Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Même que sa boîte noire - pour ce qui est de ses souvenirs de gosse entre six et seize ans - est pleine de choses drôles, émouvantes, débordantes d'affection et de joie. Y a-t-il un livre sur l'enfance qui sonne plus vrai que celui-ci ? (Bernard Pivot, Lire) Enfin, il y a, tout au long de ces pages, le ton Cavanna. Les lecteurs de Charlie Hebdo le reconnaîtront, bien sûr, mais ils seront peut-être surpris d'y découvrir tant de tendresse. Avec le contrepoint d'une musique mélancolique aux histoires les plus hilarantes, et des échos burlesques aux histoires les plus poignantes. (Rosa Laisné, L'Express) Cavanna, avec son ton familier de baratineur, nous dépeint ses jeunes années d'une façon décousue, se rappelant en vrac les meilleurs moments de son existence d'avant seize ans, à une époque plutôt joyeuse malgré la guerre qui pointe à l'horizon
Tous les jeudis matin, jour sans classe, j'allais avec un cabas à la bibliothèque municipale...
On avait droit à deux livres à emporter par personne inscrite, alors j'avais inscrit papa et maman, ça me faisait, comptez avec moi, six bouquins à dévorer par semaine.
Encore une fois, je vais être à contre-courant de la majorité des lecteurs qui ont adoré ce livre. Personnellement il m'aura fallu une bonne semaine pour en venir à bout. Ce n'est pas qu'il soit mauvais mais je suis très peu disponible pour la lecture en ce moment (vivement les vacances que je me rattrape).
Le style est intéressant mais je n'ai pas accroché plus que ça au parlé-phrasé surtout quand c'est du patois italien, je ne suis pas parvenue à m'attacher au personnage. J'avais l'impression de lire un recueil de nouvelles, il y a beaucoup de tendresse dans les souvenirs qu'évoque l'auteur, mais c'est un peu le foutoir chronologiquement, du coup il m'a été difficile de suivre l'évolution de François.
J'ai quand même apprécié qu'il me raconte la façon de vivre de ce temps-là, et je partage totalement son amour de la lecture.
Ce roman autobiographique, lu une première fois il y a bien longtemps, m'a profondément marquée.
J'y ai découvert une nouvelle façon d'assembler les mots, un style très personnel à forte puissance évocatrice. J'ai découvert un grand écrivain.
Cavanna a su faire ressurgir son enfance avec une justesse sidérante. La retranscription de l'accent italien est absolument jubilatoire... et attendrissante. Oui, beaucoup de tendresse dans cette autobiographie et surtout un hymne d'amour à son père dont il reparlera encore et toujours...
Je considère cette lecture comme une rencontre avec un auteur, et plus encore, une personnalité, et le début d'une grande aventure littéraire.
C'est un très beau roman. Au début, je voulais le lire surtout par curiosité, on en avait étudié un extrait au collège. Mais ça paraissait trop oralisé, ce que je n'aime pas beaucoup. Et en fait, non. C'est oralisé mais d'une façon telle, que c'est un grand texte.
J'aime beaucoup le façon dont il raconte son enfance, ça sonne si vrai, il nous livre des détails extrêmement personnels.
"Les Ritals", ou le livre qui m'a fait découvrir Cavanna. J'étais en fac, et je devais pondre un dossier dessus. Il est d'ailleurs en quelque sorte dommage de devoir analyser froidement un livre aussi vivant que celui-là. Ce sont là des souvenirs d'enfance qui semblent encore frais dans la mémoire de leur narrateur, qui les relate avec sa gouaille caractéristique. Il y a tant d'humour, tant de tendresse sans jamais toucher à la mièvrerie, tant de spontanéité. On a l'impression de partager ces souvenirs avec l'auteur. Cavanna démontre ici au mieux ce que peut être une littérature organique, vivante, authentique. La vie grouille parmi les lignes comme ça grouille d'animation dans la rue Sainte Anne si chère à son enfance. Un livre touchant.
Résumé
Nouvelle Description
Même que sa boîte noire - pour ce qui est de ses souvenirs de gosse entre six et seize ans - est pleine de choses drôles, émouvantes, débordantes d'affection et de joie. Y a-t-il un livre sur l'enfance qui sonne plus vrai que celui-ci ? (Bernard Pivot, Lire) Enfin, il y a, tout au long de ces pages, le ton Cavanna. Les lecteurs de Charlie Hebdo le reconnaîtront, bien sûr, mais ils seront peut-être surpris d'y découvrir tant de tendresse. Avec le contrepoint d'une musique mélancolique aux histoires les plus hilarantes, et des échos burlesques aux histoires les plus poignantes. (Rosa Laisné, L'Express) Cavanna, avec son ton familier de baratineur, nous dépeint ses jeunes années d'une façon décousue, se rappelant en vrac les meilleurs moments de son existence d'avant seize ans, à une époque plutôt joyeuse malgré la guerre qui pointe à l'horizon
Afficher en entier