Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Une longue allée serpente entre des arbres centenaires, la brume s'accroche aux branches et, tout au bout, niché entre la mer et les bois sombres, un château splendide :
Manderley, le triomphe de Rébecca, la première Mme de Winter, belle, troublante, admirée de tous.
Un an après sa mort, le charme noir de Rébecca tient encore en son pouvoir le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse de Maxim de Winter, jeune et timide, pourra-t-elle échapper à cette ombre inquiétante, à son souvenir obsédant qui menacent jour après,jour de plonger Manderley dans les ténèbres ?
Le chef-doeuvre de Daphné du Maurier, immortalisé au cinéma par Alfred Hitchcock, a fasciné depuis sa parution plus de trente millions de lecteurs à travers le monde. Comme Les Hauts de Hurlevent ou Jane Evre, Rebecca est devenu un des plus grands mythes de la littérature mondiale.
Il ne m'appartenait pas du tout, il appartenait à Rebecca. Elle était toujours dans la maison, comme Mrs Danvers l'avait dit, elle était dans cette chambre de l'aile ouest, elle était dans la bibliothèque, dans le petit salon, dans la galerie au dessus du hall. Même dans le petit vestiaire où pendait son imperméable. Et dans le jardin, et dans les bois, et dans la maisonnette en pierre sur la plage. Ses pas résonnaient dans le corridor, son parfum traînait dans l'escalier. Les domestiques continuaient à suivre ses ordres, les plats que nous mangions étaient les plats qu'elle aimait. Ses fleurs préférées remplissaient les chambres. Rebecca était toujours Mme de Winter. Je n'avais rien à faire ici.
Si j'ai adoré ce roman, c'est d'abord pour la qualité exceptionnelle de l'écriture. Je n'avais jamais lu de livres de Daphné du Maurier, mais en tout cas, j'adhère totalement !
Les personnages principaux sont peu nombreux, et on peut facilement s'identifier à la narratrice, qui est très attachante, et réaliste dans ses pensées, ses actions. Les descriptions magnifiques donnent en effet envie de se retrouver à Manderley.
Et puis, il y a l'histoire, et ce rebondissement tellement inattendu qui donne un tel relief à l'histoire !
Un très bon livre que j'avais déjà lu et que j'ai pris plaisir à redécouvrir. Je trouve ce roman toujours aussi passionnant. Ce mystère autour de cet homme et de son domaine et ses secrets non dits en font un livre qu'on a vite envie de finir. Enfin de compte une belle histoire d'amour.
La lecture du livre de Tatiana de Rosnay m'a donné envie de lire le fameux "Rebecca"....Roman policier bien plus qu'histoire d'amour - et quel roman policier ! -, le chef-d’œuvre de Daphné du Maurier est un récit envoûtant superbement construit et plein de suspense. L'enquête y dévoile progressivement le personnage de Rebecca, dont le fantôme hante le texte et au-delà, et les motivations ambiguës, le passé insoupçonné des autres personnages.
C'est aussi l'occasion pour l'auteur de développer le thème de l'attachement aux lieux et aux souvenirs et de l'empreinte qu'ils laissent sur nous.
Ce roman nous promène dans une atmosphère lugubre du début à la fin. La morte est partout. La nouvelle épouse ne trouve pas sa place et le bonheur est plus qu'incertain.
Je vais être totalement honnête si mon professeur ne nous aurait pas mis ce livre à lire avec de autres choix je ne l'aurais probablement jamais lu. Rien d'avec le résumé j'avais envie de le lire puis je l'ai commencé et je l'ai trouvé ennuyant pendant je pense le premier tier du livre. Puis il y a eu les paroles de Ben et c'est là que j'ai commencé à trouver le livre intéressant et au final après ces paroles j'ai lu hyper naturellement.
Je recommande fortement ce livre même si c'est pas le genre de livre que vous pouvez lire habituellement.
C'est en lisant La biographie de Daphné du Mourier par Tatiana de Rosnay, que j'ai eu envie de plonger dans son univers. Oeuvre magistrale par excellence, captivant le lecteur de bout en bout ; une plongée en psychologie profonde dans la cadre majestueux et inquiétant de Manderley. Les personnages principaux sont tous fouillés, tous vous interrogeront sur ce qu'ils sont en réalité, tous vous emporteront sur des chemins sinueux, là où il est parfois périlleux de mettre les pieds, là où il est irrésistiblement attirant d'en apprendre davantage. Rebecca, vous poursuivra longtemps, très longtemps dans votre vie et l'on comprendra alors aisément que la littérature fait naître parfois des chefs d’œuvres qui nous apportent un supplément de souffle, un supplément de beauté : un supplément à soi.
Une écritude élégante et une intrigue très bien amenée. Les personnages sont ambigus et complexes. Le style de Daphné du Maurrier arrive, dans Rebecca, à nous tenir en haleine jusqu'à la fin du récit ... Le dénouement est si beau et si inattendu que la lecture de ce livre reste dans ma mémoire comme l'un de mes plus merveilleuses lecture de jeunesse... A lire absolument pour celle (ou ceux ?) qui ont apprécié les Hauts de Hurle de vent d'Emilie Brontë <; Je vais certainement lire d'autres livres de Daphné Du Maurier.
Rebecca est un classique du genre qu'on pourrait ne plus présenter. Adapté plus d'une fois en film, c'est une de ces histoires dont a entendu parlé à un moment ou à un autre, tant il y a d'autres oeuvres qui s'en sont inspirés. Rebecca, d'une certaine façon, fait partie de la pop culture. En tout cas, de la mienne.
Et c'est parce que j'avais l'impression de connaître l'histoire de Rebecca que j'ai mis tant de temps à la lire. Mes craintes de voir venir la fin ont en fait été mises de côté bien vite. Oui, certains événements étaient sus, prévisibles. Après tout, Daphné du Maurier s'est inspiré de Jane Eyre...
Mais ça n'est pas tant l'intrigue qui m'a happé.
C'est plutôt cette héroïne, cette toute jeune femme dont on ignore même le nom, qui nous livre ses pensées, ses états d'âmes, ses insécurités, toutes ses insécurités et ses doutes qui la dévorent littéralement, qui l'emprisonnent tant elle est persuadée de ne pas être à la hauteur de la sublime Rebecca, première épouse de son mari, riche propriétaire terrien qui ramène sa petite femme dans son imposant et mystérieux manoir. A cette jeune femme de trouver ses marques, seule, de subir les humeurs de son époux, de supporter les regards de amis de monsieur (et de feu madame...) et d'affronter le fantôme omniprésent de Rebecca...
Cette héroïne pourrait faire pale figure comparé à la figure flamboyante de la morte. Car malgré son décès, Rebecca est partout. Mais c'est pourtant elle qui n'arrive pas à la cheville de sa remplaçante. Rebecca est une idée, un fantasme, un cauchemar pourrait-on même dire. Quand l'héroïne, elle, est un être de chair et de sang, si réaliste, que j'avais envie de la prendre dans mes bras tout du long. Qui n'a jamais ressentit ce que cette pauvre créature a pu vivre, à souffrir de comparaisons impossibles et par trop douloureuses, à croire que chaque regard jauge et méprise, à se persuader de ne jamais être à la hauteur.
Ce n'est pas pour Rebecca qu'il faut lire ce livre, mais pour son héroïne anonyme qui parvient à se dépasser, à s'affronter elle même, pour se rendre compte qu'elle a sa place dans ce monde, et qu'elle prend toute la place dans cette histoire
Un classique, que j'ai relu il y a peu. Le style est magnifique. Une belle plume qui donne envie de feuilleter les pages. Meme si
l' histoire a quelque peu vielli. Mais elle a pris de la patine. Celle d'une epoque revolu mais splendide. Un bon roman.
Considéré comme un classique du roman policier, cet aspect apparaît surtout dans le dernier quart, ce qui précède étant consacré plutôt à l'histoire de ce couple empreinte de situations étranges voire malaisantes, ainsi que de l'éternelle interrogation sur ce qu'est l'amour et la représentation que chacun s'en fait.
Le récit date un peu mais si on le recontextualise, il apparaît sans doute original.
Dans le dernier quart de l'œuvre, le rythme s'accélère, l'ambiance se tend et le suspense gagne en intensité.
C'est par ce roman que je découvre la plume de l'autrice, peut-être aurais-je l'occasion de poursuivre, à voir.
Rebecca... ce fantôme d'un temps résolu qui nous entoure, nous angoisse, nous étouffe. Qu'on ne connait pas et qui lui nous connait, nous observe, et calcule avec minutie nos erreurs et nos bienfaits.
J'avais très peur de commencer cet ouvrage de Daphné du Maurier. Et pour cause : j'avais lu "Seule en sa demeure", un livre qui nous racontait l'histoire d'une jeune femme, mariée à un homme plus âgé, qui se retrouvait dans une grande demeure aux allures de château hanté... Bref, vous l'aurez sans doute compris, le résumé était très similaire à celui de Rebecca, malheureusement j'avais détesté l'ouvrage.
Avec méfiance, j'ai donc commencé ce roman incontournable. Dès les premières pages, une première chose m'a marquée : la richesse du vocabulaire. Durant le premier chapitre, pas moyen de terminer une page sans me saisir d'un dictionnaire. Pourtant, cela se tasse et le vocabulaire finit par devenir, non pas accessible, mais peut-être simplement moins éclectique.
Mais qu'en est-il de l'histoire ? De l'intrigue ? De la plume ? Est-ce un "page turner" ? Oui, les pages se tournent à une vitesse folle, le suspense et les questions nous tiennent en otage et nous poussent à continuer le roman. On veut savoir, et surtout comprendre, Maxim, Mme Danvers, tous ces personnages mystérieux qui ne laissent rien au hasard. Pourtant, les évènements n'ont rien d'extraordinaire, mais l'autrice parvient à donner le ton et à mettre en place une ambiance lourde et magnétique.
Finalement, le seul personnage qui m'a bien dérangée est la nouvelle Mme de Winter. Gauche, gênée, stressée, plutôt insupportable, j'avais souvent envie de la secouer. Évidemment, son comportement sert l'histoire et, sans elle, pas de mythe peut-être. Malgré tout, elle est sans doute le seul point négatif que je trouve à ce roman.
À peine les dernières pages étaient-elles tournées que j'avais déjà envie de me replonger dans le prologue pour mieux comprendre et saisir toute l'ampleur du récit.
Résumé
Une longue allée serpente entre des arbres centenaires, la brume s'accroche aux branches et, tout au bout, niché entre la mer et les bois sombres, un château splendide :
Manderley, le triomphe de Rébecca, la première Mme de Winter, belle, troublante, admirée de tous.
Un an après sa mort, le charme noir de Rébecca tient encore en son pouvoir le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse de Maxim de Winter, jeune et timide, pourra-t-elle échapper à cette ombre inquiétante, à son souvenir obsédant qui menacent jour après,jour de plonger Manderley dans les ténèbres ?
Le chef-doeuvre de Daphné du Maurier, immortalisé au cinéma par Alfred Hitchcock, a fasciné depuis sa parution plus de trente millions de lecteurs à travers le monde. Comme Les Hauts de Hurlevent ou Jane Evre, Rebecca est devenu un des plus grands mythes de la littérature mondiale.
Afficher en entier