Commentaires de livres faits par Celestielle
Extraits de livres par Celestielle
Commentaires de livres appréciés par Celestielle
Extraits de livres appréciés par Celestielle
Alors en fait, nous avons tout ce que je déteste dans ce livre estampillé "romance" (et qui ne mérite absolument pas ce titre) :
- une héroïne girouette qui passe du "j'ai envie de lui taper dessus" à "je mouille ma culotte pour lui" toutes les trois pages ;
- un "héros" agressif, méprisant, rabaissant, humiliant, harceleur, obsédé, qui ne manque pas de rappeler à chaque moment à la femme qu'elle n'est qu'une chose qui lui appartient et qu'elle doit obéir à chacune de ses lubies ;
- un contrat d'esclavage (de mariage, arf ! laissez-moi rire, au vu des clauses, c'est clairement de l'esclavage => l'une d'elle dit par ex. qu'elle n'a pas droit de se refuser à lui s'il veut la culbuter, donc il a le droit de la violer en gros) ;
- des actes charnels forcés, de la violence gratuite, et surtout, de la violence contre l'héroïne (la fessée, faite TOTALEMENT sans consentement) ;
- un pseudo-mystère planant sur la vraie raison du contrat mais qui doit être bien bateau et n'excuse en rien le comportement de Lancaster envers Angeline.
Aucune chance que je lise la suite !
Et je trouve que la violence verbale et physique est beaucoup trop banalisée dans les romances. Je vois une différence entre deux caractères qui s'affrontent (comme dans "Beautiful Bastard" ou "Attrape-moi... si tu l'oses") et d'autres comme celui-ci.
PS : J'ai entendu parler des accusations de plagiat qui pèsent sur ce livre, j'ai donc fait quelques recherches...
Il est vrai que la fanfiction dite originale (qu'on peut trouver ici : https://m.fanfiction.net/s/7178957/1/Le) présente vraiment beaucoup de similitudes avec ce bouquin... En tous cas, à mes yeux, la notion de plagiat est justifiée à ce stade de ressemblance !
Tara Jones est donc une "autrice" bannie de ma liste de lecture définitivement !
Des clichés en veux-tu en voilà, des répétitions, un livre bourré d'illogisme, des passages franchement longs et inutiles.
Et que dire des personnages ! Là aussi clichés sur clichés.
Bref, déçue à tous les niveaux, la suite, ce sera sans moi
A part ça, j'ai aimé, l'histoire est bien, peut être un peu brève et pas très originale mais tout à fait satisfaisante.
![voir tout les commentaires de Manon-Patrico](https://cdn1.booknode.com/pics/addsmall_v3.png)
J'ai beaucoup aimé comme toujours l'humour noir de Felicity, les retournements de situations, j'ai aimé que ce roman soit beaucoup centré sur Felicity sa force de caractere sa ténacité
J'ai détesté
Daphné m'a manqué dans ce tome, Phil me gonfle tjr autant (même si le pauvre on n'a pas grand chose a lui reprocher) j'ai beaucoup aimé le papa de Felicity
Bref une fin de saga qui m'a tenu en haleine, j'aurai aimé le lire moins vite, savourer cette fin mais je n'ai juste pas reussi à décrocher
Merci encore Sophie pour cette saga et pour toutes tes oeuvres en général ! !
J'ai rarement eu l'occasion de lire un livre où le personnage principal est aussi stupide et frustrant. Cette fille n'a aucune personnalité, elle n'a pas un sous de jugeote et je ne parle même pas de sa manie de dire amen à tout ce que Korum, le personnage masculin peut dire ou faire. Celui-ci la manipule sans aucun scrupule et le pire c'est qu'elle s'en rend compte et ne fait absolument rien à ce sujet ! J'ai cru à un moment qu'elle allait ouvrir les yeux et arrêter de se laisser faire comme une bécasse mais j'ai vite déchanté. Elle laisse littéralement Korum régenté sa vie comme il l'entend sans s'y opposer (ou alors très faiblement et finit toujours par capituler)
Le rappel constant de la morale sur l'écologie et le futur de la planète m'a très lourdement irrité. D'ailleurs, le personnage de Korum ne manque pas de rappeler que se sont les humains les méchants à polluer *bouuh* et que les Krinar vont tous les sauver grâce à leur lobotomisation. Délicieux...
Pour ce qui est de l'aspect science fiction et technologie futuriste, j'ai cru à une bonne grosse blague. La plupart des inventions extra-terrestre sont plus qu'à la limite du ridicule tant elles sont irréalistes et absurdes. Aussi, je ne m'y pencherais pas plus, cela m'a juste agacé.
Enfin, l'écriture est assez fade et simpliste. J'ai été déçu car j'ai trouvé le concept assez intéressant au début, mais j'ai rapidement vu qu'il allait falloir revoir mes expectations à la baisse au fil de ma lecture.
Si ce n'est pas clair pour certain, je n'ai pas spécialement apprécié ce livre. Je souhaite à l'auteur d'écrire d'autres nombreux livres et à s'améliorer ce faisant.
D'habitude, j'écris mon commentaire sur un livre dès que je l'ai terminé. Mais pour Carve the Mark (jamais je ne dirais le titre français je trouve que ça sonne bizarrement), j'ai hésité pendant plusieurs jours avant de me décider à finalement dévoiler mon avis sur ce roman.
Je tiens à préciser que ce commentaire risque grandement de ressembler à un brouillon. Je suis comme ça quand mon cerveau s'emballe et que j'ai trop d'idées pour prendre le temps de tout faire correctement sans prendre le risque d'en perdre une.
Même ça c'était brouillon, tiens.
Pour ceux qui ne le savent pas, il y a une polémique autour de ce livre. Effectivement, de nombreuses personnes ont trouvé le fait que le peuple Shotet vu comme les sauvages et les méchants de l'histoire ne soit pas très pâles comme étant quelque-peu raciste.
Ouais. Alors, pour ma part, j'ai parfois du mal à me souvenir de la couleur de cheveux d'un personnage alors me souvenir de sa couleur de peau, c'est le même problème. Je n'y prête pas plus attention que ça sauf si c'est un élément important de l'histoire. Et dans le cas de Carve the Mark, c'est plus un détail qu'autre chose. En plus, ils ne sont pas tous mates de peau donc...
Je trouve ça dommage qu'on condamne un livre pour un détail comme celui-ci. Nous sommes en 2017. Oui, le temps passe vite. Bien que le racisme soit un problème toujours existant (je le sais parfaitement puisqu'il y a peu encore je faisais un travail là-dessus), je crois que nous sommes assez évolués pour faire la différence entre un acte raciste et un simple détail sans réelle importance.
Selon moi, je crois qu'il faut aussi tenir compte que c'est un livre, une fiction pure. L'histoire se déroule carrément dans une autre galaxie!
D'ailleurs, si on commence à trouver un aspect de ce livre insultant, on peut en trouver d'autres et dans tous les livres publiés à ce jour. Peut-être que demain des astronomes vont se pointer pour faire une scène parce que la galaxie dans ce livre n'existe pas et que certains aspects du monde de Carve the Mark ne correspondent pas à ce que la nature est capable de créer dans de telles conditions blablabla et qu'ils vont prendre ça comme une insulte à leur métier? Ou peut-être que quelqu'un va se dire que le fait que Cyra soit brune est un manque de respect envers les blondes?
C'est peut-être un peu exagéré mais ce que je veux dire c'est qu'à partir de là, on peut aller partout.
Des méchants à la peau sombre désignés comme des sauvages? Je veux bien comprendre que ça puisse en blesser certains vu comme ça. Mais je pense aussi que c'est bête de se laisser vexer par ça. Parce que ça n'a rien de raciste dans le contexte de Carve the Mark. Je pense que le choix de l'auteure par rapport à la couleur de peau des Shotet s'est basée sur le fait qu'à l'origine ce sont des nomades qui ont des racines un peu partout ce qui a créé une certaine mixité. Et si ça peut vous aider à vous sentir mieux, ils ne sont même pas méchants ni sauvages. Ils ont des croyances et des rites intéressants selon moi et ils sont vus ainsi parce que comme tout le monde ils ont des ennemis et ceux-là ne vont certainement pas aller nous dire "Ils sont beaux avec leur peau sombre et leur côté aventurier, vive les Shotet!"
Sinon, les lecteurs pourraient aussi se sentir blessés par le fait que les Thuvhésit sont pâles et pacifiques et qu'ils sont littéralement des faibles et des mauviettes aux yeux des Shotet. Le monde n'est rose d'aucun côté. Donc, je ne pense pas qu'on puisse parler de racisme.
Aussi faut prendre en compte que les Shotet sont définis comme des sauvages aux yeux de leurs ennemis (qui ne vont certainement pas parler d'eux avec des mots doux) parce qu'ils ont débarqués de nulle part et ils se sont installés sur la planète des Thuvhésit sans avoir la moindre envie de changer ce qu'ils étaient aka leurs croyances et de s'intégrer au peuple de Thuvhé.
Pour en revenir aux mots doux, puisque certains trouvent ça insultant que les Shotet soient vu comme des brutes par les Thuvhésit. Quand vous avez des ennemis, ou simplement des personnes que vous n'aimez pas, rassurez-moi vous les insulter un minimum quand-même? Sinon la définition du mot ennemi est quand-même mal interprétée. AH aussi, si jamais Veronica Roth avait écrit un roman où les ennemis ne sont pas vraiment méchants les uns envers les autres, il y en auraient probablement qui auraient fait la remarque alors au bout d'un moment, faut savoir ce qu'on veut.^^
Au-delà de ça, des tas de personnes ont aimées Divergente et pourtant on aurait pu trouver insultant le fait que par exemple les Fraternels ont l'air de gars qui ont échangés leur cerveau contre une salade. Pourquoi aucune personne étant pacifique, végétarienne ou quoi que ce soit dans le genre n'a pas trouvé ça insultant? Comme je vous disais plus haut, on peut trouver des choses insultantes dans des tas de livres si on cherche à se faire insulter. Autrement, on peut juste apprécier une histoire à sa juste valeur sans se prendre la tête avec un détail qui n'a aucune portée sur l'histoire en elle-même. Personnellement, je lis pour le plaisir et pas pour trouver des défauts à chaque phrase.
Pour finir, s'il y avait eu un véritable problème de racisme ou quel qu’il soit avec ce roman, je doute que les maisons d'éditions auraient acceptées de l'éditer. Et puis sérieux, Veronica a une réputation à tenir après le succès de Divergent! ;)
Au final, Veronica Roth a juste voulu nous montrer différentes cultures, différents peuples et fallait bien qu'il y ait un méchant sinon ça n'aurait eu aucun sens, fallait bien qu'ils soient différents pour être nommés 'différents peuples' et dans le cas du méchant, il fallait bien qu'il appartienne au peuple le moins compris et accepté de leur galaxie sinon ça n'aurait eu aucun sens. Et je le rappelle, étant sans origine précise puisqu'ils étaient des nomades et qu'ils viennent donc d'un peu partout, il y avait plus de chances pour qu'ils soient bronzés, dirons-nous, plutôt que blancs comme des cachets d'aspirines. Voilà.
Cela mis-à-part, je vous présente mon avis sur ce livre. Non, ça n'avait toujours pas commencé.
Carve the Mark est un livre dont je ne savais pratiquement rien lorsque je l'ai commencé. Je suis donc partie à la découverte de cette histoire et j'ai été agréablement surprise.
Effectivement, en plus d'avoir une très belle couverture et une mappemonde dont je suis tombée amoureuse, l'histoire m'a énormément plu!
On découvre Akos Kereseth qui est un Thuvhésit et Cyra Noavek qui est une Shotet. Rien ne semblait pouvoir les mener à se rencontrer jusqu'au jour où Akos est emmené au manoir des Noavek aka la famille au pouvoir sur les terres Shotet.
(PAUSE: C'EST QUOI CES NOMS?!)
Ils vont tous les deux se retrouver à devoir cohabiter et ils vont devoir s'entraider pour obtenir ce que chacun désire. Mais bien-sûr, Ryzek Noavek, le grand-frère de Cyra et le tyran qui dirige les Shotet, va être un obstacle parmi tant d'autres entre Cyra et Akos et ce qu'ils désirent mais sûrement le plus dangereux de tous.
Je crois que j'ai jamais fait un résumé aussi nul. ☺
J'ai adoré le monde qu'a érigé Veronica Roth. Je l'ai trouvé intéressant et j'avoue que je ne serais pas contre un petit voyage là-bas en mode exploratrice (aka Louan la nouvelle Dora). Chaque planète a sa particularité, chaque peuple est différent et ça m'a plu cette diversité chez les personnages qu'on a l'occasion de croiser. En plus que les personnages en question ont des don-flux soit un pouvoir particulier et unique chez chacun d'entre eux.
Je serais curieuse de savoir quel serait mon don-flux, tiens...☺
BREF.
Le monde m'a amené à aimer l'histoire puisqu'ils sont liés. Sans le monde qui va avec, l'histoire n'aurait clairement pas beaucoup d'intérêt.
En plus de cela, je trouve que Veronica Roth a vraiment bien su mener les choses. Et je me suis plongée dans cette histoire avec une facilité qui ne m'était pas venue depuis un moment.
Une fois confortablement installée dans mon lit (et malade mais ce n'est qu'un détail), je n'ai plus arrêté de lire. (Sauf pour aller vider ce que contenait mon estomac. Et même ce qu'il ne contenait pas d'ailleurs. Charmant, hein?)
J'ai beaucoup aimé les personnages. Ils sont attachants et chacun est différent (comme je l'ai déjà dit) donc ça m'a énormément plu. Je suis le genre de personne qui béni la différence et Veronica Roth a su l'offrir avec tout ce que j'aime. Donc, je n'allais certainement pas venir m'en plaindre.
Cyra est une héroïne comme je les aime. Au début, elle ressemble à la copie parfaite d'une armoire à glace. Elle est menaçante et dangereuse grâce à son don-flux. Et au fil de la lecture on découvre qui elle est sous toute cette couche de glace et je l'ai trouvé lumineuse et attachante.
Bref, je l'ai beaucoup aimé. Je l'ai même carrément adoré. C'est mon nouveau modèle dans la vie. ;)
Quant à Akos, je m'y suis attachée de la même façon qu'avec Cyra. Il a une personnalité qui m'a beaucoup plu. Il semblerait presque plus sombre que Cyra par moments mais il a quelque chose de chaleureux comme un petit feu dans une cheminée que j'ai aimé. Bref, je vais tapisser les murs de ma nouvelle chambre (à la fin du mois) avec son nom. AKOS KERESETH. En plus, ça sonne bien. Que demander de plus?
Les personnages secondaires m'ont beaucoup plu. J'ai aimé détester Ryzek et j'aurais bien mis mon poing dans la figure de Vas plus d'une fois. Bien que j'aurais sûrement eu plus mal que lui, ce qui est carrément contre-productif mais bon. ☺
J'ai aussi beaucoup aimé Isae, Cisi, Jorek et Teka.
Par rapport à la romance, je suis bien heureuse que Veronica Roth ait su prendre son temps pour bien la développer. OK, ça fait un peu cliché les deux ennemis qui finissent par tomber amoureux. Mais quand un cliché est bien fait, il peut se révéler très plaisant. Et dans le cas présent, j'ai adoré la relation mise en place entre Cyra et Akos. Il y a des moments entre eux, j'ai cru que j'allais fondre (et ça n'avait rien avoir avec la fièvre).
Bref. J'ai trouvé qu'ils se complétaient très bien, tous les deux.
Pour finir, parce que je n'ai pas grand-chose d'autre à dire, la fin m'a clairement donné envie d'avoir le second tome tout-de-suite. Attendre va être une torture. [spoiler]Si Cyra n'est pas une Noavek, qui est-elle? Le père de Ryzek donc, toujours vivant? Il est où? Qu'est-ce qu'il foutait pendant tout ce temps? Vont-ils réussir à sauver Eijeh?
En conclusion, Carve the Mark est pour moi un coup de cœur. Je suis de ceux qui ont aimé Divergent mais Carve the Mark, c'est un tout autre level.
Je conseille donc vivement à ceux qui auraient entendu parler de la polémique de passer au-dessus et d'aller se faire leur propre avis. Selon moi, Carve the Mark vaut le détour.
«we rose, and became soldiers, so we would never be overcome again.»
![voir tout les commentaires de alexiabutler](https://cdn1.booknode.com/pics/addsmall_v3.png)
L'écriture, déjà, est assez moyenne : on ne ressent absolument pas les émotions des personnages, certaines scènes passent super rapidement tandis que d'autres traînent comme pas possible, il y a des tas de transitions mal faites, d'ellipse pas du tout annoncées, de vieux suspenses auxquels personne n'est dupe et de "ohlala retournement de situation" qu'on voit tous venir à 3 kilomètres. L'histoire d'amour est cramée page 2 (allez, peut-être page 3) et elle est bidon, les personnages sont soit très gentils, soit des salauds sans cœur, et Nat... Mais alors Nat... elle nous fait quoi, pendant les derniers chapitres ?
Déjà, il y a un abus de majuscules, parce que FAIRE PARLER SES PERSONNAGES COMME CA c'est pas hyper crédible, et ensuite... whoa. C'est quoi cette fin ? Cette "destiné" totalement WTF que l'héroïne se découvre ? Bref, ça partait bien, mais ça finit dans les cactus. On peut s'en passer.
![voir tout les commentaires de Pauline-dga](https://cdn1.booknode.com/pics/addsmall_v3.png)
![voir tout les commentaires de Christele-tup](https://cdn1.booknode.com/pics/addsmall_v3.png)
Déjà l'écriture est lourde, le rythme est parfois très lent, je me suis ennuyée plus d'une fois.
Plus de 100 pages redondantes auraient pu être évitées.
Cela traîne en longueur, on ressasse 100 fois les mêmes choses.
Quant aux personnages, bah, que dire? Une avalanche de sexe pour Reed justifiée par un passé douloureux, mais qui n'a pas eu d'effet sur moi.
C'était une surenchère incessante de trash, d'auto apitoiement, de sexe, violence et de non-sens.
Cara une girouette, larmoyante. Quant à Lucas, un drôle de mélange
Pour l'histoire en elle-même, c'est treeees long à démarrer!
Bien que dés le depart j'aie senti les virages, je les trouve très mal négociés.
J'ai levé les yeux au ciel plus d'une fois, consternée par les rebondissements prévisibles, cette repentance pénible et la plume !
En bref, une déception, tant dans l'écriture, les personnages que la romance.
À part la dernière page pour le rebondissement, cette lecture était plate, insipide, comptant sur la surenchère de trash pour la faire évoluer et j'en passe
Pas le courage d'entamer le 2...
On est loin de jeu d'acteur nettement meilleur !
Bonne lecture
Puis au vu des bons commentaires que je lisais à droite et à gauche, j'ai tenté de le relire. Et finalement, passé les 2 premiers chapitre où je n'y comprenais rien et qui m'avait fait arreter ma lecture. J'ai complètement accroché!
Notre chère Anya, hybride loup vampire, est rejetée par son clan à sa première transformation. Elle se retrouve alors à San Francisco dans la meute de son père, où elle rencontre sa nouvelle famille. Le livre est vraiment entrainant. On est vraiment pris dans les pensées d'Anya (avec parfois un bon sens de l'humour), ses doutes au sujet de sa famille, ses attirances pour Kyle, loup alpha de la meute, et Aidan, Vampire qui se montrera être beaucoup plus que ça. Beaucoup d'émotion et j'avoue qu'à la fin j'ai versé ma petite larme. Je suis impatiente de découvrir la suite!
Il y a bien une intrigue qui court le long du livre, avec cette métamorphe marine qui a été capturée et que les personnages essaient de retrouver, ainsi que la recherche des ennemis qui veulent du mal à la petite Naya, mais ce n'est pas vraiment raccordé à toutes ces histoires de couple, ça m'a donné l'impression d'être vraiment décousu. Je suis donc déçue par ce tome et je crois qu'il n'était pas vraiment indispensable pour conclure une série par ailleurs plutôt réussie.
![voir tout les commentaires de Miss-Maryse](https://cdn1.booknode.com/pics/addsmall_v3.png)
Je vais quand même acheter le tome2 et3 en esperant qu'ils me plairons plus.
![voir tout les commentaires de NatFincanon](https://cdn1.booknode.com/pics/addsmall_v3.png)
Et puis j'ai lu le livre...
Honnêtement je me demande si on a payé les gens pour écrire de si bon commentaires....
L'histoire pourrait être vraiment sympa mais elle n'est pas bien exploitée du tout !
Hope est tellement insupportable, entre un mec qui te bat et que tu n'aimes pas et un autre super que tu aimes profondément et qui te respecte je ne vois pas comment on peut hésiter. Ce n'est vraiment crédible. On passe 300 pages à suivre une Hope qui subit sa vie et qui est incapable de prendre une décision... Elle se laisse porter par les évènements et c'est tellement frustrant. Je crois que je n'ai jamais autant detesté un personnage.
J'ai lu jusqu'à la fin (en sautant de gros passages) pour connaitre le dénouement de l'histoire de Hope et Matthew et là je me rend compte qu'il y a une suite, je suis tellement déçue...
Kate Daniels est la meilleure série que j'ai jamais lu.
Celui ci est le second. Le parfait équilibre entre humour, romance et action. Je suis tombée dans la peau des personnages et ils ne me lâcheront pas pendant longtemps.
Une lecture plus intense que la vie elle même. L'anglais ne gêne pas, l'histoire est fluide, comme écrite au fond de mon cœur de lectrice.
J'en fais peut être trop, mais comment expliquer à quel point ce livre m'a remué?
Juste... Wow.
Le récit est complètement déplacé par rapport à l'époque, personne ne se comporterait comme ça dans ces années-là, aussi excentrique soit-il. C'était complètement aberrant.
Je n'ai pas aimé Morgana, je la trouvais exaspérante.
Et son caractère soi-disant fort n'a pas duré bien longtemps face à Lord Greenwald... Il fait d'elle absolument tout ce qu'il veut sans le moindre effort.
Je l'ai aussi trouvée passablement niaise.
Le pire personnage a été Malcolm (Lord Greenwald). J'ai détesté cet homme, je n'aimais pas du tout son attitude arrogante et déplacée. Il ne fait que ce qu'il veut, ne tenant absolument pas compte des souhaits, sentiments ou désirs de Morgana ! (ce n'est qu'une simple femme après tout...).
Et il a fait beaucoup trop de choses que je n'apprécie pas du tout :
- se prétendre épris d'elle mais se taper une autre femme. Il était saoul voyez-vous le pauvre, ce n'est pas sa faute (mais ça ne l'a apparemment pas empêché de bander) ;
- comme il risque de perdre Morgana après ça, il se glisse dans sa chambre en pleine nuit pour la compromettre et l'obliger à l'épouser, en commençant donc par la caresser dans son sommeil, puis à la déshabiller et à la toucher très intimement contre son gré en la faisant chanter puis en la retenant de force alors qu'elle lui dit clairement non ;
- comme la compromettre n'a pas suffit à lui faire accepter la demande en mariage, il recommence à la culbuter en essayant de la mettre enceinte ce coup-ci, histoire qu'elle ne puisse vraiment plus dire non au mariage ;
- et pour finir, lui donner la fessée parce qu'elle ose le contrarier.[/spoiler]
ECOEURANT !!!
Et c'est censé être une histoire romantique ?!? Sérieusement ?!?
Et tout ça est traité en plus avec humour ?!?
[spoiler]Les agressions sexuelles, les mariages forcés, les viols et la violence conjugale, ce n'est ni romantique, ni drôle à mes yeux !
Du coup, aucune chance que je lise le deuxième volume sur la soeur !
Ce genre de livre peut être intéressant: par exemple, Lolita aborde le même thème sur les passions "déplacées". Aurait pu être intéressant s'il avait été écrit comme tel pour représenter des gens différents, nous mettre mal à l'aise, nous perturber, troubler, embrouiller et autres synonymes. Les soutenir alors que leur relation est par définition dérangeante. Ex: Vampire Academy, Unteachable, ..
Mais non, leur relation est simplement écœurante (et tout particulièrement le "héros") et l'auteur dépeint ladite relation comme romantique: ça y est, c'est l'amour le vrai ... De penser que des jeunes filles lisent ce livre en pensant que ça c'est l'amour: c'est ça qui est dérangeant au final.
Et mon top 3 des réflexions débiles:
1) “Nice job, Marcus,” the bouncer said as he looked me over, checked my ID, and looked me over again. “Not even legal.” He held up his fist, and Mark bumped it. “Score.”
Les deux tourtereaux vont en boîte et le videur remarque que la donzelle n'est "même pas légale". Vous penserez que monsieur se sentirait légèrement mal à l'aise d'avoir 11 ans de plus qu'elle ? Je lui demande même pas de regretter son geste, seulement d'avoir un semblant de malaise. Et bien non, il est fier d'avoir chopé une pouliche assez jeune pour qu'il soit mis en prison et tape dans la main du videur. A++ CONNARD. Mais ah non, c'est l'amour.
2) "Cadence, men look at other women. Their brains are designed that way. That’s how God made them." Car le cerveau de l'homme est différent de celui de la femme et que l'homme matant la poitrine d'une femme est tout simplement un fait génétique. Le féminisme est mort.
3) I think he feels the same about me, but we got into an argument yesterday, and today he made fun of me in front of the class,” I said, feeling my eyes water again. “That’s why I needed to leave.”
“What a jerk,” Avery said. [...]
Ok là on est dans le vrai. Quel trou du cul.
“[...] Why would he do that to you?”
“Because I told him we were over. Well sort of. I mean, I kind of left it hanging.”
“Ohh. So you made him angry,” Avery said.
“I guess,” I whispered.
“And if he had that kind of reaction, it means he really likes you and wants to be with you.”
“He humiliated me, Avery! How does that show me he likes me?”
“Cadence, men have pride.”
Ohhhh. Cadence voyons. Ton mec te ridiculise et t'humilie devant tout le monde mais tu l'as bien cherché car tu as osé rompre avec lui. Et s'il est fâché et se comporte comme une bite envers toi, c'est parce qu'il t'aime ! Les hommes ont une fierté Cadence, et tu devrais le pardonner et te soumettre car tu as osé ne plus vouloir sortir avec lui. Qui t'a fait croire que tu avais un libre arbitre, Cadence ? Surement pas ta meilleure copine ni ton petit ami en tout cas.
PIRE LIVRE JAMAIS LU.
Le début partait bien mais le manque de crédibilité m'a complètement enlever mon envie de poursuivre.
Tout allait bien aux premières lignes avant que tout ne dérape d'une façon qui m'a refroidie et vraiment dégoûtée.
La suite n'a absolument pas rattraper ce gros plantage du début, puisque tout est couru d'avance, rien n'est crédible, tout est beaucoup trop facile.
Rylee n'a laissé de marbre même si on sait qu'elle a un lourd passé. Je n'ai pas eu ma curiosité de pousser. Dommage, j'aimais bien les passages au " foyer" avec ces gamins qui l'entourent.
Quant à notre cher homme, qui me laisse de glace, parce que je ne lui trouve aucun charme et bien ça se passe de plus de commentaire.
C'était une quatrième couverture alléchante, une très bonne idée mais j'ai l'impression que la nouvelle mode c'est de pousser les extrêmes, de faire des histoires d'amour rocambolesque, de faire du sexe ( car le début pardonnez-moi mais c'est déjà du trop gros pour moi) pour faire vendre et surfer sur cette vague qui m'a noyée depuis longtemps.
Sincèrement, l'idée de base avec les démons, les alter ego etc. est vraiment sympa ! C'est différent des loups-garous et de leurs âmes sœurs tout en restant sensiblement sur la même branche, et on découvre des tas de nouveaux croisements, une société secrète et tout un tas d'espèces trop cools venues de la mythologie chrétienne. Mais voilà, tout tourne évidemment autour du lien entre Harper et Knox, et voir cette pauvre fille être contrôlée par ses hormones dès le chapitre 2, se targuer d'être quelqu'un d'insupportable et rebelle pour ensuite s'agenouiller quand il le faut et trouver ça totalement normal, ça fait juste mal au cœur. C'est peut-être un jugement très dur mais la première scène érotique (au chapitre 6, hein, alors qu'Harper avait juré ses grands dieux qu'elle ne coucherait jamais avec Knox) m'a limite paru être un viol tellement elle se fait manipuler dans tous les sens (oui, tu as bien lu) par ce... type. Et je pèse mes mots.
L'idée principale est passée donc je vais arrêter les frais. Si tu cherches l'histoire d'une relation malsaine, un mec ultra-possessif (genre vraiment), une explosion d'hormones tous les 3 lignes et des scènes très clichées agrémentées de "Harper est à moi, tu la blesses je te bute", bravo ! Ce roman est fait pour toi ! Sinon vraiment, passe ton chemin.