et à tout prendre, l'anglais est presque plus facile à lire que ce langage étrange des rues de France ( où peut-être de Paris?). Je comprend l'idée de traduire le langage de "guetto" ( le langage de rue), pour être dans l'esprit du sujet, mais dans une autre langue, on aurait gagner à garder quelques termes spécifiques des USA et un français plus international.

Or, ici, on sent que le lectorat visé était la jeunesse parisienne, qui comprend ce genre de langage troqué et inversé. Il aurait quasiment mieux convenu de le traduire une seconde fois par un/une traducteur/traductrice en français américain, pour qu'il soit plus compréhensible pour les Acadiens, Québecois et autres francophones du continent. Cette pratique est déjà largement courante en France de re-traduire les romans québecois en français européen, précisément parce que les français ne connaissent pas le français québecois/canadien, même s'il s'agit de la même langue. C'est surtout quand on traduit les dialectes que c'est pertinent.

Et puis, il faut dire que nous avons des termes cousins entre francophones et anglophones américains.

Donc techniquement, il aurait été plus logique de voir une histoire se déroulant aux États-Unis traduit dans le français américain que celui de l’Europe. Mais ainsi, ce serait les européens qui se seraient alors plaint de ne pas comprendre, et ce serait probablement recevable. Bref, comme je le mentionnais plus haut, c’est sans doute un bon roman dans sa pertinence, mais c'est pénible à lire en version française.

Comme je ne l'ai pas terminé, je ne lui attribue pas de note.

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Or

Très agréable de retrouver des personnages que l'on connaît déjà et de connaître leur histoire, comment ils en sont arrivés là, ce livre est vraiment bien écrit et le personnage de Maverick est vraiment fort, déterminé même si la vie n'est pas facile pour lui, on sait qu'il va y arriver

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Dates de sortie

Concrete Rose - Quand une rose pousse dans le béton

  • France : 2022-01-06 (Français)
  • Canada : 2022-02-16 (Français)
  • USA : 2021-01-12 (English)

Activité récente

Clodeor l'ajoute dans sa biblio or
2024-03-23T22:49:22+01:00
Nyllia l'ajoute dans sa biblio or
2023-09-28T09:21:15+02:00

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 96
Commentaires 25
extraits 7
Evaluations 49
Note globale 8.33 / 10

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