Que d'aventures avec Nina. Il se passe toujours pleins de choses avec elle et les enfants l'adorent, pourvu que vous racontiez l'histoire avec une voix de petite fille haut perchée :P (Attention, l'exercice est plus difficile qu'il n'y parait..)
Ici, Nina s'énerve et c'est un plaisir de raconter cette histoire, pour voir comment les petits vont réagir. J'adore particulièrement quand ils essaient de calmer Nina, alors qu'elle est dans le livre et que c'est moi qui raconte en m'énervant :D
Bref, le petit cheminement de cette histoire est au top, car à la fin, un invité surprise est de retour.. et pas des moindres ;)

Encore un petit album pas mal pour raconter à mes petits poulets à la crèche, eux qui commencent déjà à ne pas vouloir aller à l'école, alors que la rentrée n'est que dans 8 mois ^^'

C'est la petite Lou qui est à l'honneur dans cet album-ci, et quelle petite. C'est une supergirl qui n'a pas peur de s'imposer et de rabattre le caquet des garçons!!
Dans la lignée des autres, drôle, coloré, simpliste et avec un petit message qui passe facilement. A savoir, les filles peuvent aussi faire ce que font les garçons. Et parfois, elles le font même mieux!! ;)

Bon, eh bien pour le coup, je suis déçue, parce que sincèrement, ça ne casse pas des briques et c'est du vu et du revu...
Attention, je ne dis pas que je n'ai pas aimé. L'écriture est fluide, le récit est captivant et ça se laisse lire sans réfléchir, mais c'était trop cliché, trop prévisible, trop simple, trop facile, trop rapide et encore une fois, nos personnages principaux sont canons, parfaits, bien foutus et ça donne un côté publicité mensongère...
Cela étant, le récit est bien mené, les rebondissements s'enchaînent, certains personnages sont super intéressants et on aimerait en savoir plus sur eux, genre Vinny ou Preach, quant au style d'écriture, il est bien sûr très accrocheur et donc très parlant.
Aussi, heureusement que le passé respectif des deux personnages principaux était suffisamment intéressant pour éveiller la curiosité, parce que sinon, j'aurais sans doute lu moins vite et je serais moins motivée pour lire la suite..

Bon, comme d'habitude, j'écris mon commentaire à chaud et là, je dois dire que j'ai beau lire les vôtres, chers amis livresque, eh bien je ne comprends pas votre point de vue...
Non pas que je n'ai pas aimé cette lecture, mais je ne lui prêterais pas autant de louanges. C'était touchant, oui. C'était brut. C'était douloureux. C'était libérateur. C'était beau. C'était intense. C'était fort. C'était authentique. Mais pour ma part, c'était aussi un peu rapide...

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Un "Je t'aime" balancé comme ça, à peine dans le chapitre 4, c'était trop tôt pour moi et ça m'a coupé dans mon élan, et quand je commence à me dire que ce n'est pas crédible, il en faut beaucoup pour que ce sentiment s'en aille...
Ce qui est le plus prenant dans ce roman pour moi, ça n'a pas été la relation entre Sacha et Damien, mais bel et bien celle entre Sacha et le petit Nick. Ça, effectivement, je ne m'en remet pas et en suis encore profondément ébranlée, mais dans le bon sens du terme. J'en suis émue et absolument bouleversée. A tel point que je n'ai pas de mots pour ça...
En sommes, je dirais donc que le travail d'écriture vaut le détour et fait mouche sans grande difficulté. L'émotion est présente dans la moindre petite phrase, dans chaque paragraphe et il est véritablement difficile de reposer le bouquin, tellement il nous est urgent de savoir ce qui va arriver aux personnages. En sommes, c'est donc terriblement addictif, même quand ça pique les yeux, même quand ça nous révolte, et même quand ça nous agace parce qu'ils ne se comportent pas comme on le voudrait...

Décidément, Fleur Hana s'est véritablement ancrée dans ma tête, avec ses romans hyper légers, drôles et optimistes au possible.
Celui-ci est aussi addictif et parlant que les précédents tomes qui concernent les Golden Boys. Et je ne dis pas ça parce que je suis physiquement jumelle avec Léo...
Encore une fois, Fleur Hana ne se focalise pas sur le physique de ses personnages et le fait que les garçons soient Gogo-danseurs n'est pas le fil conducteur de ce roman, ce qui est une vraie bouffée d'air frais et une satisfaction intense, parce que c'est le reste qui nous intéresse.
Tout est addictif, l'écriture est fluide et accrocheuse, y'a pas de bla bla inutile, c'est simple, sans chichis, c'est ni trop long, ni pas assez, bref, c'est drôle, attendrissant, ça parle, on peut s'identifier, ça donne la patate, ça fait sourire, ça fait rêver...
Bref, j'adhère et ne serait-ce que pour l'optimisme de Léo, qui dit merde à tous ceux qui lui cherche des poux, et la simplicité de Yoan, qui reste honnête et sincère du début à la fin, je recommande fortement ce roman.
(Ps: A quand le tome qui met en scène FX?)

Fin du tome 5 pour moi, mais aussi fin tout court, car vraiment, cette saga ne m'a pas du tout convaincue...
Si ce n'était qu'à cause de ces néandertaliens qui sont à la limite de balader leurs femmes en les tirant par les cheveux, je dirais que ça peut passer, mais il n'y a pas que ça. J'ai trouvé que ce tome-ci était assez décousu, irréaliste

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(comment ne pas faire de dépression et reprendre sa vie bien tranquillement après avoir buté quelqu'un? Vous arriveriez à faire ça, vous? Pour des nanas qui ne voulaient pas faire partie du club, elles s'en remettent vite je trouve...)
et trop similaire aux autres, question relations hommes/femmes, à savoir qu'ils sont tous pareils, surtout les mecs. On pourrait échanger leurs prénoms entre eux, qu'on y verrait que du feu. Tous des obsédés, quetards et égocentriques.
Bien sûr, c'était hyper addictif, puisque je l'ai fini en 2 jours, mais je n'arrive pas à ne pas être déçue, parce que j'avais espéré un peu plus de "normalité". Bref, c'est moins vulgaire que dans les 2 premiers, ça baise moins à droite et à gauche, mais ce n'est pas encore ça, pour ma part, même si les rebondissements étaient là et que l'histoire allait quelque part.
Je n'ai pas accrochée à cette vision prêtée aux clubs de Biker. J'espère sincèrement qu'ils ne sont pas réellement comme ça, parce que ce serait dommage. Attention, je parle essentiellement de relations hommes/femmes, car en ce qui concerne le côté loyauté, famille, fraternité et tout, je n'ai rien à redire, c'est évidement un bon point qui m'a fait apprécié plus d'un personnage, mais voilà, ça n'a pas suffit.
En conclusion, puisque je ne lirais pas la suite, (pas seulement parce qu'elle n'est pas encore sortie en France), je dirais que si vous commencez cette saga, focalisez-vous sur les filles pour ne pas lâcher l'affaire trop vite. Ne vous attardez pas trop sur le langage des mecs et dites-vous que toujours que dans la vraie vie, vous avez le droit de dire non et que non, ça veut dire non, et pas "si, vas-y, baise-moi comme une chienne et fais-moi mal!"
PAS DU TOUT MA TASSE DE THÉ!!! (Le premier qui me parle comme ça, il peut être bien membré et élu Mister Univers, il peut avoir la gueule de Thor, le torse d'Aquaman, ou la carrure d'un Dieu grec, mon pied s'en ira caresser son cerveau du bas tellement fort qu'il pourra plus s'en servir pendant minimum 1 mois!!!)
Bref, en espérant que cette saga plaise à quelqu'un d'autre, parce que je l'avoue, il faut quand même le faire pour écrire un bouquin, alors une vingtaine...

A la fin du tome 3, j'ai dit que je donnais encore une fois sa chance au prochain tome, parce que la saga se bonifiait de tome en tome, mais encore une fois, j'ai été déçue, parce que celui-ci est moins bien que le 3...
Bon, je l'avoue, ça frise un peu moins l'obsession pour sa queue dans ce tome-ci, mais ce n'est pas encore ça et il faudrait sincèrement passé du Neandertal à l'erre dite de l'homme "respectueux et reconnaissant", parce que sans les nanas, dans cette saga, les mecs n'en mèneraient pas large et ne seraient que des gros dégueulassas, crados, machos, vivant dans des porcheries et incapable de se faire cuire un œuf. Pourtant, les femmes ne sont pas des femmes de ménages, ni des cuisinières et encore moins des vagins sur pattes à baiser n'importe où et n'importe quand, sans avoir le choix, juste parce que le type est canon et bien membré. C'est débile, dégradant et ça n'a rien d'attirant..
En gros, heureusement que les nanas sont là, car ce sont bel et bien elles qui donnent de la profondeur à cette saga. Pour preuve, dans ce tome, c'est bien London qui est le personnage principal et non Reese, même si je l'ai préféré dans ce tome, car il est bien meilleur dans le rôle du papa, que du chef de clan qui se tape des petites jeunettes qui pourraient être ses filles.
J'hésite donc à lire la suite, parce que je sais d'avance qu'il ne me plaira pas, parce que les mecs vulgaires, bourrins, machos, violents et irrespectueux comme ceux-là, ce n'est pas du tout ma tasse de thé. Parce que ça frôle trop souvent la limite entre ce qui est consentit et ce qui ne l'est pas.
Dommage, parce que l'histoire a du potentiel et quand l'action est là, il est difficile de lâcher le bouquin. Je dirais donc que question addictivité et suspens, ça en vaut la peine, mais pour le reste, je suis beaucoup moins convaincue...

En général, il ne faut pas lire les commentaires de chaque tome d'une saga avant de la lire, mais là, il faudrait sincèrement, parce que les commentaires sur le 1er pourraient lui porter sévèrement préjudice. Or, autant le 1er tome était nul, mais le deuxième était un cran au-dessus et celui-ci, un cran au-dessus du 2, donc je dois dire que cette saga se bonifie de tome en tome, ce qui est un point suffisamment important pour donner une chance à cette saga et ne pas s'arrêter à la fin du 1er...
Ici, un peu plus de maturité encore, malgré quelques clichés encore une fois chiants au possible. Cependant, beaucoup moins de vulgarité ici et des types un peu moins cro-magnons que dans les précédents. De plus l'histoire tient la route et le cul ne prend pas toute la place et n'est pas le sujet principal de tous les chapitres.
De ce fait, je dirais que ce tome 3 est plus addictif que les 2 premiers, l'histoire de fond se poursuit et le fil conducteur est tenu du début à la fin. Et encore une fois, les filles sont le petit plus qui permet de ne pas lâcher l'affaire, car elles donnent bel et bien le ton à chaque fois qu'elles ouvrent la bouche.
Girl power donc, et je laisse encore une fois sa chance au prochain tome...

J'avais un énorme à priori avant de commencer ce tome 2, étant donné que j'ai trouvé le 1er hyper décevant, dégradant et sexiste au possible. Eh bien, mon avis pour celui-ci n'est pas loin du premier, même s'il est un cran au-dessus tout de même...
C'est comme si l'auteure avait lu les commentaires négatifs sur le tome 1, avant de rédiger le 2, car j'ai trouvé celui-ci bien moins outrageant, moins vulgaire et pour le coup, bien plus intéressant et "mature", avec un vrai fond et des enjeux plus sérieux.
En bref, même si je n'ai pas trop accroché au style d'écriture, le suspens est là, les rebondissements s'enchainent et l'obsession de Ruger pour sa queue était un peu moins étouffante que dans le 1er avec Horse.
Bien sûr, ça reste violent et cru, et la vision de la femme est sacrément entachée par tous ces crétins dirigés par leurs queues, mais on va dire que la voix des femmes suffit à relever le tout et à en faire une lecture suffisamment bonne, pour ne pas être amenés à perdre notre temps...
Je donne donc une chance au tome 3, ne serait-ce que pour Em, Dancer, Marie, Sophie et toutes les autres.

Ben ma fois, c'est franchement nul à chier... et si c'est ce genre de trucs qui vous fait mouiller, les filles, ben c'est très dommage et vous passez à côté de votre vie sexuelle, la vraie, genre celle qui est saine et équilibrée et qui vous rendra heureuse et épanouie.
Ce bouquin n'est vraiment pas génial, le style d'écriture est un peu décousu, on s'y perd souvent, les personnages ne sont pas franchement attirant, et je ne parle pas de physique, ça on va dire que ça passe, même si les clichés s'enchainent...
Bref, c'est dégradant du début à la fin et les seuls personnages à peu près intéressantes, ce sont les filles qui ne se laissent pas faire un minimum et osent ouvrir leurs gueules et rendre la pareils à ces bourrins, machos, obsédés par leur bites et dirigés par cette dernière. Sincèrement, y'a pas besoin d'être vulgaire et violent à ce point pour qu'une nana veuille coucher avec un mec et inversement, les filles, vous n'avez pas à vous laisser faire quand un type vous parle comme ça. Vous avez le droit de dire non et d'être traitée avec respect, même si vous n'avez rien qui pendouille entre les cuisses!!!
Moi qui croyais que les Christian Grey et autre Massimo Torricelli étaient sacrément fêlés dans leur têtes, eh bien ceux-là sont carrément pire et pour ma part, ça ne m'a pas fait vibrer un seul instant, bien au contraire. Parce que pour la question du consentement, on y repassera, hein...
Bref, je suis déçue, car l'histoire avait du potentiel et ça promettait d'être super sympa. De ce fait, je ne donne pas cher du tome 2...

Bon, eh bien pour le coup, c'est la surprise...
Moi qui, en général, ne supporte pas les histoires de cul qui démarrent en trois chapitres, je dois avouer que là, je suis tombée dedans la tête la première et c'est bien simple, je n'ai même pas utilisé mon marque-page une seule fois...
Ça me gonfle quand je lis encore et encore que le héros est hyper canon et bien foutu, ça me gonfle quand j'entends qu'il est question de gens friqués et parfait des pieds à la tête, mais je dois bien avouer que là encore, j'ai simplement lu, sans m'arrêter sur ça une seule seconde. Et sans m'arrêter tout court d'ailleurs...
La cause de ce brusque changement? En un mot: Carter.
Les auteurs ont tellement bien su le rendre humain, malgré son obsession pour sa queue, que je n'ai pas pu m'empêcher de fondre comme neige au soleil. Comme quoi, les apparences peuvent être trompeuses et si un petit caillou s'est glissé dans notre chaussure dans le passé, il peut nous faire marcher différemment que quelques années plus tard. Ainsi, même avec un passé douloureux, on peut se remettre à marcher sans douleur des années plus tard, simplement grâce à la présence de quelqu'un d'autre...
Bref, ce bouquin est très, très, très bien écrit. Il est très vite lu, certes, mais il est riche en humanité. Il est souvent drôle. Il fait sourire. Il est léger. Simple. Sans prise de tête. Il est optimiste. Il fait passer beaucoup de messages, pour ceux qui savent lire entre les lignes. Bref, c'est une petite bouffée d'oxygène qui met du baume au cœur et qui nous entraîne avec ses personnages autour du globe. C'est addictif à souhait et comme quoi, pas besoin de bla bla inutile pour viser au plus près et à la fois nous émoustiller et nous attendrir.

J'avais commencé cette saga il y a une dizaine d'années, mais je l'avais vite arrêté car je n'avais pas tous les tomes en ma possession et qu'attendre entre chaque parution était une torture. Je reprends donc cette saga, puisque j'ai à présent tous les livres en ma possession et je suis surprise de n'avoir pas la même opinion qu'il y a dix ans...
La où j'avais adoré ce bouquin la première fois, je ne peux m'empêcher d'avoir une réaction bien moindre. Non pas que je ne sois plus envoûtée et survoltée par ce bouquin Ô combien intense et foutrement bien écrit, mais je ne me souvenais pas qu'il était aussi long et "compact".
Je m'explique; dans beaucoup de bouquin qu'il m'est donné de lire, j'ai souvent une même réaction qui est de me dire "ça manquait de détails!" Eh bien là, dans ce bouquin, fichtre et foutre, il y en a beaucoup trop!! Et il y en a tellement qu'on ne voit plus que ça et qu'il est difficile de se concentrer sur autre chose! Même pendant les scènes de combats il y en a des tonnes et je trouve que ça coupe la frénésie de lecture.
Toutefois, l'histoire est absolument addictive et pour le coup, c'est un plaisir de se plonger dans l'aventure avec les personnages, qui pour le coup, sont absolument parfait. A la fois, profonds et mystérieux. Bien travaillés et hyper crédibles.
Je recommande cette énorme pépite, que dis-je, ce pavé, digne des plus grands et qui mérite qu'on prenne une semaine de son temps à s'y plonger corps et âme...

J'avais besoin de réponses à la fin du tome 1 et donc je les attendais dans celui-ci et j'avoue que non seulement, je les ai eu, mais j'ai aussi eu des réponses en bonus, alors je ne vais pas trop me plaindre.
Aussi, ce tome était donc plus travaillé que le 1er et il parvient à rehausser le tout, ce qui est un plus non négligeable, malgré des rebondissements qui ne font pas tant rebondir que ça...
J'ai plus accroché avec ce seconde tome, même si je n'irais pas jusqu'à dire qu'il était exceptionnel, étant donné que j'en ai lu des meilleurs, mais pour parvenir à me faire pleurer, je dois le reconnaitre, il faut y aller et là, c'était le cas...
De ce fait, je dirais que j'ai passé un bon moment à lire cette petite duologie, mais qu'elle mériterait un peu de peps supplémentaire et de quelque chose en plus (ne me demandez pas quoi, j'ai déjà du mal à faire un commentaire qui veut dire quelque chose ^^'), donc je dirais que ça passe bien pour se libérer un peu l'esprit et glander un dimanche aprèm quand il pleut.

Bon, ben ma fois, ça ne casse pas des briques tout ça, hein...
Le style d'écriture est un peu faible, ça manque de tout, de descriptions, de fluidité, de détails, de peps!!
C'est charmant par moments, mignons dans d'autres, ça émoustille parfois, ça fait sourire de temps en temps et les personnages sont intéressants, c'est vrai, (et le cul ne prend pas toute la place et reste "soft", ce qui est un plus non négligeable), mais pour le coup, il aurait fallu en mettre un peu plus, parce que tout le reste était un peu fade et ennuyeux, (malgré une relation quasi "normale" et sans problèmes psychologiques, du genre Christian Grey ou Massimo Torricelli... nan mais je vous jure, des cinglés bipolaires ouais!!!)
Ici, leurs passés respectifs et leurs problèmes familiaux ne sont pas une gêne dans l'histoire, mais cela reste trop en second plan et on tourne simplement autour, pour finalement arriver à la fin du bouquin et ne pas avoir avancé d'un pouce sur ce sujet... c'est dommage et ça nous laisse sur notre faim...
En espérant avoir les réponses à mes questions dans le second tome...

Argh, je suis un peu déçue, je m'attendais à autre chose..
Il est moins bien que ses autres romans, car ici il n'y a pas vraiment d'histoire. C'était parfois drôle et ça m'a fait sourire très souvent, c'est vrai, mais je reste sur ma faim...

Bon eh bien, en premier lieu, je dois dire que j'ai largement préféré ce second tome, ce qui m'arrive rarement, donc c'est à souligner.
Ensuite, là où j'avais adoré Violette et où j'avais une furieuse envie d'avoir une copine comme elle, ben là maintenant, je crève encore plus d'envie d'avoir une copine comme Zoé..
Aussi, tout comme dans le 1er tome, ce sont bel et bien les garçons que j'ai trouvé les plus travaillés et les plus intéressants, et donc Jason était et est resté mon personnage préféré. Il transpire la gentillesse et la joie de vivre, c'est un vrai boute-en-train qui pue l'optimisme et la bonne humeur. A tel point que c'était plus que contagieux et que j'aimerais plus que jamais m'en trouver un comme lui. (Ou qu'un type comme lui me trouve, tiens, ça m'irait aussi :P)
De ce fait, du début à la fin, j'ai été captivée par le style d'écriture de l'auteure, au point de me faire lire dans le bus, avant et après le boulot, ce qui ne m'arrive jamais, car j'ai vite la nausée quand je lis en voiture, dans le train, dans le tram ou dans le bus... Or là, je me suis dit, tant pis, ça vaut la peine que je gerbe en descendant du bus. Donc j'ai lu dans le bus. Incroyable. (Je n'ai pas vomi, si vous vous posiez la question... #fièredemoi.)
Les sujets sensibles qui ont été abordés ici l'étaient aussi bien que dans le premier tome, ou du moins, assez bien pour me toucher, me faire grimacer, me mettre en rogne, me faire pleurer ou encore m'indigner. Je n'en dirais pas plus. J'ai accroché et j'ai actuellement du mal à passer à autre chose, puisque je suis en train de m'engueuler intérieurement pour les avoir terminés aussi vite...
En conclusion, je recommande ces 2 tomes avec véhémence, car c'était touchant, drôle, simple, fort en émotions et complètement juste.
PS: à quand une adaptation cinématographique? (pour que je puisse fantasmer sur Jason et Loan, enfin non, pardon, parce que ça casserait la baraque!!)

Argh, mais c'est que c'était pas mal tout ça... même si c'était aussi super long, hein...
Bon, faut se l'avouer, l'auteure a un style d'écriture hyper accrocheur et je ne peux pas m'empêcher d'avoir envie que Violette existe vraiment, parce que j'adorerais avoir une copine barrée comme elle :D
Cela étant, y'a plusieurs trucs qui m'ont un peu dérangé, dont 1, qui m'a carrément, mais alors carrément déplu, ce qui fait que j'ai été obligée de rétrograder le bouquin en or, alors que c'était parti pour finir en diamant... (Même si je l'ai mis en diamant quand même. Contradictoire, moi? Meuh non voyons, pourquoi dites-vous ça? ^^')

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Qui, mais qui, est capable de s'envoyer en l'air deux minutes après avoir appris le décès de quelqu'un? C'est hyper malsain, non? C'est carrément déplacé!! Dites-moi que c'est déplacé, par pitié!!
Beurk et dommage, parce que le reste était pourtant hyper sympa, même si très prévisible, mais après tout, on le sait depuis le début et c'est donc le reste qui nous importe le plus.
En conclusion, je dirais que ce bouquin est hyper addictif, Jason et Zoé sont nickel, Violette est la fraicheur et la spontanéité incarnée, et Loan est le personnage le plus intéressant et le mieux travaillé. Le scénario est accrocheur et on ne s'ennuie pas, même si quelques longueurs n'étaient pas nécessaire selon moi, et on passe indéniablement un agréable moment, en passant par tout un panel de sentiments différents, allant de la joie à la tristesse, en passant par l'hilarité et la compassion.
A lire donc!

C'est un concentré d'émotions à l'état brut. Ça vous met un poing dans la gueule un instant, et ça vous prend dans ses bras la page suivante. Ça émeut, ça touche, ça donne envie de gifler le monde et ça donne envie de pleurer d'espoir et de désespoir. Non, ça FAIT pleurer d'espoir et de désespoir...
Ça touche en plein cœur, ça parle, c'est une confidence, des chuchotements que l'on cri à nos oreilles, ou plutôt, à nos yeux. Ça bouleverse et on ne peut pas ne pas se sentir concerné, même si nous sommes hétéros et donc "normaux". Que dire d'autre...
Le message est fort, il faut vivre avec son passé et à la fois porter et supporter ses souvenirs, qu'ils soient bons ou mauvais.
Ce bouquin est puissant et délicat. Il est superbement bien écrit, comme les autres d'ailleurs et encore une fois, il me restera longtemps en mémoire, car Adam Silvera et sa façon de nous faire ouvrir les yeux, a encore une fois fait mouche.
Je recommande, pour Aaron et pour qu'il fasse aussi partie de vos souvenirs...

Ben c'est bien sympathique tout ça dites-moi!!
C'est vraiment un bon roman, ça change des trucs neu-neu et exagéré que j'ai déjà pu lire avant. Là, c'était réaliste, simple, authentique et le cul ne prenait pas toute la place.
Bon, y'a quelques clichés qui n'auraient pas été nécessaire de mettre, mais c'était drôle, touchant et la relation s'est installée de façon normal, et pas en trois chapitres. Bref, ça tient la route, c'est bien écrit, y'a de la profondeur, les personnages sont bien construit et ne sont pas juste beaux, riches, froids, narcissiques et parfait. Là, ils sont humains, ils aiment les choses simples et le fric et le luxe ne leur monte pas à la tête, ce qui fait qu'on peut mieux s'identifier et vraiment les apprécier pour ce qu'ils sont.
Un bon point donc, ce qui fait que je recommande ce bouquin, parce que ça émoustille et ça donne chaud, oui, mais pas que. Et le "pas que" est ce que j'ai préféré dans ce bouquin...

Bon, bah je suis déçue. C'est trop brouillon, c'est pas assez détaillé, pas assez fluide, et un peu trop neu-neu à mon goût.
Le récit en lui-même éveille la curiosité, mais c'est pas folichon quoi, ça manque de tout, c'est trop rapide, trop facile, trop simple, et ça manque cruellement de rebondissements et d'action!!
Bref, on s'ennuie durant les trois quart et quand ça commence à être un peu plus intéressant, ben c'est déjà fini.
J'espère que le tome 2 sera différent...

Je suis un peu mitigée à la fin de ma lecture. Je l'ai classé dans OR, mais j'ai longtemps hésité à le mettre en Argent, parce que je l'ai trouvé vraiment long et parfois, totalement redondant...
Aussi, j'ai noté plusieurs incohérences dans le récit, notamment un passage où il retire son jean, pour le retirer encore une fois trois paragraphes plus loin, pas logique donc. C'était trop "je t'aime moi non plus", trop chien et chat, trop "je te pardonne si on baise un coup", c'est dommage, parce que le scénario était bon et bien ficelé. L'ambiance pressante et les divers rebondissements étaient bien menés, mais y'avait quand même beaucoup de bla bla inutile, hein...
Toutefois, c'est un bouquin très addictif et bien évidemment, ça émoustille quand même, quoi qu'on en dise. Et puis, ne serait-ce que d'écrire un putain de roman de presque 500 pages, faut le faire, donc tout mon respect à l'auteure, qui a, du reste, une écriture totalement addictive et une facilité déconcertante à éveiller la curiosité et retenir notre attention entre ses pages.
En conclusion, je dirais que je mettrais quand même ce bouquin dans la catégorie Or, car il s'est quand même écoulé 1/3 du bouquin avant qu'ils ne se sautent dessus et que donc, le cul n'a pas pris toute la place dans ce récit.

Aussi profond que les autres, aussi magiquement et délicatement bien écrit, aussi émouvant, mélancolique et poétique que d’habitude… que dire de plus ?
C’était un roman un peu différent des autres, car Mathias Malzieu raconte ici du point de vue de son Papa, mais on y retrouve inévitablement un peu de lui entre les lignes, et c’est doux, tendre, simple et beau.
Ses métaphores donnent le sourire et remuent les tripes. Son humanité fait monter les larmes et sa pudeur nous bouleverse. Et la tendresse qu’il glisse un peu partout au fil des pages, est sans conteste le fil conducteur de ce roman, car elle est là du début à la fin…
Touché, Mathias Malzieu. Encore une fois, je n’ai rien pu faire pour stopper les larmes et la puissante vague mélancolique et poétique, qui est venue me caresser le cœur et me faire voler durant quelques instants, comme le petit Mainou rêvait que sa cigogne l’emporte loin de la Guerre.
A tous les Guerriers de porcelaine…

Un tome 5 qui répond à pas mal de question que je me posais à la fin du précédent, donc c'est une bonne chose et c'est un premier bon point.
De plus, ce tome-ci était aussi bien écrit que les autres. La plume de l'auteure est addictive et envoûtante. Ça donne envie d'y être, les détails donnent l'eau à la bouche, le récit est bien ficelé et on ne s'ennuie pas durant la lecture..
Les personnages sont attachants, mais à l'image de tous les autres tomes, car trop similaires. En gros, si on enlevait les prénoms partout, on pourrait les remplacer sans problème par ceux des tomes précédents, car à chaque fois, il s'agit d'un mâle viril et puissant, face à une jeune femme assez frêle mais avec un fort caractère. Rien de nouveau sous le soleil, donc...
Cependant, même si je ne suis pas très copine avec les voyages dans le temps, pour une question de crédibilité évidente, j'avoue ne pas m'être focalisé dessus et avoir pu profiter de ma lecture, qui fut à la fois émoustillante et effrénée.
En conclusion, je dirais que ce tome était intense et qu'il y avait à nouveau de très bonnes idées, qui entraînent le lecteur dans un tourbillon de magie, de paysages Irlandais à couper le souffle, de fraternité et de légendes celtes des plus intéressantes et palpitantes!!

Putain, si vous ne lâchez pas de larmes pendant votre lecture, c'est que vous avez lu entre les lignes et que vous êtes passé à côté de tout...
Ce roman est super beau, hyper touchant et très, très bien écrit. Il parle, que dis-je, il ne passe pas par quinze chemins, il part en ligne droite jusqu'au milieu du cœur et percute toutes les cordes sensibles sur son passage.
Il n'est ni trop long ni pas assez, la plume de Marie Vareille est pleine de justesse et de niaque. Elle émeut, elle révolte, elle blesse, elle redonne le sourire, tout ça à la fois.
Les personnages sont bien construits, ils sont si humains qu'on peut facilement s'identifier et comprendre les épreuves qu'ils traversent. On a envie de les prendre dans nos bras, comme si on les connaissait personnellement et c'est à ça qu'on se rend compte que c'est un très bon roman... quand on oublie que ce ne sont que des personnages de papier...
Je me souviendrais longtemps de ce syndrome du spaghetti, qui est d'une logique imparable et donne à réfléchir.
Je recommande!!

Un tome 3 aussi bien que les deux premiers, qui ne se focalise pas sur un seul personnage, mais sur tous, l'un après l'autre, de manière toujours bien dosé, avec une écriture fluide et addictive.
J'ai lu la saga il y a plus de dix ans et tout comme les 2 autres, je me suis souvenu de tout au fur et à mesure que je lisais, donc on va dire que mon enthousiasme est un peu essoufflé, même si ma première lecture et celle-ci m'ont fait la même impression, à savoir que j'ai adoré!!
Les rebondissements s'enchaînent, on ne s'ennuie pas, c'est un plaisir de lire un peu de chacun des personnages, surtout les secondaires, sur qui on ne s'attarde pas trop en général.. Là encore, le récit nous entraine dans une ambiance un peu mystique et magique, agrémenté de scènes de guerre, de complots, de trahisons, de batailles et de retrouvailles. En bref, c'est un concentré de légende Arthurienne un peu revisité, qui tient la route et enchante le regard. Parce que c'est vraiment bien écrit, bien traduit et pour peu qu'on ai un peu d'imagination, on s'y croirait.
Aussi, je terminerai mon commentaire par un petit mot sur cet espèce de triangle amoureux qui a été le seul bémol de ce tome 3, car je trouve que l'auteure s'est un peu perdu en route, comme si elle ne savait pas lequel choisir à la fin.

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Et donc à défaut de préférer Myrddin ou Kian, Azilis est condamnée à garder sa double personnalité. C'est dommage...
Cela étant, ce petit détail n'a rien de rédhibitoire, car cette trilogie est vraiment bien et je la recommanderai volontiers!!