Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 790
Membres
1 013 825

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

L'Origine de nos amours



Description ajoutée par x-Key 2016-02-17T16:42:00+01:00

Résumé

« Un jour, je me suis remarié.

Le lendemain, mon père quittait son domicile. Entre les deux événements, personne dans la famille n’a fait le lien.

Et pourtant, mon frère est psychiatre.

J’avais ma petite idée mais j’ai préféré la garder pour moi. Mon père, je le connaissais mieux que personne. Pour une raison toute simple : nous avions divorcé ensemble. Lui de ma mère, moi de ma première femme.Lui le lundi, moi le mercredi, de la même fin juin 1975. Et rien ne rapproche plus qu’un divorce en commun. Alors je savais que les coups de tête n’étaient pas son genre. Il suivait des plans, toujours généreux dans leur objectif, mais le plus souvent déraisonnables. Cet été-là, nous avons commencé à parler d’amour, mon père et moi. Nous n’avons plus cessé. »

Erik Orsenna

(Source : Stock)

Afficher en entier

Classement en biblio - 13 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par ilovelire 2016-09-05T13:06:13+02:00

Peu à peu la méthode de la pêche à pied fit ses preuves. Jour après jour et juillet succédant à juin, mon panier se remplissait de contentements aussi improbables qu’hétéroclites.

Une phrase trouvée pour mon récit : « sans musique, la vie râpe ».

Une belle navigation en solitaire, par vent force sept sur l’échelle de Beaufort, un enchaînement de virements propres et précis dans le dur clapot d’un courant contraire.

Afficher en entier

Ajoutez votre commentaire

Ajoutez votre commentaire

Commentaires récents

Commentaire ajouté par Luc35 2020-04-14T17:13:27+02:00
Pas apprécié

Je le trouve original.

Or, je trouve le scénario moyen.

La relation passé - présent je préfère dans les souvenirs et les flash-back.

J'ai du mal dans d'autres cas.

Sinon, c'est créatif.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par hcdahlem 2016-06-06T20:17:42+02:00

Le père et le fils se retrouvent dans leur refuge de l’île de Bréhat pour soigner une «maladie» commune : ils ont divorcé en même temps de leurs épouses respectives, en 1975. L’occasion d’un dialogue père-fils sur l’origine de leurs amours et… de leur malédiction.

Grâce aux digressions qui sont la marque de fabrique d’Erik Orsenna et dont l’érudition et la curiosité régalent ses lecteurs de livre en livre, cette conversation va être l’occasion d’en apprendre davantage sur les ingénieurs qui ont fait la gloire de la France, sur le rôle des amants dans les jouets, sur le vocabulaire de la voile. Sans oublier la méthode de la pêche à pied qui prouve, une fois encore, que le père d’Erik est bien un héros. Cette méthode soigne les bleus à l’âme et consiste à ramasser dans un petit panier tous les petits trésors que l’on peut amasser au fil des jours. Quand au bout d’une semaine ou d’un mois, on renverse son panier, on comprend que «les collections de bonheurs minuscules permettent de traverser les passes difficiles».

«C’est ainsi que me revint, d’abord timide puis déployée, la joie de vivre, ce très étrange sourire intérieur.» Un moteur indispensable à l’écrivain, déjà nourri «de mots, de scènes, d’intrigues et de rebondissements» par toute sa famille.

On comprend certes que «dans cet univers mouvant où toutes les vérités sont possibles et se contredisent» il soit bien difficile de bâtir un amour stable, mais avec un égoïsme non dissimulé, on se réjouit de ces drames familiaux à répétition. Car ils nous offrent ces plaisirs de lecture presque jubilatoires lorsque l’auteur nous entraîne sur les pas d’une famille presque normale : «Double origine : le Bordelais et la Haute-Loire. Rien de particulier. Les mariages durent. Les naissances et les morts s’enchaînent. Rien à signaler. (…) Tout se gâte quand l’un de nos ancêtres de la branche bordelaise, tailleur de son état, décide de partir pour Cuba.»

Voici donc Augustìn Arnoult sur la petite île des Caraïbes au début du XIXe siècle. À la terrasse du café situé sur la place principale, il ne sait plus où donner de la tête – à tel point qu’il sera obligé de consulter pour des problèmes vertébraux – s’il veut détailler tous ces corps somptueux qui s’offrent à lui. Il est pourtant jeune marié et ne peut imaginer dans cette occupation qu’une déformation professionnelle, une sorte de prospection de nouveaux clients.

C’est du moins ce que le père tente, dans un premier temps, d’expliquer à son fils. Mais l’écrivain (et le lecteur !) veulent en savoir plus sur cette généalogie qui a conduit via le grand père cubain né en 1860 à cette malédiction du mariage instable.

Habilement, Erik Orsenna nous fait patienter avant de nous en dire plus. Car son père disparaît. C’est la recette qu’il trouve pour conjurer le sort.

Dans son appartement, Eric (on notera que tout au long du récit, ce sont les vrais noms et prénoms qui sont utilisés) trouvera, outre le dossier généalogique, des dossiers soigneusement annotés et malheureusement peu fournis aux noms de chacune de ses compagnes successives. Catherine, la mère de ses enfants, puis Isabelle dont il fait des vœux pour cette fois, « ce soit la bonne».

On l’aura compris, il ne s’agit pas ici d’un guide matrimonial, bien bien plutôt d’un bel hommage d’un fils à son père, ce héros qui aura tout tenté pour faire le bonheur de sa progéniture. Voilà donc l’origine de l’amour filial.

Et c’est tellement bien que ‘on se réjouit du livre qui sera consacré à sa mère et qui est quasiment annoncé dans les dernières pages.

http://urlz.fr/3Gn7

Afficher en entier
Commentaire ajouté par NathalieCez 2016-05-05T11:58:37+02:00
Argent

Quand le père et le fils divorcent en même temps, des liens se renouent et la réflexion se lance sur cette malédiction qu’ont les deux hommes à pouvoir garder leurs épouses.

Erik Orsenna nous emmène dans un livre plein de fantaisie, nous racontant la relation tout aussi ambiguë qu’il l’unit à son père sur la fin de sa vie.

J’ai trouvé ce livre très plaisant à lire. Le ton est léger et parfois drôle, mais avec beaucoup de tendresse.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par heleniah 2016-04-04T11:39:04+02:00
Bronze

Je connaissais Orsenna pour La Grammaire est une chanson douce et ce genre de petits romans, de contes fort bien écrits. J’ai donc commencé celui-ci sans trop savoir dans quoi je me lançais.

Plus un hommage à son père, Erik Orsenna nous raconte leurs mésaventures amoureuses et leurs quêtes de bonheur. En effet, son père et lui ont divorcé la même semaine et étaient bien décidé à comprendre pourquoi ça n’avait pas fonctionné. Pour cela, le père en appelle à l’histoire d’un ancêtre qui aurait porté la malchance amoureuse sur la famille.

Dans ce roman, la fiction se mêle à la vérité, j’en ai d’ailleurs appris beaucoup sur Orsenna (je ne savais pas que c’était un pseudo, inculte que je suis). J’ai bien aimé le passage qui se passe dans les îles, très bien écrit et amusant. Le reste est parfois un peu long, même si on ressent bien tout l’hommage du père pour son fils et la volonté de réécrire les histoires, en l’occurrence de leurs propres vies.

En bref, un joli roman, mais pas assez fictionnel pour moi, j’ai tendance à plus vite me lasser si les auteurs parlent trop de leur vie. J’aurais préféré renouer avec Orsenna avec un vrai roman, qui me raconte à moi une histoire !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Lauraline-Xywz 2016-03-28T10:53:06+02:00
Bronze

Nous avons ici l'Orsenna-fils de et non l'écrivain, le style est donc très différent. Des dialogues, des souvenirs d'enfance, pas de recherche particulière sur les mots et les phrases comme dans ses autres oeuvres. Aucune citation relevée, c'est un signe !!

J'avoue avoir été un peu gênée par ce grand déballage intime, surtout en sachant que la mère de l'auteur est encore vivante. Certes, l'écriture de cet ouvrage a sans doute eu un bienfait thérapeutique pour lui, mais tellement médiatisée que c'en est suspect, d'autant qu'il annonce déjà le même exercice autour de la personnalité de sa mère. L'humour, l'autodérision et le ton enlevé ne sauvent pas l'ensemble.

Autant j'aime la verve sympathique de l'auteur, sa fausse modestie, et ses écrits précédents, autant avec celui-ci, c'est un brin de déception qui me reste, une fois le livre refermé.

Afficher en entier

Dates de sortie

L'Origine de nos amours

  • France : 2016-03-09 (Français)
  • France : 2017-05-10 - Poche (Français)

Activité récente

Les chiffres

lecteurs 13
Commentaires 5
extraits 14
Evaluations 3
Note globale 7 / 10

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode