Au c(h)œur des vagues

Nous entrons dans le monde de Kurt et Handrea.

Quel plaisir de retrouver la douce plume de Julie.

Ce tome 3 est un peu plus sombre que les autres, du point de vue du passé, surtout pour Kurt, j'ai trouvé son histoire tellement triste. Je n'ai eu aucune compassion pour sa mère malgré sa propre histoire.

C’est un adulte meurtri il y a beaucoup de douleur en lui et un très grand manque de confiance. Il se pense toujours coupable même quand ce sont les autres qui lui font subir des méchancetés.

Handrea est un jeune homme accompli je l'ai trouvé courageux et droit. Il sait se remettre en question. Il a connu Kurt quand ils étaient adolescents, à ce moment là, il était amoureux et en pleine découverte de son identité.

Les persos secondaires font partis intégrante de la dynamique de l'histoire. J’ai regretté de ne pas revoir plus de monde des autres tomes même si on a quelques nouvelles. Mais c’est cohérent car l’histoire ne se passe pas dans le même pays.

Les personnages de Julie sont souvent sensibles et empathiques, je trouve que ça leur donne un côté plus humain, ils ont de vrais sentiments.

Ici on parle de transidentité, de reconstruction, de confiance, de lien d’amitié, de famille de cœur et d’amour.

Un très bon moment de lecture ❤️

Au c(h)oeur des vagues - Julie Thomières - E-Book - 23/04/23 - 4★/5

En premier lieu : Le scénario est bon, bien pensé, bien articulé. Tout s'imbrique petit à petit avec quelques retours en arrière qui nous permettent de comprendre leur histoire. L'écriture de l'Autrice est très fluide, très prenante. J'y ai par contre trouver quelques longueurs. On est vraiment plonger dans les sentiments des deux personnages principaux, ce qui fait que le schéma de pensées de ces deux hommes reviennent souvent sur les mêmes sujets, ce qui peut paraître un peu redondant. Pourtant, maintenant que j'ai clôturer l'histoire, j'ai trouver cela presque nécessaire.

J'ai pris une claque. Une claque phénoménale en parcourant les lignes de ce récit. Je voulais en savoir plus sur la transidentité puisque ma lecture précédente survolait le sujet. Et puis, je me suis diriger vers ce bébé qui était dans ma Pile à Lire. J'ai trouvé le début un peu longuet et je commençais à avoir très peur de ne pas réussir à m'attacher à Kurt ou Handréa.

Je crois que si je devais décrire ce livre par un mot se serait "pesanteur". Je sentais mon cœur se faire lourd, mon souffle se faire court. J'ai plus d'une fois mit de côté ma liseuse mais le côté addictif, l'envie de savoir où l'autrice nous emmenait était plus fort et je reprenais aussi sec ma lecture ! Mais la lourdeur du passé de Kurt était là et elle m'a imprégnée jusqu'à la dernière ligne. Si j'ai aimé Handréa parce qu'il éveil notre tolérance et qu'il est aussi bon qu'adorable ; j'ai eu un coup de foudre pour Kurt. On peut le pensé "fragile" peut-être même "pleurnichard" mais je n'ai pas pu me résoudre à le décrire en ces termes.

Ce livre est une histoire d'amour, oui. Mais c'est aussi une histoire de reconstruction, une histoire de tolérance, de famille de cœur, et une belle leçon de morale.

On apprend à détester autant qu'à aimer. Il y a beaucoup de revirements de situation qui fait qu'on est amener à reconsidérer notre positionnement vis à vis de certains personnages. Et je trouve que Julie Thomières a parfaitement créer ce cheminement de pensées.

Mention honorable à Ace ! On ne m'aura jamais fait aimé autant un animal en quelques passages. Un petit rayon de bonheur dans tout ce ramdam.

Il y a quelques sujets qui pourraient par contre déranger certains /!\ : Spoiler(cliquez pour révéler)Violences physiques/verbales, Maltraitance, Transphobie, Abus Sexuels, Deuil

Quel claque, ce livre est juste magnifique, poignant mais tellement beau, les personnages sont parfaits, leur passé est dur mais ils font faces avec tant d'amour et de soutien que ça en devient magnifique. Une belle leçon de vie.

Une lecture un peu trop mélodramatique à mon goût.

Le personnage d'Handrea est tout ce qu'il y a de plus charmant à mes yeux, mais Kurt/Heath n'a pas été à la hauteur de mes espérances. Il est certes traumatisé par son enfance, mais j'ai trouvé que l'histoire tournait trop autour de son passé et que ses "traumatismes" étaient décrits de manière un peu trop grossière : une telle violence ne pouvait passer inaperçue au sein de l'école ou de sa famille.

Somme toute, c'est une lecture qui m'a un peu déçue.

La plume de Julie nous emmène avec poésie et émotion dans une histoire qui défend des sujets importants. L'amour n'a pas de frontières ni de genre.

Ici, nous suivons Kurt et Handrea, deux personnages au coeur meurtri par leur passé et leurs luttes respectives, mais qui s'aiment depuis toujours. Après une séparation de 12 ans, Kurt revient dans la vie d'Handrea, qui a bien changé.

Nous suivons la renaissance de leur amour avec une bienveillance telle qu'elle est touchante. Kurt et Handrea se soutiennent envers et contre tous. Si bien que tous sont forcés de constater que leur amour est plus fort que tout.

Il est rare qu'un roman me tire des larmes, mais celui-ci y est parvenu, par deux fois ! C'est dire si cette histoire est intense.

Une histoire que j'avais bêta-lu et que j'ai pris plaisir à relire.

Si Entre les vagues est un roman qui m'a bouleversé en bien des points, Au c(h)leur des vagues m'a énormément touché aussi. Par ses thématiques et leurs complexités.

Kurt et Handrea garderont une grande place dans mon coeur. Ils ont une grande importance pour moi car leur histoire est belle. Elle doit être lue, entendue. C'est un cri de révolte, pour les opprimés.

Julie Thomières signe un troisième roman parfaitement. Elle nous emporte à Byron Bay et nous envoûte avec le son des vagues. Je suis contente d'avoir pu lire cette version finale. Sa plume est toujours aussi belle, peut-être même plus. Elle défend toujours des thématiques importantes et les traite avec brio.

Ses personnages sont bien ficelés, que ce soit Kurt, Handrea, Maya, Malia, Liam et ceux que l'on a déjà pu voir dans les autres tomes. La seule avec qui j'ai eu beaucoup de mal c'est Ari. Je trouve que ses réactions vis-à-vis de Kurt relève presque d'une maladie mentale tant c'est illogique et injuste. Je ne peux pas l'apprécier quand je vois ses manières de réagir. Un coup gentille, la seconde d'après agressive... C'est elle qui, selon moi est ce que j'aime le moins dans l'histoire. J'aurai presque voulu qu'elle en bave un peu plus tant elle est injuste avec Kurt...

En bref une histoire avec de la force, de la puissance et beaucoup d'émotions.

Kurt est de retour à Brisbane en Australie après douze ans d’absence.

Sa tante l’a supplié de revenir pour voir sa mère qui n’a plus que quelques mois à vivre. Après toutes ces années ,il appréhende les retrouvailles avec Isabella et Handrea ,il va devoir puiser tout au fond de lui pour les affronter .

Kurt accepte de travailler à l’école de surf de ses amis mais cela veut dire , qu’il va devoir passer du temps avec Handy . Les quatre prochains mois vont risque d’être difficiles.

Au final , il apprend à faire connaissance avec l’homme que son ex est devenu . Depuis sa transition Handy a beaucoup changé ,il est devenu bel homme avec énormément de charme une chose que Kurt apprécie beaucoup.

Très vite tout redevient comme avant le départ précipité de Kurt ,leur lien est de plus en plus fort ainsi que leur complicité. Ils passent tout leur temps libre à surfer ou chez Handy avec Ace le bouvier australien de ce dernier .

Ne désirant que le bonheur de Kurt depuis son enfance Handy est prêt à tout pour retrouver son premier amour .

Vont-ils réformer le puzzle qui a été détruit du jour au lendemain, oublier les douze années de séparation pour pouvoir affronter leurs démons ?

Ce roman est bouleversant. L’auteure a su traité plusieurs sujets avec un récit chargé en émotions.

Kurt et Handy sont deux âmes détruites par une enfance difficile. Malgré les embûches ils ne désirent qu’une seule chose être enfin heureux. Mon cœur a raté quelques battements avec eux impossible de rester indifférente face à certains passages.

Les personnages secondaires jouent un rôle important à leur côté. En particulier Ace un adorable chien . Ce roman est mon premier coup de cœur de ce début d’année

Quel plaisir de retrouver l’univers de Julie Thomières à travers le dernier tome de sa trilogie Les Vagues.

J’avais découvert Kurt au gré de page dans les deux premiers opus et c’est le moment de son heure de gloire.

Kurt a 27 ans et il doit retourner affronter son passé en Australie, pays qu’il a brusquement quitté douze ans auparavant.

Handrea, quant à lui, vit entouré de ceux qui l’ont vu grandir et surtout qui l’ont accepté tel qu’il est aujourd’hui.

Leur séparation les a fait souffrir mais la page a-t-elle été vraiment tournée ?

J’ai aimé découvrir l’histoire de Kurt, ce garçon discret et sensible, secret mais prêt à beaucoup de choses pour les gens qu’il aime. C’est un personnage fort qui a du se battre pour sortir la tête de l’eau et accepter d’être aimé à sa juste valeur.

Handrea n’est pas en reste. Comment continuer à avancer quand la personne qu’on aime le plus au monde se détourne de soi à la révélation de son secret ? Handrea a eu la chance d’être entouré de personnes qui l’ont soutenu malgré les difficultés que la situation annonçait. Il fait preuve d’empathie et de tendresse. Mais ça n’en reste pas moins quelqu’un de fort.

J’ai également beaucoup apprécié les personnages secondaires. Enfin, pas tous. Certains auraient vraiment mérité de se faire secouer un bon coup pour les faire réagir.

Ceux qui valent le détour ont amené beaucoup de légèreté et d’humour à l’histoire, ce qui permettait de dédramatiser certaines situations.

Encore une fois Julie Thomières a su me transporter dans son histoire, me faisant vivre de véritables montagnes russes émotionnelles. Sa plume est plaisante et totalement prenante. Elle traite, comme dans les tomes précédents, de sujets sensibles et sérieux avec respect et bienveillance. On voit que son récit est travaillé même si j’aurais aimé avoir quelques informations supplémentaires lors de certains passages.

Les flash-back permettre de vraiment cerner l’histoire depuis son commencement alors que Kurt et Handrea n’étaient que deux enfants qu’on aurait du protéger.

Je vous invite donc à découvrir ce livre et plus encore cette trilogie qui, j’en suis sûre, saura également vous subjuguer.

Je ressors de cette lecture plus que chamboulée. Je crois qu'une partie de moi est restée à Byron Bay, en compagnie de Kurt et Handréa.

Ce roman parle d'une histoire d'amour, mais pas que. Il y a tellement plus dans cette histoire. Les thèmes choisis par l'auteure sont bouleversants, les personnages principaux sont si bien travaillés, la plume est douce, poétique.

J'ai souri, j'ai eu peur, j'ai versé ma petite larme. Je suis passée par un milliard d'émotions. Un mot pour résumer mon ressenti global : WOUAH !

Un grand bravo à l'auteure !

Une playlist "adorable" et riche en significations.

Des paysages indéniablement fabuleux entre mer de Corail et mer de Tasman.

Je ne sais si c'est la photo de couverture, mais j'ai eu du mal à me fondre dans les personnages.

Le fond de l'histoire est émouvant, honorable mais il manque de la profondeur, trop de larmes, trop de sentiments à fleur de peau qui donnent un côté trop "féminin" au récit.

C'est vraiment dommage.

Je m'attendais à davantage d'introspection de l'auteur concernant Handrea.

Sa transformation est esquissée ce qui fait que les moments d'intimité sont suggérés, c'est très soft.

Seul Kurt (Heath) nous offre une narration quasi complète de son évolution dans le temps, n'omettant pas les séquelles qui font de sa vie un combat quotidien face à ses démons.

Mais, longue vie à nos deux héros, à Byron Bay, douce et sucrée comme des chamallow entre le bleu du ciel et celui de la mer pour un avenir épanoui et heureux.