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Ce dimanche de 1982 dans le car qui emmène sa classe, Sarah n'est pas de bonne humeur. Sa meilleure amie, Josy, ne lui parle plus. Ce frimeur de Jérôme avec sa cour l'exaspère. Et ce voyage scolaire pour aller voir les barbelés d'Auschwitz est interminable. Mais sur place, devant un amoncellement de valises exposées dans une vitrine, elle est bouleversée. Un nom écrit à la craie sur l'une d'elles la saisit jusqu'au malaise: Levin. De retour chez elle, Sarah est déterminée à obtenir les réponses aux questions qu'elle se pose depuis toujours: qui est son père? Pourquoi ne l'a-t-elle jamais vu? Pourquoi sa mère est-elle incapable d'en parler.
Je ne trouverais jamais les mots pour caractériser ce livre il est tellement génial. C'est une véritable perle ce bouquin c'est pas possible de pouvoir écrire un livre aussi fantastique. (Je l'ai lu en quelques heures.) Je le conseille à tous les gens de l'univers il est tellement géniallissiiiiiiiime.
S’attaquant à un sujet délicat, la quête de ses origines sur fond de Shoah, Sève Laurent-Fajal réussit avec ce premier roman à retranscrire les sentiments et émotions confus des adolescents. Subtil, il traduit les questionnements de Sarah, tout en nous parlant d’un besoin beaucoup plus profond : trouver sa place, réussir à se construire malgré des trajectoires, des parcours différents, des secrets de famille et des non-dits. L’auteur nous montre également le rôle de l’amitié, abordée sous différents angles, la peur de l’autre, la peur de se confier, la peur de se lier. Sève Laurent-Fajal signe avec Les Valises un premier roman prometteur, sans artifices, touchant de simplicité et de douceur.
J'ai du lire ce livre pour le lycée et franchement je m'attendais a pire, même si je n'arrive pas vraiment à me faire un avis.
Sarah est une fille banale, qui, quand elle va a Auschwitz en sortie scolaire, en ressort totalement chamboulée. Elle se lance alors dans la recherche de son père avec l'aide de son petit ami (?) Jérôme.
Euh franchement ils ont que 15 ans, c'est pas très crédible mais bon (ceux qui on lu comprendrons)
Mais n'empêche, c'est un livre assez touchant avec un assez bon ensemble.
Lu en 2018. Un roman jeunesse captivant (conseillé dès la 3e). J'avais été touchée et embarquée par le scénario.
Un récit prégnant sur la quête d'identité, la relation mère-fille, les secrets de famille, l'héritage, le poids de l'inconscient et la découverte de l'amour. Une plume agréable à lire, qui s'adresse certes à un public adolescent mais pourra plaire également aux adultes adeptes du genre.
Spoiler(cliquez pour révéler)Années 1980. Sarah, une lycéenne de 15 ans, participe à un voyage scolaire avec sa classe et son professeur d'histoire-géographie au camp d'Auschwitz. Sur place, elle est soudain bouleversée par une vitrine en particulier, celle derrière laquelle s'amoncellent les valises des anciens déportés du camp de concentration. Un nom de famille surtout attire son attention, et lui provoque intérieurement un étrange malaise. le beau Jérôme, entre autres, va la soutenir dans la recherche de ses origines...
Un roman jeunesse extrêmement poignant, à fleur de peau, qui nous rappelle avec beaucoup de sincérité et de doigté qu'il ne faut surtout pas oublier ce qu'il s'est passé. Un livre très beau et prenant qui nous invite à vivre dans l'amour et la tendresse mais aussi à embrasser, à regarder la noirceur du passé en face pour mieux avancer.
Ce livre est émouvant. On ne peut pas passez à côté et ne pas le mettre dans son panier. Je le conseil vivement à tout ceux et celle qui aiment les romans romantique et la seconde guerre mondial.
J'ai apprécié lire ce livre, il est addictif, on veut toujours savoir la suite, on retrouve de l'amour, des secrets de famille. Ce roman n'est pas un coup de cœur pour moi cependant c'est un livre que je recommande !
Résumé
Ce dimanche de 1982 dans le car qui emmène sa classe, Sarah n'est pas de bonne humeur. Sa meilleure amie, Josy, ne lui parle plus. Ce frimeur de Jérôme avec sa cour l'exaspère. Et ce voyage scolaire pour aller voir les barbelés d'Auschwitz est interminable. Mais sur place, devant un amoncellement de valises exposées dans une vitrine, elle est bouleversée. Un nom écrit à la craie sur l'une d'elles la saisit jusqu'au malaise: Levin. De retour chez elle, Sarah est déterminée à obtenir les réponses aux questions qu'elle se pose depuis toujours: qui est son père? Pourquoi ne l'a-t-elle jamais vu? Pourquoi sa mère est-elle incapable d'en parler.
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