Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Janvier 1916. Dans le village de Val-Jalbert sur les bords du lac Saint-Jean au cœur de la forêt québécoise, la stupéfaction est à son comble; Une religieuse a découvert un bébé abandonné dans un ballot de fourrures sur le perron enneigé du couvent-école.
D'où vient ce poupon aux yeux si bleus, qui porte le nom de Marie-Hermine, comme en témoigne une courte lettre cachée dans ses vêtements ?
L'enfant sera élevée et instruite par les sœurs du Bon-Conseil et souvent confiée à une jeune mère des environs, Elisabeth Marois, désespérée de ne pas avoir de fille. Dotée d'une voix exceptionnelle, au fil des années, l'orpheline gagnera le surnom de "rossignol des neiges"...
L'homme observait l'imposante bâtisse qui abritait le couvent-école placé sous le patronage de saint Georges. Il fixait d'un air hagard la croix en fer surplombant un clocheton gracile. Sous sa toque de laine brune, l'inconnu semblait indifférent au vent froid, ainsi qu'à la neige lourde et humide qui trempait ses bottes. Plusieurs fois, une silhouette de religieuse, en robe noire et cornette blanche, s'était approchée d'une des fenêtres brillamment éclairées, mais elle ne pouvait pas le voir. Il faisait bien trop sombre sous le couvert des sapins où l'étranger s'était mis à l'abri des regards.
Il n'était pas d'ici, mais il aurait bien aimé appartenir à ce village. Les gens de Val-Jalbert disposaient de maisons confortables. On racontait même qu'ils bénéficiaient d'un chauffage moderne et de l'électricité. La belle structure du couvent ne démentait pas ces rumeurs, ni les lampes qui jetaient des halos jaunes dans la rue Saint-Georges.
« Il y en a, des vitres, de la planche neuve, et le toit, c'est du bon ouvrage, pensa-t-il. Il s'en dépense, des sous, dans le coin. »
De chaudes odeurs de sucre ou de viande rôtie, renforcées par l'air glacé, venaient le torturer. Le ventre creux, il ferma les yeux un court instant. Il imagina de belles tartes brunes, nappées de sirop d'érable, des volailles luisantes de graisse.
« Ce n'est pas pour moi, tout ça ! » se dit-il très bas. Il jeta un regard inquiet vers les maisons alignées plus loin, le long d'une rue interminable changée en une étroite piste glacée, tracée par les nombreux véhicules qui devaient circuler du matin au soir.
De là où il se tenait, l'homme était tout proche du perron du couvent, flanqué de quatre colonnes en beau bois et protégé par l'avancée d'un grand balcon. Maintenant, il se balançait d'un pied sur l'autre, serrant contre lui un ballot encombrant. Cela avait tout l'air d'un paquet de fourrures. Il n'était pas rare de voir passer à Val-Jalbert des trappeurs qui proposaient des peaux de bêtes aux gens.
Mais ces gars-là ne berçaient jamais leur marchandise.
Riche en rebondissement, dans ce livre, on s'attache très facilement à notre petite héroïne Marie-Hermine qui avec le temps grandit. J'aime énormément ce livre, d'autant plus que j'ai eu la chance de visiter le village de Val-Jalbert, au Canada, qui est actuellement un village en ruine. Village très mignon, où des acteurs jouent très bien, entre autre dans le couvent-école, on peut voir des actrices jouées les soeurs et les élèves. Ce livre me parle donc beaucoup.
J'ai lu ce bouquin il y a plein de rebondissement et J'ai aime suivre notre Marie Hermine découvrir son village et son histoire.Je ne pensais pas qu'il y aurait une suite quand j'ai fini le bouquin j'ai tape le nom de l'auteur sur internet oh grande surprise il y a une suite appelle Le Rossignol de Val Jalbert.
Encore un ouvrage de Bernadette Dupuis que j'apprécie beaucoup. Connaitre la vie au Canada dans le début du siècle dernier. C'est romancée certes mais le fond est vrai et ensuite on se prend au jeux de suivre l'histoire de vie de Marie Hermine le Rossignol et de ce village Fantôme de Val- Jalbert. Je suis entrain d'apprécier le second tome et je vais commander le troisième.
Le premier tome de cette saga est tout simplement superbe. L'histoire n'est pas toujours aisée pour notre héroïne, Marie-Hermine. Elle se déroule au Canada en 1916 et est empreinte d'amour, de douceur, de pardon, et met en avant des paysages magnifiques. Marie-Bernadette Dupuy a le don de décrire les choses d'une manière qui m'emporte à chaque page.
Il m'a vraiment surpris la couverture avait l'air assez ennuyeuse mais j'étais en train de le lire je ne regrette rien.J'aime beaucoup ce personnage qui malgré son don de la nature n'hésite pas à refuser de chanter. Je suis un peu dégoûté de ne pas avoir lu la réaction de Joseph s'il était heureux pour elle au final ou totalement énervé c'est un personnage assez violent.Tous les personnages se démarquent avec une personnalité très différente et j'apprécie cela et l'histoire bien que banal se démarque avec ses personnages.Merci madame Dupuy!
Je n'ai pas encore pu terminer ce roman mais j'en ai assez lu pour donner un avis. Cela fait un moment que je voulais lire un roman de cette autrice et j'ai été assez surprise. Même si ce n'est pas le genre de roman que j'ai l'habitude de lire, j'ai été immergée dans cet univers.
Les décors comme les personnages sont très bien décrits et ont de nombreuses références. J'ai hâte de le terminer et de continuer cette trilogie !
Livre très bien écrit où on apprend beaucoup de choses sur le village de Val-Jalbert et sur le Canada. Le personnage de Marie-Hermine me plaît beaucoup.
J'ai suivi avec intérêt les aventures d'Hermine. C'est un roman cent pour cent détente. Le petit plus c'est qu'il se déroule au Canada, et ça, j'aime bien.
C'est un peu prévisible et parfois un tout petit peu mièvre mais l'auteure a un réel talent de conteuse et je lirai la suite.
Résumé
Janvier 1916. Dans le village de Val-Jalbert sur les bords du lac Saint-Jean au cœur de la forêt québécoise, la stupéfaction est à son comble; Une religieuse a découvert un bébé abandonné dans un ballot de fourrures sur le perron enneigé du couvent-école.
D'où vient ce poupon aux yeux si bleus, qui porte le nom de Marie-Hermine, comme en témoigne une courte lettre cachée dans ses vêtements ?
L'enfant sera élevée et instruite par les sœurs du Bon-Conseil et souvent confiée à une jeune mère des environs, Elisabeth Marois, désespérée de ne pas avoir de fille. Dotée d'une voix exceptionnelle, au fil des années, l'orpheline gagnera le surnom de "rossignol des neiges"...
Afficher en entier