Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
QUAND LA VIE PREND UN VIRAGE AUSSI TERRIBLE QU'INATTENDU, COMMENT SE RÉINVENTER ET GARDER ESPOIR DANS L'AVENIR ?
Léa a 16 ans, un talent immense et un rêve à réaliser. Entraînée par son père, qui est à la fois son modèle, son meilleur ami et son confident, elle avance avec confiance vers cet avenir tout tracé.
À 17 ans, Anthony, obligé de faire face à l’absence de son père et aux gardes à vue de son frère, ne rêve plus depuis longtemps.
Ils se sont croisés une fois par hasard ; ils n’auraient jamais dû se revoir.
Pourtant, lorsque la vie de Léa s’écroule, Anthony est le seul à pouvoir l’aider à se relever.
Leurs destinées s’en trouvent à jamais bouleversées.
Ça fait un moment qu’on ne s’est pas vus. Cent deux jours, pour être précise. J’espère que je te manque atrocement, ça t’apprendra. N’en déduis pas que je n’avais pas envie de te voir ou que, vu le chaos intersidéral qu’est devenue ma vie dernièrement, je n’ai plus le temps de penser à toi. Je pense à toi à peu près deux mille fois par jour. Je vois une feuille, une salière, une voiture, un savon, je pense à toi. C’est plus fort que moi. Je relis nos textos quasiment tous les soirs… Il m’arrive même encore de reconnaître ta silhouette à la sortie du lycée ou sous un abribus. Puis la silhouette se retourne et l’espoir s’envole. Évidemment, ce n’est jamais toi.
Le problème, quand ta vie s’effondre, c’est que personne ne t’avertit. Ce serait cool d’avoir une voix off, une lettre, un message WhatsApp, même un télégramme envoyé par pigeon voyageur : « ALERTE ROUGE, jusqu’ici ta vie était normale, mais mets ta ceinture, parce qu’elle va basculer dans la merde la plus totale. »
Bref… En vrai, chialer des baignoires les yeux fixés au plafond en écoutant Adèle à fond n’est pas une solution viable sur le long terme (en tout cas selon Amel). Il faudrait que je passe à autre chose. Comment ? Je ne sais pas. Même Google ne sait pas, c’est dire. J’ai cherché. Ni sur Vinted ni sur eBay on ne trouve de cœur de rechange.
Je te vois sourire d’ici. « Léa écrit des lettres maintenant. » Pour quelqu’un qui n’a jamais réussi à dépasser le 8,7 de moyenne en français, j’avoue, c’est ambitieux, mais je n’ai rien trouvé d’autre. Je sais que ça fait longtemps que j’aurais dû aller te voir, t’expliquer la situation en face, mais je ne peux pas. J’ai trop peur de te décevoir.
Je suis désolée si tu t’es inquiété de mon silence. Avant je pensais qu’on pouvait décider de sa vie, qu’on était maître de son avenir. Mais on ne vit pas dans un film américain avec un happy end à la con. La réalité, c’est que le bonheur et le malheur sont distribués au hasard, par un destin sadique, complètement con, aveugle ou ivre mort.
Voire tout ça à la fois.
C’était la minute philosophie du jour, ne me remercie pas. Il faut dire que j’ai eu beaucoup de temps pour réfléchir depuis les événements.
Putain, si vous ne lâchez pas de larmes pendant votre lecture, c'est que vous avez lu entre les lignes et que vous êtes passé à côté de tout...
Ce roman est super beau, hyper touchant et très, très bien écrit. Il parle, que dis-je, il ne passe pas par quinze chemins, il part en ligne droite jusqu'au milieu du cœur et percute toutes les cordes sensibles sur son passage.
Il n'est ni trop long ni pas assez, la plume de Marie Vareille est pleine de justesse et de niaque. Elle émeut, elle révolte, elle blesse, elle redonne le sourire, tout ça à la fois.
Les personnages sont bien construits, ils sont si humains qu'on peut facilement s'identifier et comprendre les épreuves qu'ils traversent. On a envie de les prendre dans nos bras, comme si on les connaissait personnellement et c'est à ça qu'on se rend compte que c'est un très bon roman... quand on oublie que ce ne sont que des personnages de papier...
Je me souviendrais longtemps de ce syndrome du spaghetti, qui est d'une logique imparable et donne à réfléchir.
Une fois n'est pas coutume, à chaque sortie d'un roman de Marie Vareille je saute dessus. Il faut dire que je ne suis jamais déçue et Le syndrome du spaghetti s'annonçait tout particulièrement génial.
Le syndrome du spaghetti, c'est l'histoire de Léa et d'Anthony. A 16 et 17 ans, ils n'ont rien en commun si ce n'est le basket. Ils ne vivent pas au même endroit, n'ont pas la même situation financière ni familiale et auraient pu ne jamais se rencontrer. Et pourtant. Une rencontre par hasard va les amener à se revoir encore et encore. Et lorsque la vie de Léa va basculer, c'est Anthony qui va lui donner espoir.
Lorsque j'ai commencé ma lecture du syndrome du spaghetti, je savais que cette lecture n'allait pas me laisser indemne. D'abord parce qu'il m'a été livré avec un paquet de mouchoirs (et autant dire que cela veut tout dire) mais aussi et surtout parce que j'ai vu passer quelques avis (sans les lire) et qui ne laissaient pas place au mystère quant au fait que ce roman allait en émouvoir plus d'un.
Léa est une héroïne vraiment passionnée. Du soir au matin, le basket occupe ses pensées. Il faut dire que celle-ci s'apprête à réaliser son rêve, entrer à l'INSEP épaulée par son père (et coach). Un avenir tout tracé l'attend si elle y arrive. Mais son destin va basculer du jour au lendemain et la jeune Léa va devoir se réinventer totalement. Elle va passer par de nombreuses phases, ne plus y croire mais sans jamais rien lâcher. Sa force de caractère est un atout. Pour autant je ne vous cache pas qu'a certains moments, elle me donnait aussi l'impression de prendre tout à la légère et sans avoir la maturité pour ce qu'il lui arrivait. Mais bon, difficile de se mettre à sa place, dans ses conditions.
Dans cette descente aux enfers, il y a Anthony. Je dois dire que j'ai bien apprécié son personnage. Un père absent, une mère qui se démène, un frère qui passe son temps en garde-à-vue, bref, Anthony n'a pas la vie facile. Mais il veut s'en sortir. Travailler, aller plus loin que ce que pense les gens autour de lui et montrer que là d'où on vient ne définie pas ce que l'on est. Il est comme une bouffée d'air frais dans ce roman dont la tension monte au fil des pages.
Car comme son nom l'indique, Le syndrome du spaghetti c'est une histoire de basket mais pas que. C'est une histoire de passions, d'espoirs, de famille et d'amitié. C'est également une histoire qui aborde la maladie et qui touchera le lecteur sans qu'il s'y attende et croyez-moi, même si vous y être préparés, Marie Vareille a le don pour vous prendre par surprise et vous émouvoir quand vous vous y attendez le moins.
C'est d'ailleurs ce qu'il s'est passé pour moi. En quelques secondes, à un passage précis, les larmes me sont montées sans préavis. Pour redescendre aussi sec mais tout de même. Et puis les pages défilent et on sent que l'histoire ne nous laissera pas indemnes. La tension monte, doucement mais surement et on s'attache aux personnages, Léa et Anthony bien sur, mais aussi et surtout Anaïs et leur mère. Bon sang, cette famille m'aura vraiment déchiré le cœur. Je crois avoir davantage été touché par les liens entre Léa, sa sœur et sa mère que par le côté sportif.
Il est difficile de parler du syndrome du spaghetti sans en dire trop. Car je trouve que l'histoire s'apprécie pleinement en en sachant le moins possible. Une chose à dire, ce roman aux couleurs clairs (d'apparence) est bien plus sombre qu'il n'y paraît. Dans le sens où ce que traverse les personnages est dur et ne vous laissera pas indifférents. Mais on en ressort tout de même avec le sourire, car Marie Vareille nous donne de l'espoir, même dans les moments les plus sombres.
Léa a tout ce qui faut pour être heureuse : une famille, une passion et un rêve, celui de devenir joueuse professionnelle de basket. Mais toute cette vie bien rangée va basculer du jour au lendemain, transformant le rêve en cauchemar.
Une merveille ! Très émouvant, j'ai pleuré à de nombreuses reprises. Il montre vraiment la réalité de l'acceptation de la maladie... Ce livre mérite d'être connu !!
Sous ses airs de roman young adult ou jeunesse, "Le syndrome du spaghetti" est un roman beaucoup plus profond et touchant qu'il n'y paraît. Avec Léa, une héroïne et une adolescente extrêmement touchante et de nombreux personnages tout aussi intéressants, on vibre d'émotions à chaque instant dans cette histoire qui a su me surprendre. On se prend d'affection pour elle et on chemine à ses côtés au gré de son évolution sur sa vision des choses, un personnage vrai parfaitement retranscrit. L'autrice aborde ainsi la thématique du deuil (d'un être cher et d'un rêve et d'une carrière) et de la maladie, mais elle a su les explorer à la perfection avec beaucoup de justesse émotionnellement parlant et tout en mettant en avant des sujets peu communs pour illustrer ces thématiques. Un pari osé mais extrêmement payant et merveilleusement réussi. Au final, ce livre montre ce qu'est l'apprentissage de la vie et qu'il faut parfois dévier de sa trajectoire pour pouvoir rebondir et se tracer une toute aussi belle mais différente vie.
Je retrouve la plume de Marie Vareille avec le roman Le syndrome du spaghetti que j'avais envie de découvrir depuis un moment.
Léa a seize ans et un avenir tout tracé. Elle a un énorme talent pour le basketball qui devrait lui permettre de devenir pro si elle continue sur sa lancée.
Elle n'arrive pas avouer ses sentiments à son meilleur ami, c'est ici sa seule ombre au tableau.
Seulement, la vie est rarement parfaite et Léa va devoir faire face à un terrible drame qui va faire voler en éclats ses projets. Mais le destin va mettre Anthony sur la route de Léa et c’est grâce à lui que Léa va voir une petite lumière au bout du tunnel.
Ce roman n’épargne pas ses personnages. Et Léa évidemment mais également sa soeur.
Ce roman aborde le deuil, une maladie rare qui s’appelle le syndrome de Marfan (que je ne connaissais pas du tout) – Le syndrome du spaghetti permet au lecteur d’en savoir plus sur le sujet.
Et enfin, ce roman parle évidemment de basketball comme nous le montre la couverture.
En tout cas, j’ai passé un très bon moment en compagnie de ce roman.
Elle a le chic pour t’embarquer, Marie Vareille, même si les faits n’ont rien d’extraordinaire et que c’est un roman dit jeunesse. Ça fonctionne très bien. On est dans l’empathie totale avec Léa, en perte de tout : repères, père, santé, projets, passion… Et c’est un amour inattendu qui la sauve.
Ce qui m’a le plus intéressée, c’est le mensonge omniprésent dans lequel s’enferre la narratrice : on craint qu’il n’agisse comme une bombe à retardement.
« « Il faut toujours viser la lune, car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles. » Chaque fois que je la vois, elle me rappelle que plus tu vises haut, plus ça fait mal quand tu viens te fracasser en bas. »
J’ai dû sortir les mouchoirs, gagné !
J’ai désormais envie de le faire lire à ma fille et à mes élèves.
Ce livre est une pépite. L'histoire de Léa m'a complètement embarquée. Ce livre montre que la vie est précieuse et que même si tout s'écroule, un plan B peut devenir un plan A.
La structure du livre est top. L'écriture de Marie Vareille est tellement juste et additive. Je ne connaissais pas le syndrome de Marfan. C'est très intéressant d'être sensibilisé à ce genre de symptômes.
Le moment où Léa ouvre les yeux et découvre la "vraie vie" est juste énorme.
Résumé
QUAND LA VIE PREND UN VIRAGE AUSSI TERRIBLE QU'INATTENDU, COMMENT SE RÉINVENTER ET GARDER ESPOIR DANS L'AVENIR ?
Léa a 16 ans, un talent immense et un rêve à réaliser. Entraînée par son père, qui est à la fois son modèle, son meilleur ami et son confident, elle avance avec confiance vers cet avenir tout tracé.
À 17 ans, Anthony, obligé de faire face à l’absence de son père et aux gardes à vue de son frère, ne rêve plus depuis longtemps.
Ils se sont croisés une fois par hasard ; ils n’auraient jamais dû se revoir.
Pourtant, lorsque la vie de Léa s’écroule, Anthony est le seul à pouvoir l’aider à se relever.
Leurs destinées s’en trouvent à jamais bouleversées.
Afficher en entier