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Ishmaël s'embarque sur Le Péquod, un baleinier qui va sillonner les océans pendant trois ans. Le bateau est dirigé par le mystérieux capitaine Achab qui martèle le sol de sa jambe de bois. Il n'a de cesse de retrouver Moby Dick, la monstrueuse baleine blanche qui l'a amputé quelques années auparavant. Cette obsession, au détriment de l'équipage, tourne à l'affrontement entre le Bien et le Mal.
Il y eut une fois dans le temps jadis un aigle, qui fondit sur la côte de la Nouvelle-Angleterre et enleva dans ses serres un petit enfant indien. Les parents, avec un gémissement profond, virent leur bébé emporté au loin au-dessus de la mer et le perdirent de vue sur les eaux immenses. Ils voulurent le suivre dans cette direction. Ils prirent le large dans leurs canoës et, après une périlleuse traversée, découvrirent l'île ; et sur cette île ils trouvèrent un panier d'ivoire vide : le squelette du pauvre petit Indien.
Pour être honnête, je crois bien que c'est le livre que j'ai mis le plus de temps à lire (environ deux mois) car ce n'était pas la version abrégée pour juniors mais le texte original. Il a fallu que je m'accroche pour ne pas l'abandonner...
Si je n'ai pas classé ce roman plus haut dans ma liste c'est à cause des descriptions très (trop) longues avec parfois l'impression de lire une véritable notice technique. À noter aussi, une centaine de pages en moins aurait permis de resserrer le périple.
Néanmoins, c'est une oeuvre très riche et qu'il faut lire avec attention. Le symbolisme est omniprésent : l'opposition entre l'Homme et l'animal, le Bien et le Mal, sans compter les nombreuses références bibliques (certainement dues à la mère calviniste de Melville).
Je m'arrête là parce qu'il y aurait une grosse analyse à faire de ce roman (impossible sans spoiler !). Je le relirai sûrement mais cette fois-ci dans la version avec les annotations.
J'ai commencé à le lire en anglais deux fois le language est très soutenu et les termes très spécifiques, je m'y remettrai pour cette fois essayer de le finir parce que malgré tout c'est super passionnant :)
J'ai lu la version de la maison d'édition Tournesol junior (j'avoue avoir eu la flemme de chercher le bon livre oops)
Donc lecture facile à lire, courte avec des belles images. Et je peux enfin dire que j'ai lu ce classique même si je n'ai pas la version "adulte" je vais dire 🥲
Achab, c'est le héros du livre, il est, sur son navire, tout comme le Roi dans la Bible d'un dieu des païens Baal. Il a une jambe en moins, il est marqué par la baleine Moby dick, il porte en lui dès le départ ce symbole de sa déchéance, ce péché originel. Il chasse ce cachalot, qui symbolise Dieu, c'est l'instrument de son Pouvoir. Et le père Mapple donne dans son sermon le sens du livre: Achab est comme Jonas, il sera détruit par la baleine car il refuse obéissance à Dieu. L'auteur à travers l'histoire de cet homme, Achab, décrit l'humanité, les hommes qui sentant que tout est écrit, qu'ils ne sont pas libres mais gouvernés par de multiples causes extérieures tentent une sorte de rebellion qui provoque leur destruction.
J'ai cru ne jamais venir à bout de ce livre, un mois pour le terminer.
Et alors que je m'attendais à un roman d'aventure plein de rebondissement et d'action, les coupures incessantes d'explications très détaillées dans le récit sur tout ce qui peut se rapporter de près ou de (très) loin à la chasse à la baleine sont vite devenues indigeste, en plus de casser le rythme.
C'est un classique que je souhaitais découvrir, et sans l'avoir détestée cette lecture était quand même laborieuse. 🐳
Un livre de son époque. Parfois on le confondrait presque à un livre d'histoire naturelle sur les baleines. Par moment, le roman a des aspects mystiques voir biblique et c'est tout à fait normal.
Un roman, dur à lire, mais qui nous emmène en mer, à la chasse à la baleine dans une ambiance pesante, difficile, de superstitions et de vengeance.
Honnêtement ? J'ai mis des mois à lire, m'accrocher pour montrer un minimum de concentration et pouvoir dire que je l'ai terminé.
Je pense qu'on adore ou qu'on déteste cette œuvre. Car oui, je respecte tout #classique, mais c'est certainement le seul, depuis que je sais lire, que je ne peux aimer. Tant il m'a demandé d'effort à suivre.
Pour moi, ce n'est qu'un traité sur un cétacé majestueux voire légendaire.
Alors que je m'attendais à la folie d'un homme torturé et celle de son équipage.
Là, l'encyclopédie et le nébuleux capitaine m'ont noyée toute entière.
Ça m'a contrariée, j'avais honte pendant les premières semaines. Mais à voir d'autres de vos avis, j'ai réalisé que je n'étais pas Inculte ou neuneu. Je ne suis pas la seule à ne pas avoir apprécié Moby Dick ! Ouf ! Il y a une vie après Herman !
Le seul truc positif là dedans c'est que parmi ma #pal pleine de fantasy polar manga et autre cosy mystery je peux lire ou (re)lire quelques classiques de la littérature de temps en temps.
Malgré le manque de reconnaissance de son vivant, Herman Melville figure aujourd'hui comme l'une des figures incontournables de la littérature américaine. Aujourd'hui considéré comme une oeuvre fondatrice de la littérature des XIXe et XXe siècle, Moby Dick a fait l'objet de plusieurs traductions en français. Lorsque le livre paraît en 1851 Herman Melville est déjà très connu, pourtant les critiques sont mitigées et le livre ne sent vend pas aux États-Unis. Il n'a pas offert aux critiques et aux lecteurs ce qu'ils attendaient de lui, de paisibles croisières exotiques, de pacifiques récits de voyages maritimes. Avec ses interrogations métaphysiques, la baleine blanche l'a emmené loin des rivages tranquilles de la notoriété bourgeoise américaine.
Le roman fut négligé durant près de 70 ans et il faudra attendre la traduction de Jean Giono, en 1941, pour pouvoir le lire en français ; trois autres traductions ont suivi, la dernière étant celle de la Pléiade. Pourquoi autant de traductions ? La dernière ne souffre pas de la lourdeur trop souvent inhérente aux traductions « universitaires », mais existe, vivante, dans une belle langue française, qui se lit avec plaisir, et où elle a le mérite de bénéficier d'un demi-siècle d'études sur Melville, absentes au temps de Giono. Aujourd'hui Moby Dick fait partie des oeuvres que chacun pense connaître dès l'énoncé de leur titre, pourtant sans en connaître "les vraies richesses" et caractéristiques. Les commentaires et analyses sont nombreux, y compris dans Babelio, sans toutefois en résoudre tous les mystères et interrogations.
Toujours dangereuse, la pêche à la baleine avait déjà fait l'objet de récits avant le roman de Melville. Toutefois ici, c'est différent, car la baleine fantasmée envoute le capitaine, et se rajoute la vengeance métaphysique que poursuit un capitaine Achab que la haine aveugle, emporté par le désir de mort : celle qu'il veut infliger au cachalot. Melville transforme rapidement le bateau en un théâtre de multiples passions où il y embarque un échantillon d'humanité très diverse et prend un malin plaisir à retarder l'apparition de l'énigmatique capitaine qui n'aura de cesse de traquer le monstrueux prédateur.
Le roman de Melville cache dans ses soutes de nombreux trésors et se transforme peu à peu en une étourdissante odyssée de tous les dangers, aux confins de la condition humaine. L'allégorie de la baleine et de sa poursuite effrénée par le capitaine témoigne d'une relation particulière entre vérité et narrativité. La confrontation entre le capitaine Achab et Moby Dick, objectif lointain de l'ensemble du roman, n'en occupe en fait qu'une petite partie ; elle est comme la mort par rapport à la vie. En effet, plus que la chasse effective du capitaine Achab, qui n'occupe que les trois derniers des cent trente-cinq chapitres, Moby-Dick est le voyage en mer du narrateur, Ismaël, à la recherche de « l'insaisissable fantôme de la vie ».
Une lecture qui peut paraître parfois fastidieuse à cause de l'aspect didactique de nombreuses pages. de longs passages sont consacrés à la chasse à la baleine et à ses principes, ce qui peut s'avérer assez ennuyeux. Mais ce long roman reste une magnifique épopée. Achab et Moby Dick sont des figures mythiques, l'apogée de leur affrontement étant les trois jours de chasse. On peut aussi relever l'importance de la religion et établir un parallèle entre Moby Dick et la baleine ayant avalé Jonas (bénédiction ou malédiction divine ?).
Je ne comprends pas pourquoi tant de gens encensent ce roman. C'est en effet surtout un traité de chasse à la baleine, avec quelques insertions de chapitres narratifs de temps en temps. La partie narrative elle-même ne brille pas par son dynamisme ou son originalité. Bref sans intérêt.
J'admets presque avec une certaine honte que ma lecture de ce classique n'a pas été des plus agréables. L'intrigue avait pourtant de quoi me mettre l'eau à la bouche avec ses promesses d'aventures en mer des plus tumultueuses ! Pourtant, je retiens surtout les enchaînements de chapitres théoriques (pour ne pas dire encyclopédiques) qui venaient presque systématiquement faire retomber la tension. Non pas qu'ils soient inintéressants et superflus, je comprends tout à fait leur insertion même si j'avoue les avoir parcourus en diagonale. Disons simplement qu'ils empêchent l'instauration d'un rythme haletant, à l'instar de certains chapitres complètement déconnectés avec le thème de la pêche à la baleine. Finalement, Moby Dick ne fait que de rares apparitions tout en restant le fil conducteur d'un récit qui s'égare parfois.
Une lecture malheureusement laborieuse sans être déplaisante. Décevante serait plus juste dans mon cas, mais peut-être mes attentes étaient-elles trop en décalage avec le contenu du roman.
Résumé
Ishmaël s'embarque sur Le Péquod, un baleinier qui va sillonner les océans pendant trois ans. Le bateau est dirigé par le mystérieux capitaine Achab qui martèle le sol de sa jambe de bois. Il n'a de cesse de retrouver Moby Dick, la monstrueuse baleine blanche qui l'a amputé quelques années auparavant. Cette obsession, au détriment de l'équipage, tourne à l'affrontement entre le Bien et le Mal.
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