Ce livre est une pépite. C'est une romance avec Fantasy (une romantasy quoi) mais, vraiment, chapeau bas à l'auteure.

Bon. Après une semaine, je me sens enfin prête à poser des mots sur cette lecture qui, pendant trois jours, m'a fait sourire, m'a fait frissonner, m'a donné envie de hurler, de pleurer, d'arracher mon coeur de ma poitrine parce que ça faisait trop mal.
Avec le premier tome, Stéphanie Garber m'avait séduite. Once upon a broken heart était devenu mon livre préféré. Puis The balade of never after est sorti et l'a détrôné (même si les deux sont incroyables)
Le tome deux commence presque là où le tome 1 s'est arrêté, nous remettant directement dans le bain. On rencontre une Evangeline qui a appris de ses erreurs et qui est prête à tout pour ne pas se laisser à nouveau manipuler par Jacks qui

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a empoisonné son mari, Appollo-je-te-déteste pour le plonger dans un sommeil profond[/spoiler]. Oh, les joutes verbales entre Evangeline et Jacks étaient incroyables ! Je les aimes de tout mon coeur et, vraiment, ce slow burn est incroyable. On peut sentir la tension entre eux, on devine que Jacks aime vraiment son petit renard même s'il n'ose pas le lui avouer et préfère faire comme s'il s'en fichait éperdument d'elle [spoiler]et pourtant, il veut la faire sienne, au moins pour une nuit, parce que son amour pour elle est beaucoup trop puissant[/spoiler].
[spoiler]D'ailleurs, le fait que Jacks soit l'archer ??? J'avais pas venu ça venir et c'était INCROYABLE, j'ai tellement hâte d'en apprendre plus sur son passé et pourquoi il est devenu un fate[/spoiler]
Ce tome deux est plein de rebondissements alors qu'on se focalise encore sur la même intrigue que le tome 1 : ouvrir l'arche. Seule différence, on apprend qu'il faut des pierres (one for true, one for Youth, one for mirth and one for Luck) pour l'ouvrir. On part donc dans une petite recherche de pierres qui, vraiment, était tellement plaisante à lire [spoiler]surtout quand les deux se retrouvent sous l'influence de la pierre de mirth (gaité) qui amplifie leurs sentiments hmmm hmmm[/spoiler]
Cet avis est vraiment brouillon, mais je ne peux que conseiller cette saga, qui possède mon coeur, mon esprit, mon âme, tout simplement.
[spoiler]et mes larmes aussi. QU'EST-CE QUE C'EST QUE CETTE FIN ? J'ai jamais eu autant de mal à retenir mes larmes que lors de la mort d'Evangeline et la réaction de Jacks qui a PLEURÉ. Oui, oui, IL A PLEURÉ POUR EVANGELINE. IL L'AIME TELLEMENT BON SANG. Et quand il sacrifie tous ses plans (retrouver Donatella) pour sauver Evangeline, j'ai senti mon coeur fondre. Enfin, ils allaient être heureux. Enfin, ça c'était sans compter ce connard d'Apollo qui a effacé tous les souvenirs d'Evangeline. JE LE DÉTESTE.

C'est mon premier de l'auteure, et je suis agréablement surprise.
J'avais déjà entendu des éloges sur sa plume et il est vrai que ce roman ruisselle de très belles citations ! Un style simple, fluide, qui permet une assez bonne immersion.
Les personnages sont, quant à eux, bien construits, petit coup de coeur sur Andrea, qui est formidable. Je suis un peu moins fan d'Ocean, plusieurs de ses réactions étaient difficiles à comprendre, son comportement changeait souvent. L'auteure parle de ses problèmes de colère, j'aurais aimé en voir plus. J'ai l'impression que ce point là (et celui sur ses parents) est à peine effleuré.

Clairement, le meilleur des neuf tomes. Je suis étonnée de voir que plus la saga avance, plus elle devient profonde et intéressante. L'histoire ne s'épuise pas, les retournements de situation sont à s'arracher les cheveux. Vraiment, je suis admirative. Chacun des tomes est plus qualitatif que le précédant, que ce soit au niveau des dessins ou de l'intrigue. Je suis tellement déçue que l'auteur n'ait pas la reconnaissance qu'il mérite. Vraiment, Louca est une bande dessinée à chérir et j'espère qu'elle finira par toucher plus de personnes.
Un véritable bijou, d'une qualité indescriptible.

Vous voulez un conseil ?
Fuyez.
Ce livre n'en vaut absolument pas la peine.

Je dois avouer ne pas comprendre la hype autour de ce roman...Je n'ai même pas réussi à tenir les 100 premières pages. Une écriture maladroite, parfois pauvre, une héroïne agaçante à souhait...
Il y a aussi quelques erreurs dans le texte, qui ne fait qu'alourdir l'histoire, ce qui est franchement dommage.

6.5/10
Jessica Hailey fait sans doute partie de mon top 10 de mes auteurs francophones favoris.
J'aime chacune de ses ouvrages, sa plume, les messages qu'elle fait passer. À chaque fois, je tombe amoureuse de ses personnages, de leurs failles, de leurs douleurs. D'eux, tout simplement.
Ce roman ne fait pas exception à la règle.
The Ugliness of beauty est un roman qui peut, à première vue, être dur à lire, ne serait-ce que par ces sujets. Jessica s'attaque au monde de la mode, un univers aussi sombre qu'abjecte. Elle aborde d'une main de maître les problèmes liés à ce monde, l'enfer que certains vivent, les privations, les sacrifices que l'on peut faire pour seulement l'intégrer.
Les personnages, eux, sont vrais. America et Elijah sont d'une réalité frappante, à tel point que je me suis demandée si l'auteure ne s'est pas inspirée de certaines personnes de son entourage. Ils sont des qualités, mais un tas de défauts. Ils sont égoïstes, insipides, vicieux, abjectes même. Leur âme est loin d'être blanche, mais davantage d'un gris terne et triste.
La plume de l'auteure est quant à elle, phénoménale. Recherchée, travaillée, riche, variée et extrêmement fluide. Le roman est un gros pavé, pourtant il se lit tout seul. Les pages défilent, les mots se font absorber à une vitesse folle. Le style est très addictif, j'ai souvent eu envie de m'y replonger, de lire une dizaine de chapitres d'une traite pour savoir ce qui allait se passer.
Malheureusement, il y a des choses qui allaient moins bien. J'ai trouvé que certains sujets, notamment les familles des deux personnages, étaient trop rapidement abordés. J'aurais aimé qu'on y aille plus loin, qu'on mette peut-être la romance de côté et toute cette sensualité pour nous intéresser davantage au

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frère d'Elijha et leur histoire. Il ne fait que passer, c'est juste...un figurant et je trouve que l'auteure aurait pu faire un truc génial si elle lui avait laissé quelques chapitres de plus, plus d'occasions pour qu'ils s'expliquent. J'ai eu l'impression d'une facilité scénaristique et ça m'a laissé un goût de "meh" dans la bouche
Mis à part ce détail, The Ugliness of beauty est un livre extraordinaire, écrit par une auteure de talent et regardez-moi cette couverture ! Magnifique. Ce roman vaut le détour

Mais quelle sublime saga…
Pour ce troisième volet, nous suivons Lewis, le dernier de la bande (bon, je ne compte pas Adam, car nous n’avons pas son tome, hein). Anti-amour, il ne comprend pas le choix de ses amis de se caser et proclame ne jamais vouloir avoir de petite amie. Mais ça, c’était avant qu’il ne croise la route de la badass Amy. Quand celui-ci est forcé de la prendre comme stagiaire pour bâtir la nouvelle génération des Campus Drivers, Lewis est persuadé que le charme plutôt brusque de la jeune femme ne l’atteindra pas, mais comme on dit, le cœur a ses raisons que la raison ignore et il l’apprendra à ses dépens.
Bon, bon, bon… Comme les deux tomes précédents, ce troisième volet a été une énorme réussite. Je l’ai dévoré en une journée tant il était additif, drôle et tout simplement. Il ne surpasse pas le tome un dans mon cœur, mais il n’est pas loin. L’histoire de Lewis est un peu plus mouvementée que les deux autres, on a beaucoup plus d’actions et j’ai trouvé que ça très intéressant. On s’éloigne un peu de la comédie romantique classique pour aller dans quelque chose avec énormément de rebondissements, et j’ai adoré ce changement.
La plume de C.S Quill est toujours aussi belle, poétique et fluide. Elle a toujours les bons mots pour rendre son récit dynamique et éviter qu’il s’essouffle. Il n’y a aucune longueur dans ce tome-ci, on tourne les pages sans jamais s’ennuyer et on se retrouve à dévorer le roman sans qu’on ne s’en aperçoive. La seule chose que je pourrais lui reprocher, c’est le manque flagrant de descriptions. Pour moi, il n’y en a pas assez, pareil pour le tome un et le tome 2. J’aurais bien aimé pouvoir mieux visualiser les lieux, les voitures et les personnages, mais c’est loin d’être dérangeant. On passe tout de même un bon moment.
En parlant des personnages, les deux protagonistes m’ont touchée en plein cœur. J’ai toujours eu un petit coup de cœur pour Lewis, le clown de la bande et celui dont je me sens le plus proche. Mais quand on se retrouve dans sa tête, on se rend compte que c’est un garçon droit dans ses baskets, qu’il est rigoureux et s’impose une véritable discipline au sujet du basket et de l’avenir de l’application des Campus Drivers. Amy, quant à elle, a été une véritable surprise. Je m’attendais à une fille qui ressemble plus ou moins à Lewis, avec un humour douteux à la Carry. Mais que neni ! Cette fille est une vraie casse-cou et plus badass tu meurs. Elle a de la réparti, elle est indépendante, elle est forte et elle a du caractère. On voit bien que c’est une guerrière et que c’est grâce au milieu où elle a grandi qu’elle a pu se forger. Ils sont si diamétralement opposé que leur relation en devient intense ; leur première rencontre peut en témoigner. Lewis souffle du froid quand Amy souffle du chaud. Il est le soleil, elle est la lune. Tout les oppose, mais ils s’attirent. L’évolution de leur relation est très bien menée : elle est assez lente, ils prennent le temps de se jauger avant de sauter.
Cette saga restera sans doute l’une de mes préférées, je suis un peu déçue de la quitter si rapidement. Les personnages me manqueront et j’attends toujours le tome sur Adam (comme tout le monde, j’en suis convaincue). Même un petit bonus de son point de vue pourra me satisfaire, vraiment, je ne ferais pas la fine bouche. Si vous cherchez une série légère, avec des personnages très bien construits, de l’humour à foison, ne cherchez pas plus loin. Campus Drivers est fait pour vous et impossible que vous soyez déçu. Cette trilogie est une pépite.

Quel roman…quel ouragan…
Je ne suis pas une lectrice qui suit énormément les sorties littéraires de Laura S. Wild, pourtant j’ai été captivée par le résumé de son nouveau roman, qui semblait tellement différents des précédents. Un résumé curieux, une couverture à tomber par terre (non, mais, vraiment. Je tiens à applaudir le ou la graphique, c’est un travail du tonnerre (on notera le jeu de mots)). L’histoire promettait d’être remplie de rebondissements, et je n’ai pas été déçue.
Dans ce roman, on fait la rencontre d’Ella et Ryan, un homme et une femme que tout oppose. Rayan fait partie des Seven, la terreur des joailleries et des banques de Saint-Louis. Ella, quant à elle, est une hackeuse talentueuse à la vie bien rangée. Et pourtant, elle semble déterminée à rejoindre le gang pour une question d’argent, mais aussi pour une sombre raison personnelle. Ainsi se développe alors une attirance entre le criminel et la blondinette qui promet de ne laisser personne indifférent. La tempête arrive et elle va tout saccager sur son passage.
Comme dit plus haut, j’ai ADORÉ ce roman. Ce n’est pas un coup de cœur, mais presque. Une plume envoûtante, des personnages extrêmement bien développés (principaux comme secondaires), des rebondissements à foison, une trame bien ficelée et qui nous fait poser des questions, c’est, pour moi, une grande réussite. Le monde du braquage est très bien amené, on sent que l’auteure a fait beaucoup de recherche, ce qui est très plaisant. La romance est, elle aussi, excellente. On sent la tension entre Rayan et Ella, cette dernière ne cessant jamais de le repousser. Les moments entre ces deux-là étaient tout simplement à tomber par terre tant c’est mignon. C’est l’une des premières histoires d’amour qui ne me fait pas lever les yeux au ciel. Le héros ne cherche pas à posséder l’héroïne. Au contraire, Rayan lui laisse de l’espace pour ne pas l’étouffer, ce que j’ai adoré. On est loin du cliché habituel du bad boy.
En parlant des personnages, les personnages secondaires sont tous très intéressant (légère préférence pour Snow). On apprend à les apprécier, à rire avec eux, on s’attache à eux alors qu’on ne se trouve pas dans leur tête. On comprend aussi leurs motivations et l’auteure creuse chacun de leur passé, ce que je trouve génial. Un autre gros plus pour moi.
L’histoire en général est assez originale. On est loin des romans habituels qui se passent dans des gangs, qui sont généralement des dark romances. L’univers est super réaliste, très convainquant et cohérent. La seule chose que je puisse pointer du doigt, ce sont les certaines longueurs. Certaines scènes auraient facilement pu être raccourcies.
La plume est très fluide, envoûtante et fluide. Les chapitres sont relativement longs, mais on ne le remarque presque pas. Les pages défilent sans aucune difficulté et on s’immerge facilement dans l’histoire.
En bref, j’ai passé un très, très bon moment de lecture avec cette histoire. Après la tempête est un excellent roman que je ne peux que vous conseillent : foncer découvrir cette pépite pleine d’action, d’amour et qui promet une trame folle (c’est bien le mot, la fin est GÉNIALE).

Aussi tôt disponible, aussi tôt lu.
Et je regrette d'avoir été aussi rapide. Je me déteste. J'ai pas envie d'attendre. Pas après cette fin. Pas après cette pépite. Mon Dieu, je vais faire quoi, moi, maintenant ?
Ce tome deux est une réussite, aussi bon que le premier, voire plus. On retrouve une Layla toujours aussi badass (un peu naive, mais on l'aime comme ça), un Roth toujours aussi sexy et Zayne toujours aussi parfait. C'est la première fois que j'aime les deux garçons de la même façon dans un triangle amoureux. Je n'arrive pas à choisir. Ils sont tous les deux tellement bons pour Layla et... La polygamie n'est pas une option ? Vous êtes sûrs ? OK, très bien.
L'intrigue se met vite en place, on a beaucoup d'actions (plus que dans le tome 1). La romance, quant à elle, prend, certes, énormément de place (peut-être trop?) dans le roman, mais ce n'est pas pour me déplaire. Il est vrai que ça ralentissait un peu le bouquin, il n'empêche que j'ai adoré chaque moment chargé en tension. J'ai retenu mon souffle avec Layla, j'ai eu des papillons dans le ventre, j'ai senti tout ce qu'elle sentait. Et j'ai peut-être été un peu jalouse, mais boooon.
JLA est, pour moi, une source sûre. Tous ses bouquins sont des coups de coeur et celui-ci ne déroge pas à la règle. Maintenant il ne me reste qu'à prendre mon mal en patience et...attendre. Argh.

Quel roman…quel ouragan…
Je ne suis pas une lectrice qui suit énormément les sorties littéraires de Laura S. Wild, pourtant j’ai été captivée par le résumé de son nouveau roman, qui semblait tellement différents des précédents. Un résumé curieux, une couverture à tomber par terre (non, mais, vraiment. Je tiens à applaudir le ou la graphique, c’est un travail du tonnerre (on notera le jeu de mots)). L’histoire promettait d’être remplie de rebondissements, et je n’ai pas été déçue.
Dans ce roman, on fait la rencontre d’Ella et Ryan, un homme et une femme que tout oppose. Rayan fait partie des Seven, la terreur des joailleries et des banques de Saint-Louis. Ella, quant à elle, est une hackeuse talentueuse à la vie bien rangée. Et pourtant, elle semble déterminée à rejoindre le gang pour une question d’argent, mais aussi pour une sombre raison personnelle. Ainsi se développe alors une attirance entre le criminel et la blondinette qui promet de ne laisser personne indifférent. La tempête arrive et elle va tout saccager sur son passage.
Comme dit plus haut, j’ai ADORÉ ce roman. Ce n’est pas un coup de cœur, mais presque. Une plume envoûtante, des personnages extrêmement bien développés (principaux comme secondaires), des rebondissements à foison, une trame bien ficelée et qui nous fait poser des questions, c’est, pour moi, une grande réussite. Le monde du braquage est très bien amené, on sent que l’auteure a fait beaucoup de recherche, ce qui est très plaisant. La romance est, elle aussi, excellente. On sent la tension entre Rayan et Ella, cette dernière ne cessant jamais de le repousser. Les moments entre ces deux-là étaient tout simplement à tomber par terre tant c’est mignon. C’est l’une des premières histoires d’amour qui ne me fait pas lever les yeux au ciel. Le héros ne cherche pas à posséder l’héroïne. Au contraire, Rayan lui laisse de l’espace pour ne pas l’étouffer, ce que j’ai adoré. On est loin du cliché habituel du bad boy.
En parlant des personnages, les personnages secondaires sont tous très intéressant (légère préférence pour Snow). On apprend à les apprécier, à rire avec eux, on s’attache à eux alors qu’on ne se trouve pas dans leur tête. On comprend aussi leurs motivations et l’auteure creuse chacun de leur passé, ce que je trouve génial. Un autre gros plus pour moi.
L’histoire en général est assez originale. On est loin des romans habituels qui se passent dans des gangs, qui sont généralement des dark romances. L’univers est super réaliste, très convainquant et cohérent. La seule chose que je puisse pointer du doigt, ce sont les certaines longueurs. Certaines scènes auraient facilement pu être raccourcies.
La plume est très fluide, envoûtante et fluide. Les chapitres sont relativement longs, mais on ne le remarque presque pas. Les pages défilent sans aucune difficulté et on s’immerge facilement dans l’histoire.
En bref, j’ai passé un très, très bon moment de lecture avec cette histoire. Après la tempête est un excellent roman que je ne peux que vous conseillent : foncer découvrir cette pépite pleine d’action, d’amour et qui promet une trame folle (c’est bien le mot, la fin est GÉNIALE).

Ce tome deux commence là où l’on s’est arrêté, mettant des réponses à la fin abrupte du premier tome. Cette fois, nous suivons Donovan, le coureur de jupons de la Fac, et Carrie, une chouette fille avec beaucoup de réparti qui porte un amour fou pour les livres. Quand Donovan demande des conseils à Carrie pour devenir le petit copain parfait, elle refuse immédiatement. Mais le capitaine de l’équipe de basket sait se montrer persuasif et elle finit par accepter, pensant naïvement que rien ne pourrait découler de cet engagement.
Alors, alors, alors… J’ai beaucoup aimé ce tome deux, mais un peu moins que le premier qui a été un véritable coup de cœur.
On retrouve le même humour débile (mais vraiment, vraiment hilarant. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai rigolé aux éclats) et la même sublime plume de l’auteure qui nous entraîne dans un univers dynamique et bien à elle. C’est fluide, bien écrit, les personnages sont extrêmement travaillés, la romance est jolie, amusante et les échanges entre Carrie et Donovan, à mourir de rire.
La romance est différente de celle que l’on retrouve entre Lane et Lois, mais tout aussi addictive. Les scènes de sexe sont aussi plus crues, sans être dérangeants pour autant. Moi qui aie l’habitude de les sauter, cette fois, je n’ai même pas pensé à le faire. Elles sont drôles, pleine de tension, bref le graal.
L’écriture de C.S Quill est vraiment saisissant, la qualité de sa plume est ce qui m’a le plus charmé, je crois. On ressent parfaitement les émotions, on sourit avec les personnages, on pleure avec eux, on se glisse dans leur peau, tout simplement. Le développement psychologique de Donovan est, lui aussi, saisissant. Il change au fil des pages, on le voit évoluer, devenir une meilleure version de lui-même à mesure qu’il suit les conseils de Cassie. Cassie, quant à elle, est une héroïne comme on les aime, avec de la réparti et du mordant. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds. J’aurais aimé qu’on en apprenne un peu plus sur son passé, que quelques pages (ou chapitres) soient dédiés à sa mère. Je trouve que l’auteure nous offre une explication assez brève, j’aurais apprécié avoir un peu plus de détails ou moments mère-fille.
Je crois que j’ai dit tout ce que j’avais à dire. Si vous hésitez à lire cette saga, foncez, vraiment. Je ne suis pas trop romance, mais, vraiment, celle-là vaut le détour. C’est frais, drôle. On retrouve les clichés habituels de la romance, mais Camille réussit à mettre sa patte d’originalité avec son humour singulier. J’ai très hâte de découvrir ce tome trois, Lewis étant mon personnage préféré ! Merci beaucoup à Fyctia pour l’envoie de ce roman !

Alors... vraiment, je ne sais pas quoi penser de cette lecture.
D'un côté, je l'ai adoré. Les personnages, les sujets abordés, la plume de l'auteure... C'était magnifique, parfait comme d'habitude.
Mais de l'autre... c'était le plat. Le vide béant, aucun réel attachement avec l'histoire, j'avais l'impression de ne pas être complètement immergée dans ma lecture - ce qui est franchement rare avec les Morgane Moncomble !
L'histoire est jolie, c'est drôle, frais, les personnages sont très bien construits, mais il me manquait un truc. Une petite étincelle. Une touche plus dramatique, plus d'émotions, je ne saurais dire.
J'ai deviné les retournements de situation assez rapidement, mais ça reste une jolie romance

Ouais...bof.
Sincèrement, je ne sais pas quoi penser de cette lecture. Elle est addictive, mais ennuyeuse en même temps. J'en ressors plutôt mitigée, malgré mes efforts pour apprécier ce livre à sa juste valeur.
Beaucoup trop de longueurs, de scènes qu'on aurait pu passer sans que cela ait eu le moindre impact sur l'intrigue. Les personnages sont chouettes, mais j'ai eu de la difficulté avec Jude et Cardan. Leur relation est catastrophique, puis, d'un coup, hop ! un peu de romance entre les deux.
Je vais sûrement lire la suite, en espérant que l'action prenne moins de temps à s'installer...

Ce livre est surprenant, de A à Z. Je ne m'attendais pas à une telle claque, à un retournement de situation comme ça, à cette plume. À cette histoire, tout simplement.
C'est waw, une vraie pépite.
En deux livres, C.S Quill a su se trouver une place dans mon classement d'auteurs préférés !

Quelle superbe lecture, quel coup de coeur !
C’est le premier livre de cette auteure que je lis, et ce ne sera sûrement pas le dernier. J’ai absolument tout adoré dans ce roman, qui mêle amour, tension et humour avec brio. Impossible de reposer le roman ; à l’instant où on la entre les mains, on ne peut plus le lâcher.
Supermad raconte l’histoire de Lane et Lois, deux étudiants à la fac qui devront cohabiter quelques temps ensemble le temps que Lois trouve un moyen de reconquérir son copain qui l’a mise à la rue sans aucune raison. Pour Lane, c’est le début de la fin. Même si le jeune homme est gentil et généreux, rien n’est plus important pour lui que son autonomie. Il aime vivre seul, et l’idée de partager son appartement de vie ne l’enchante guère. Du moins… au début. Parce que Lois n’est pas comme toutes les filles et Lane l’apprendra à ses dépens.
Comme je l’ai dit, ce roman est une vraie pépite. Que ce soit du côté de l’intrigue qui est folle, des personnages ultra attachants ou de la plume de C.S Quill qui est dingue (ainsi que son humour). Je ne suis pas quelqu’un qui rigole facilement, mais il est impossible de rester de glace devant les répliques et les pensées de Lane, Lois et la petite bande des Campus Driver qui sont hilarantes !
J’ai beaucoup aimé le fait que la romance soit lente (elle arrive dans le dernier tiers du roman, lorsqu’on passe le cap des deux cents pages.) On assiste au développement de leur relation qui est extrêmement bien construire, ce qui nous permet de nous attacher à eux. Voir leurs sentiments grandir, leurs doutes, leur jalousie et leurs réactions l’un envers l’autre est un véritable plaisir. On ressent ce qu’ils ressentent, nous permettant ainsi de mieux accrocher à l’histoire. Les scènes de sexe ne sont pas vulgaires, joliment écrites.
Sincèrement, je n’ai pas grand-chose d’autre à vous dire, seulement de foncer lire cette merveille. Vous allez craquer pour Lane (qui est loin d’être un bad boy, mais qui est tout aussi charmant) ainsi que Lois (sans doute l’une des héroïnes les plus réalistes que l’on peut croiser dans un roman). C.S Quill écrit comme une déesse, sa plume est un bijou, fluide et variée, poétique sans pour autant nous donner mal à la tête. Le livre se lit tout seul, les pages défilent sans qu’on s’en rende compte. Vraiment, vous devez avoir ce roman dans votre bibliothèque !

Olala ce livre. Je n'ai pas commencé la saga dans l'ordre, le tome trois est le premier que je lis, mais qu'est-ce qu'il est génial ! J'ai tout adoré, comme toujours avec BCC. Les personnages, l'intrigue, la plume, les messages, bref, coup de coeur. Si vous hésitez, foncez, ce roman en vaut la peine.

Dans ce roman, nous suivons Aiden, un jeune homme qui, suite au visionnage d’une vidéo, se lance cœur et âme dans la danse jusqu’à transformer cet art en réelle passion. Chaque pas et chaque mouvement le rapprochent petit à petit de la source de son obsession, Maya. La petite chouchou du moment, une célébrité à en devenir, une danseuse somme toute exceptionnelle. Pour elle, il serait prêt à tout. Pour lui, elle serait prête à enfin s’ouvrir.
Je ne sais pas trop quoi penser de ce livre. Si j’ai adoré les deux premières parties du roman, la troisième me laisse mitigée. Dans les deux premiers segments, on suit l’évolution de Maya et Aiden, oscillant entre le passé et le présent. On les voit grandir, se construire, apprendre à se connaître mutuellement. Leur développement psychologique au fil des chapitres est phénoménal, l’auteure s’en est très bien tirée. La troisième partie, quant à elle, se déroule uniquement dans le présent, les personnages se tournent autour et le sexe est omniprésent. Ce jeu de je t’aime je te fuis qui s’est instauré n’a pas fonctionné avec moi, malheureusement.
Le gros point fort de ce roman reste néanmoins l’univers de la danse. Ça se voit que l’auteure s’y connait. Les termes techniques sont bien utilisés, les descriptions des danses sont époustouflantes. Elle Seveno sait utiliser les mots justes pour permettre à ceux qui ne sont pas familier à ce monde de comprendre et bien visualiser les scènes.
Je n’ai jamais lu de livres de cette auteure avant celui-ci, et je le regrette. Sa plume est magnifique. Elle est fluide, assez riche, on ressent parfaitement les émotions et on s’imprègne de son univers sans aucune difficulté.
Si vous voulez passer un bon temps de lecture, découvrir l’univers de la danse, je ne peux que vous conseiller ce roman. Il se lit très rapidement, on voit à peine les pages défilent et les personnages sont très bien construits. La romance est présente, sans pour autant prendre le pas sur la danse. On a un parfait équilibre, ce qui est un gros plus pour ce roman. J’espère que vous aimerez autant que moi l’histoire d’Aiden et Maya !
Merci Fyctia pour l’envoi de ce livre.

Dès le début, j'ai su que ce livre allait être un coup de cœur.
Mais là… une véritable claque.
J'ai absolument TOUT adoré. Les personnages, le pari, les sujets abordés, la plume, l'histoire d'amour, les instants de doute, mes larmes, mes rires, mes sourires, mes pincements à l'âme. Si la perfection était un livre, ce serait sans doute celui-là. C'est une vraie pépite, un roman que tout le monde devrait lire au moins une fois dans sa vie.
Landon m'a brisée. Il m'a fracassée avec son histoire, son passé et ses cicatrices. Il m'a pris par la main, m'a tordu le poignet pour me faire ressentir sa douleur. Et je l'ai ressentie. J'ai eu mal pour lui, comme lui. J'ai eu le cœur brisé pour lui, comme lui.
Shay… Shay, ma petite Shay. Si douce, si gentille. Elle a été le baume sur mon cœur fracassé, bien que son histoire soit triste. Elle est la fille parfaite pour Landon, ils ont été façonné ensemble, ça ne peut pas être autrement.
J'ai hâte de voir ce que le tome 2 nous réserve, ce qu'ils sont devenus. Ils me manquent déjà…

Déjà que le tome un était pas ouf, le tome deux est une totale déception. C'est creux, je n'ai pas accroché à la plume de l'auteure. Je crois que ce n'est tout simplement pas fait pour moi….

Ce livre est une pépite ! Si je n'ai pas accroché à Twilight, sa saga phrase, ce roman est tout bonnement incroyable et montre l'étendu des talents de l'auteure. Wooow

Une totale déception… Je n'ai même pas réussi à terminer le bouquin tant ça tournait en rond, que c'était plat et un ramassis de clichés qui auraient pu éviter. Les personnages sont fades, l'histoire d'amour l'est encore plus. Je suis un peu déçue, le concept aurait pu être top...

Bon… maintenant on attend la sortie de ce tome !

Mon Dieu, ce livre.
Mon Dieu, cette histoire.
Mon Dieu, Jennifer L. Armentrout.
Comme je m'y attendais, ce roman est un véritable coup de cœur, à tel point que j'ai eu un pincement à la poitrine en le fermant, désormais terminé. Cette histoire est parfaite, la plume de JLA est toujours aussi bien et les personnages. Roth. Mon Dieu, Roth. Je suis tombée amoureuse de lui au bout d'un tome, qu'est-ce qui va m'arriver dans les deux autres tomes ? Je vais fondre, je le sens.
Même si quelques retournements de situation étaient prévisibles, j'ai trouvé ce premier tome très original, ne serait-ce que par le principe des Gardiens et des Alphas.
Je ne sais même pas quoi dire.
J'ai adoré, tout simplement.
J'ai hâte de lire le second tome.

Ce livre est un coup de cœur, comme toujours avec JLA. À force, j'ai l'habitude. Dès que j'ouvre la première page, je sais que je vais adorer.
Magnifique lecture, plume toujours très addictive, des personnages encore plus attachants, des rebondissements à n'en plus finir ; ce tome deux est une réussite. J'ai très hâte pour la suite.

Pour moi, ce tome 3 ne vaut pas les deux autres. Il est bon, sans plus. Un peu plat, peut-être même un peu trop. Je m'attendais à un gros truc, et je n'ai pas réussis à être satisfaite. Il y avait du potentiel, l'intrigue avec le fantôme aurait pu être top, mais elle a à peine été effleurée. C'est dommage, vraiment.
Mais, au moins, ça reste une bonne lecture.