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Le Bonheur côté pile



Description ajoutée par Reika 2012-02-17T20:09:32+01:00

Résumé

Ella est mariée à Joe, déjà père de deux enfants. A la mort de celui-ci, deux mauvaises surprises attendent la jeune femme : la trattoria familiale est en faillite, et la mère biologique des enfants resurgit.

Pour Ella, hors de question de laisser "ses petits" à celle qui les a abandonnés. Mais pour revendiquer leur garde, un autre combat l'attend : sauver son unique source de revenus, cette épicerie italienne qui, depuis des générations, fait la fierté de la famille de Joe. Sa solution : révolutionner les traditions... et pour commencer, tout réinventer !

Réussira-t-elle son pari ? Saura-t-elle prouver que la vie, même côté pile, peut encore être belle ?

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Classement en biblio - 177 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par lamiss59283 2012-02-22T09:55:36+01:00

1

J’ai lu récemment que les gens ne deviennent pas heureux ils naissent ainsi. Une simple question d’hérédité, un gène de la joie qui se transmettrait gaiement d’une génération à la suivante. J’ai vécu assez longtemps pour comprendre qu’on ne peut compter que sur soi pour être heureux et suis convaincue que l’argent ne fait pas le bonheur. Pour autant, je n’adhère pas à cette théorie selon laquelle le bonheur ne dépendrait que du patrimoine génétique.

Trois ans durant, j’ai nagé dans le grand bain de la félicité.

Une joie palpable, souvent sonore. Parfois plus sourde – l’odeur lactée du souffle de Zach sur mon cou, les cheveux d’Annie qui s’enroulaient autour de mes doigts quand je les tressais, et Joe qui fredonnait une vieille chanson du groupe Crowded House sous la douche pendant que je me lavais les dents. La buée sur le miroir troublait mon reflet tel un flou artistique visant à estomper les rides, alors que les miennes ne me gênaient pas. Pour avoir des pattes-d’oie, il faut sourire, et je le faisais souvent.

J’ai aussi découvert autre chose avec le recul des ans : le bonheur le plus sincère ne peut pas être si pur, si profond ou si aveugle.

Au petit matin du premier jour de l’été 1999, Joe écarta l’édredon pour m’embrasser sur le front. J’ouvris un œil. Son appareil photo était passé en bandoulière sur son sweat-shirt gris. Son haleine parfumée au dentifrice et au café me chatouilla les narines quand il évoqua en murmurant une virée à Bodega avant d’aller ouvrir le magasin. Du bout des doigts, il suivit les taches de rousseur sur mon bras à l’endroit où, comme il disait toujours, elles épelaient son nom. D’après lui, j’en avais tellement qu’il ne lisait pas seulement Joe, mais Joseph Anthony Capozzi, Jr.

— Hé ! « Junior » est même écrit en entier ! lançat-il ce jour-là avant de me border et d’ajouter : Tu es trop forte

— Gros malin…

Je me rendormais déjà, un sourire aux lèvres. Nous avions passé une nuit merveilleuse. Il chuchota qu’il m’avait laissé un message, puis je l’entendis sortir de la maison et descendre les marches du perron. Au léger grincement de la portière de la camionnette succéda le rugissement du moteur, qui crût et décrut avant de s’évanouir complètement.

Plus tard, les enfants me rejoignirent dans le lit ils riaient aux éclats. Zach tira le drap éclaboussé de soleil au-dessus de sa tête pour en faire une voile. À son habitude, Annie se proclama capitaine. Avant même d’avoir petit-déjeuné, on naviguait sur une étendue inexplorée, surface lisse dissimulant la face rugueuse et accidentée des choses, en route vers une destination inconnue.

On s’accrochait les uns aux autres sur le vieux matelas cabossé alors qu’on n’avait pas encore appris la nouvelle qui allait bouleverser nos vies. On jouait juste au « bateau ».

Ils avaient décidé qu’on affrontait une mer démontée et je me rendis compte que j’avais besoin de café. Un besoin urgent. Je me redressai et observai par-dessus la voile leurs deux chevelures dorées encore aplaties par le sommeil.

— Je pars en barque à l’île de la cuisine, chercher des vivres.

— Mais le péril est trop grand ! s’exclama Annie.

Péril ? Avais-je déjà entendu ce mot à six ans ? Se relevant d’un bond, elle commença à se balancer sur le matelas instable, les mains sur les hanches.

— Tu pourrais disparaître dans les flots !

Je sortis du lit, bien contente d’avoir pensé à enfiler une culotte et le tee-shirt de Joe avant de m’endormir.

— Mais comment, cher capitaine, réussirions-nous à repousser les pirates sans biscuits ?

Ils échangèrent un regard plus éloquent que des mots : des cookies avant le petit déjeuner ? J’avais perdu la tête ou quoi ?

Et pourquoi pas, après tout ? J’étais d’humeur festive. C’était la première matinée sans brume depuis des semaines. Le soleil, dont le retour s’apparentait à celui du fils prodigue, baignait toute la maison d’une douce lumière et dissipait les inquiétudes qui m’accablaient. Je récupérai mon verre d’eau et le message que Joe avait glissé dessous – l’encre avait bavé par endroits. Ella Bella, parti immortaliser cette matinée sur la côte avant l’ouverture. Adoré la nuit dernière. Embrasse A et Z. Passe plus tard si… Ses derniers mots n’étaient plus que des taches délavées.

J’avais adoré cette nuit, moi aussi. Après avoir couché les enfants, nous avions discuté dans la cuisine jusqu’au crépuscule, appuyés contre les plans de travail, lui les mains enfoncées dans les poches, comme toujours. On s’en était tenus à des sujets sans risque : Annie et Zach, le pique-nique prévu pour le dimanche, les rumeurs délirantes qu’il avait entendues en ville. Bref, on avait parlé de tout sauf du magasin. Il avait rejeté sa tête en arrière et ri aux éclats quand j’avais dit… Quoi déjà ? Je ne me souvenais plus.

On s’était disputés l’avant-veille. Après cinquante-neuf ans d’existence, son épicerie, le Marché des Capozzi, connaissait des difficultés. Je voulais que Joe en parle à son père. Lui préférait continuer à faire comme si tout allait bien. Il avait déjà tant de mal à s’avouer la vérité, comment aurait-il pu la dire à son père ? Il lui arrivait pourtant, dans un moment de lucidité, de mentionner une facture impayée ou le retard pris par l’inventaire : aussitôt je paniquais et il se refermait comme une huître. Depuis plusieurs mois, on retombait dans les mêmes ornières. Joe s’était approché et m’avait prise par les épaules :

« Il faut qu’on trouve le moyen d’évoquer les sujets graves. »

J’avais acquiescé et nous étions convenus que, jusqu’à récemment, nous n’avions pas eu vraiment de raisons de le faire. Je nous estimais vernis, Annie, Zach, Joe et moi… Au lieu d’aborder sur-le-champ les questions qui fâchaient, je l’avais embrassé et entraîné vers la chambre.

Tout en enjambant le brontosaure de Zach et un château de Lego en cours de construction, je fis semblant de ramer tant qu’ils pouvaient me voir. Une fois dans la cuisine, je tressai mes cheveux. Notre intérieur ressemblait un peu à ma crinière rousse : une masse colorée en pagaille. Comme nous avions abattu le mur entre la cuisine et le salon, j’apercevais les étagères s’élevant du sol au plafond, pleines à craquer de livres, de plantes ainsi que d’une multitude d’œuvres des enfants – bateau en bâtons d’esquimaux peints en jaune et en violet, vase en argile bancal sur lequel « Bonne fête maman » était inscrit en macaronis (le n de « maman », disparu depuis longtemps, avait laissé son empreinte). De grandes mosaïques de photos en noir et blanc prises par Joe occupaient les rares pans de murs sans rayonnages ou fenêtres. Une immense baie vitrée donnait sur la véranda et notre terrain. À cause du verre ancien, elle était très mal isolée, mais on ne pouvait se résoudre à en changer. On adorait la façon dont les imperfections des vitres déformaient le paysage, le faisaient ondoyer on avait l’impression d’observer à travers un rideau aquatique les hortensias qui mordaient sur la véranda, le champ de lavande qui attendait la récolte, le poulailler et les mûriers, la vieille grange de guingois, construite bien avant que papy Sergio n’achète cette terre dans les années trente, et enfin, de l’autre côté du pré, face aux séquoias et aux chênes, le potager qui faisait notre grande fierté. Un demi-hectare en tout, exposé au soleil pour l’essentiel, sans risque d’inondation, et avec vue sur la rivière quand on se tenait au bon endroit.

Joe et moi adorions entretenir la propriété, et ça se voyait. En revanche, aucun de nous, y compris les enfants, n’avait de don pour le rangement. Je ne m’en faisais pas. Avant, ma maison et ma vie étaient parfaitement rangées mais austères et vides, et ce fatras m’apparaissait comme la contrepartie inévitable d’une vie comblée.

Après avoir sorti le lait, je fixai le mot de Joe sur le frigo. Aujourd’hui encore, je ne sais pas très bien pourquoi je ne l’ai pas jeté… Sans doute voulais-je prolonger le tendre souvenir de la réconciliation de la veille, le Ella Bella…

Je m’appelle Ella Beene, ce qui m’a valu des tas de surnoms au cours de mes trente-cinq années d’existence. Celui dont Joe m’avait affublée a tout de suite été mon préféré. Je ne suis pas une grande beauté – je n’ai rien d’une mocheté, néanmoins mon apparence aurait été très différente si j’avais eu mon mot à dire. C’est vrai, les rousses intriguent. Pourtant, à l’exception de mes cheveux, je suis plutôt quelconque. J’ai la peau claire et des taches de rousseur, certains me trouvent trop grande et trop maigre, et le reste de ma personne n’est pas trop mal – des yeux marron, une bouche correcte – surtout quand je pense à me maquiller. Seulement voilà, Joe aimait l’ensemble, lui. L’intérieur, l’extérieur, l’entre-deux, la totalité de mon mètre soixante-dix-huit. Et puisque je m’étais reconnue dans chacun de mes surnoms à un moment ou à un autre, je me prélassais dans celui-ci. Bella, « belle » en italien. Tel était mon état d’esprit ce samedi-là, tandis que je préparais un café corsé et un petit déjeuner non réglementaire – cookies et lait – pour nos enfants.

— Des cookies ! Moi veux des cookies !

Les marins, qui avaient abandonné le navire, écarquillaient les yeux tout en attrapant les verres de lait sur le plan de travail et les cookies. Notre chienne Callie, croisement entre un husky et un labrador, qui savait se composer une expression des plus désespérées, battit de la queue sur le carrelage jusqu’à ce que je lui donne un biscuit et la laisse sortir. Pendant que je sirotais mon café, j’observai Annie et Zach : ils enfournaient les cookies avec des grognements et se faisaient un plaisir de mettre des miettes partout. Je me serais bien dispensée de cette imitation de 1, rue Sésame.

Comme le soleil nous invitait à sortir, je leur demandai d’aller vite s’habiller, puis enfilai un short avant de remplir la machine de linge. Au moment où je mettais le dernier jean, Zach pénétra en trombe dans la buanderie, nu comme un ver, son pyjama grenouillère à la main.

— C’est moi qui fais ! lança-t-il.

J’étais impressionnée de voir que, contrairement à son habitude, il n’avait pas laissé le vêtement par terre, et je le soulevai pour lui permettre d’ajouter sa contribution. Son derrière froid pressé sur mon bras, je regardai avec lui le tourbillon d’eau savonneuse avaler le tissu en polaire bleue et les camions de pompiers imprimés. Ensuite, je le reposai et écoutai le son de ses pieds mal assurés sur le parquet du couloir. À l’exception des chaussures – il faudrait encore quelques années avant que Zach soit capable de les lacer seul –, les deux enfants avaient gagné en autonomie à une vitesse alarmante. Annie était tout à fait prête pour le CP et Zach pour la maternelle, même si moi, je ne m’étais pas encore faite à l’idée de les laisser partir.

Cette année marquerait un tournant : Joe allait sauver de la faillite l’épicerie, dans sa famille depuis trois générations à l’automne, je reprendrais mon travail de guide pour le Fish and Wildlife Service. Quant à Annie et Zach, ils franchiraient le seuil tous les matins, un peu plus grands chaque jour, avançant à pas de géant sur le chemin de leur enfance, chaque jour un peu plus court.

Lorsque je les avais rencontrés, Annie avait trois ans et Zach six mois. J’avais quitté San Diego pour commencer une nouvelle vie, même si j’ignorais où et quelle forme elle prendrait. Je m’étais arrêtée à Elbow, charmante bourgade qui, comme son nom l’indique, s’était développée sur un coude de la Redwoods River, en Californie du Nord. Cela dit, les autochtones affirmaient en blaguant que la petite ville tirait son nom de la forme coudée des macaronis, tant la communauté italienne était importante. J’avais dans l’idée d’avaler un sandwich et un thé glacé, puis éventuellement d’aller me dégourdir les jambes sur le sentier qui menait à l’étendue sableuse au bord de la rivière, mais un type brun était déjà en train de fermer l’épicerie. Pendant qu’il se débattait avec la serrure, un bébé dans les bras, la fillette qu’il tenait par la main lui avait échappé. Elle s’était jetée dans mes jambes. Sa tête blonde effleurait mes genoux et, en riant, elle avait tendu les bras vers moi.

— Annie ! l’avait interpellée l’homme.

Mince, légèrement débraillé, renfrogné, et pourtant très agréable à regarder.

— Je peux ? avais-je demandé.

Avec un sourire trahissant son soulagement, il avait rétorqué :

— Si ça ne vous dérange pas.

Me déranger ? Je l’avais soulevée du sol et elle s’était mise à jouer avec ma tresse.

— Cette petite n’a pas une once de timidité, avait-il dit.

Tandis qu’elle serrait ses petites jambes potelées autour de ma taille, j’avais respiré l’odeur du shampooing pour bébé, d’herbe coupée, de feu de bois et celle, plus discrète, de boue. Son haleine, qui sentait le jus de raisin, m’avait caressé la joue. Elle avait refermé son petit poing sur mes cheveux mais n’avait pas tiré.

Alertée par les aboiements de Callie, j’aperçus la voiture de police de Frank Civiletti par la fenêtre de la cuisine. Bizarre. Frank savait qu’il ne trouverait pas Joe à la maison. Amis depuis l’école primaire, ils discutaient toujours autour d’un café le matin, à l’épicerie. Je n’avais pas entendu le véhicule arriver ; il remontait déjà lentement l’allée, les pneus crissaient sur le gravier. Encore plus bizarre. Frank roulait toujours vite et mettait sa sirène dès qu’il s’engageait dans notre chemin pour le plus grand plaisir de Zach et d’Annie. Je consultai l’heure sur l’écran du micro-ondes : 8 h 53. Déjà ? Je soulevai le combiné du téléphone, puis le reposai aussitôt. Joe n’avait pas appelé en arrivant au magasin. Joe appelait systématiquement.

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Commentaires récents

Argent

Retrouvé par hasard dans une partie reculée de ma bibliothèque (le meuble, hein, pas la médiathèque) ("tiens, mais quand est-ce que je l'ai acheté, celui-là ?"...), j'ai plutôt été agréablement surprise de ma découverte.

Contrairement à ce que laisse croire la couverture, ce n'est pas une lecture légère, et malgré ce qu'on peut lire du résumé, on ne tombe pas non plus dans le pathos. Je dirai surtout qu'il sonne juste. Le ton, l'histoire, l'aspect humain de l'ensemble de l'histoire et des personnages, tout, absolument tout dans ce livre sonne juste.

L'histoire et l'enchaînement des évènements sont presque prétextes à aborder des sujets plus profonds : la notion de parentalité, d'héritage familial, le deuil sous toutes ses facettes, la vie qui continue -malgré tout- avec ses bons et mauvais côté.

Pas une fois l'autrice ne juge ses personnages. Et par petites touches, mais bien senties, elle nous fait nous mettre à la place de chacun, bien au-delà de l'empathie.

Pour un livre oublié au fond d'un placard, une belle découverte, un roman très doux, très humain. une sacrément bonne surprise.

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Bronze

Une histoire très touchante qui expose un problème qui est je pense plus fréquent que l'on ne le pense. Le livre se lit bien, amène certaines réflexions, ce qui fait que ce livre restera.

Joe et Ella forment un couple heureux avec deux enfants. La mère naturelle Paige est partie il y a trois ans, alors que Zachosaure n'avait qu'un mois.Ils forment une famille recomposée heureuse.

Mais tout bascule, le jour où Joe meurt. Il laisse derrière lui une boutique endettée, une femme et des enfants en plein chagrin. Mais ce n'est pas tout. Paige décide qu'il est temps de récupérer ses enfants.

Une histoire qui montre que la vie n'est pas un long fleuve tranquille. La perte d'un être cher, les secrets de famille, les batailles judiciaires... Autant d'épreuves qu'Ella va devoir surmonter.

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Argent

C’est un livre facile à lire avec des personnages attachants. Je ne l’ai trouver extraordinaire, ni mauvais. Il est plaisant à lire mais sans plus du moins c’est mon avis.

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Commentaire ajouté par SARA81 2019-08-23T09:37:57+02:00
Argent

Ella,est remariée à un homme ayant des enfants d'une précédente union.

Elle voit sa vie bouleversée suite à son décès....En effet la précédente épouse veut récupérer la garde de ses deux enfants....Or rien n'a été prévu en cas de disparition du père....

Les liens du sang vont il prévaloir sur les liens du coeur?

Ella va devoir se débrouiller seule, remettre à flot l'épicerie familiale, qui croule sous les dettes et se battre pour ne pas sombrer.

Le sujet est intéressant mais le livre a peu d'action et je le trouve peu addictif.......Toutefois les sentiments de Ella sont très bien décrits et l'analyse de son personnage parfaite.....

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Commentaire ajouté par keisha50 2019-08-12T13:44:58+02:00
Lu aussi

Très belle histoire ,un livre qui se lit facilement. Seul bémol la fin du livre je trouve dommage d'avoir on va dire raconter un paragraphe de l'histoire.

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Commentaire ajouté par lila11 2019-05-14T09:24:07+02:00
Or

Rien de novateur pour ce livre mais une intrigue avec beaucoup d'émotion, des personnages attachants et une fin assez inattendue.

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Argent

pour un premier livre, c'est pas mal... j'ai trouvé l'histoire de la "trattoria" quasi inutile... Après c'est une affaire de goût, j'ai aimée mais sans plus... Dommage :(

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Bronze

Petit moment de détente en lisant ce livre mais bof pas extraoridinaire

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Pas apprécié

Après avoir lutté pendant les 2/3 du livre, j'ai finalement abandonné ma lectur

J'ai trouvé l'histoire ennuyeuse, sans suspense et cliché au possible avec la mère qui débarque mais tout est bien qui finit bien...

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Commentaire ajouté par paultuc 2017-03-26T20:49:17+02:00
Or

C'est un très bon moment de lecture même si en prenant ce livre je ne m'attendais pas a cette histoire. Je trouve que l'écriture est parfaite .

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Dates de sortie

Le Bonheur côté pile

  • France : 2013-04-18 - Poche (Français)
  • USA : 2012-01-12 (English)

Activité récente

Titres alternatifs

  • The underside of joy - Anglais

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Note globale 7.51 / 10

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