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L'enfer de Verdun - On ne passe pas !



Description ajoutée par RMarMat 2015-02-21T15:38:05+01:00

Résumé

L'enfer de Verdun évoqué par les témoins et commenté par J.-H. Lefebvre

Perso, je ne peux apporter de description à ces témoignages. ça se lit... et après je vomis la guerre...

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Classement en biblio - 1 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par RMarMat 2015-02-21T15:39:21+01:00

"Tous vinrent à Verdun pour y recevoir je ne sais quelle suprême consécration comme s'il eût fallu que toutes les provinces de la Patrie eussent participé à un sacrifice d'entre les sacrifices de la guerre, particulièrement sanglant et solennel, exposé aux regards universels. Ils semblaient, par la Voie Sacrée, monter pour un offertoire sans exemple, à l'autel le plus redoutable que jamais l'homme eût élevé."

Paul Valéry

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Diamant

Et malgré tous ce qui a pu être écrit sur la guerre, l'homme continu à la faire, à construire des armes toujours plus destructrices, à vendre des armes, à se tuer, à s'entretuer...

Et si Dostoïevski avait raison "Le mal est une fatalité, liée à l'homme en tant que tel, à sa conscience." Lui qui se considérait comme un être ordinaire, vil, sordide ; lui qui se considérait comme un irréductible "foyer de négation" pensait "que le mal ne réside pas dans une mauvais organisation de la société... mais dans l'individu. La civilisation, loin d'adoucir les mœurs, de rendre l'homme moins sanguinaire, exaspère au contraire ses penchants mauvais et il suffit de regarder autour de nous, en ce XIXe siècle : Le sang coule à flot, gaiement même comme du champagne et il se peut que l'homme finisse par découvrir une certaine volupté dans le sang."

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Commentaire ajouté par RMarMat 2015-02-21T15:55:59+01:00
Diamant

Et malgré tous ce qui a pu être écrit sur la guerre, l'homme continu à la faire, à construire des armes toujours plus destructrices, à vendre des armes, à se tuer, à s'entretuer...

Et si Dostoïevski avait raison "Le mal est une fatalité, liée à l'homme en tant que tel, à sa conscience." Lui qui se considérait comme un être ordinaire, vil, sordide ; lui qui se considérait comme un irréductible "foyer de négation" pensait "que le mal ne réside pas dans une mauvais organisation de la société... mais dans l'individu. La civilisation, loin d'adoucir les mœurs, de rendre l'homme moins sanguinaire, exaspère au contraire ses penchants mauvais et il suffit de regarder autour de nous, en ce XIXe siècle : Le sang coule à flot, gaiement même comme du champagne et il se peut que l'homme finisse par découvrir une certaine volupté dans le sang."

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