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Passions londoniennes, Tome 2 : Jay



Description ajoutée par Oceanys 2020-05-07T11:06:58+02:00

Résumé

Londres, 1819.

Jay Stenson a tout bâti de ses mains. Né dans la rue, au cœur des quartiers londoniens les plus pauvres, il a su s’élever dans la société à la seule force du poignet et finir à la tête d’un véritable empire industriel.

Pourtant, il est une chose que son argent, jusqu’à présent, n’a pas su acheter : le bonheur de sa sœur, la très jeune Elisa. Prêt à tout pour l’intégrer (malgré elle s’il le faut) aux milieux huppés qu’il fréquente désormais et l’aider à se lancer dans la vie, il décide de faire appel à une jeune aristocrate. La mission de cette dernière : éduquer Elisa et en faire une lady. Une vraie. À son image.

Mais la belle Amanda Keat, elle aussi, a de graves problèmes à résoudre. Quant à ses vues sur le monde, elles sont bien loin de celles de ce roturier de Stenson… dont le franc-parler, les manières abruptes et le manque total de tact l’agacent au plus haut point…

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Classement en biblio - 35 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par anonyme 2020-12-03T15:31:17+01:00

Elle aimait cet homme. Elle l’aimait tel qu’il était, et tel qu’il s’assumait pleinement.

Elle aimait sa force.

Elle aimait sa volonté.

Elle aimait son altruisme.

Elle aimait son intelligence.

Elle aimait sa beauté – rude, mâle, authentique.

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Commentaires récents

Or

Voici mon petit résumé dans le cadre du #challenge 2024

Mai : Mariage arrangé

Romance Historique de @Thalie Perrot et sarah_m.carr soutenu@la_guilde_des_histo

Ce que j'aime dans cette série "passions londoniennes " c'est que les livres sont beaucoup basé sur les ressentis masculin.

J'adore voir leurs doutes,passions,leur amour ...

Ils se remettent en question.

Ce héros qui vibre d'un instinct protecteur d'ainé qui transparaît dans chacunes de ses paroles.

Un régal.

Un bonbon en bouche.

Que dire de cette héroïne douce en ayant du répondant.

Que dire aussi des couleurs qu'on a dans les yeux

Les odeurs qui circulent dans notre nez jusqu'à nous donnez à avoir faim.

Donc je ne dirais rien mais surtout ne passez pas à côté de cette sublime série qui transporte un wagon d'amour.

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Or

Ah là là que je l’adore ce trio de londoniens ! J’ai replongé sans aucune hésitation dans le monde très policé et aristocrate d’Aurélie Depraz. J’avais beaucoup aimé Alexander dans le 1er tome et on y rencontrait déjà Jay, leur ami un peu particulier. Il m’intriguait fortement et j’ai eu un coup de foudre pour ce personnage !

Jay Stenson n’est pas un nanti comme les autres. Lui n’est pas né avec un titre, une fortune ou un nom qui lui ouvre les portes. Non, Jay est un roturier. Pire, il vient des bas-fonds de l’East End ! Et son nom, c’est à la force de ses poings et grâce à son intelligence et sa curiosité pour les technologies, qu’il l’impose. Il a réussi à infiltrer cette haute sphère uniquement grâce à ses efforts. Seulement tout chez Jay trahit ses origines. Et si ça le laisse de marbre ou qu’il s’en amuse, ça ferme en revanche bien des portes à sa jeune soeur… C’est là qu’intervient la jeune Lady Amanda Keat, chargée soudainement de l’éducation d’Elisa.

J’ai vraiment adoré Jay Stenson. C’est un homme entier, fier de ce qu’il a accompli et qui ne compte pas oublier d’où il vient. Mieux encore, cet homme défend des valeurs nobles et oeuvre pour ses anciens semblables, au grand dam de beaucoup. Et ce trio amical qu’il forme avec Alexander et James me fait toujours autant sourire ! Des manières brutes et sans aucun doute très rustres, un corps qui trahit son passé de docker et la misère qu’il a un jour connue, il est à l’opposé de la délicatesse et la pudeur qui sied à une Lady. Et Amanda est en une vraie de vraie ! J’ai beaucoup aimé cette femme et la subtilité avec laquelle elle remet Jay à sa place. Lady oui, mais pas un caractère si docile… Leur duo est un régal, à base d’affrontements aux dialogues sarcastiques, de sous-entendus piquants.

Aurélie Depraz nous fait faire un incroyable bond dans le temps. Une immersion dans le Londres du XIXe, pétri de principes pompeux et parfois ridicules à nos yeux contemporains. Mais quel régal d’apprendre avec Elisa l’art de l’éventail ou de décrypter le langage des fleurs ! J’ai trouvé ces passages fascinants.

J’ai tellement aimé ce roman que je pense pouvoir en parler longtemps. Et je ne vous clame plus mon amour pour les romances historiques bien documentées. Ici, j’ai trouvé un équilibre entre intrigue, romance et sensualité, un cocktail qui me fait vibrer. La plume enlevée et riche de l’autrice a achevé de me convaincre que ses romans sont de petits diamants à découvrir !

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Diamant

Je tiens particulièrement à remercier l'auteure qui m'a permis de découvrir ses livres et à chaque lecture ce sont des coup de cœurs, tellement j'adore sa plume si addictive.

L'histoire se déroule en 1819 de suite après les événements du livre précédent.

On y retrouve ici Jay qui à tout construit de ses propres mains, né dans la rue dans les quartiers de Londres les plus pauvres il a su prendre de la hauteur dans cette société du XIX ème siècle et grâce à la force de ses mains, il dirige dorénavant un empire industriel.

Sauf qu'avec tout l'argent entre les mains il y a bien quelque chose qu'il n'a jamais pu faire, rendre heureuse sa sœur Elisa. Pour l'aider à s'intégrer dans le monde des riches et fréquenter les mêmes endroits que lui, il va faire appel à une aristocrate pour éduquer, apprendre les bonnes manières et en faire une lady. Sauf que la personne qui l'aide pour cela à elle aussi des problèmes à régler, il s'agit d'Amanda Keat. Quant à Jay avec son franc parler, ses manières brutes, son manque de tact l'agace en plus haut point.

Ce que j'ai aimé en lisant ce livre :

- la couverture comme toutes celles des livres de l'auteure qui est juste magnifique, elles donnent toutes envie de dévorer les un après les autres tous ses livres;

- les personnages toujours aussi attachants;

- la plume de l'auteure toujours aussi addictive;

- le suspens, les rebondissements qui font que chaque livres me tiennent en haleine du début à la fin.

Si vous aimez les classes sociales du XIX ème siècle qui se rencontrent, s'attirent, se repoussent se déroulant en pleine révolution industrielle c'est cette série qu'il faut lire, tellement hâte de lire la suite.

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Argent

Second tome centré sur Jay qui a su se battre et se sortir de la misère.

Mais il n'oublie pas d'où il vient et ce qu'il a vécu.

Il souhaite apporter à sa sœur casanière, une éducation pour entrer en société.

Amanda lui apportera tous les conseils.

A travers elle l'autrice dresse toute une check liste du comportement à avoir et des connaissances.

Dans ce tome elle y dévoilera également les conditions de vie dans les bas-fonds de Londres et les agissements sans scrupules de certains.

La romance est visible par l'attitude des personnages même si par rapport aux convenances tout se fera fortuitement.

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Or

Il n'y a pas photo, j'ai adoré ce tome, et l'ai même préféré au premier !

Déjà par son personnage principal, Jay. Énigmatique ami d'Alexander dans le tome 1, il me tardait de faire sa connaissance et... Quel héros ! Aurélie Depraz maîtrise ses personnages et celui-ci est, vraiment, super plaisant à découvrir.

Né très pauvre, devenu très riche à la sueur de son front, l'auteure lui a construit une belle ascension et... un sacré caractère ! Ce précaire équilibre de "ancien pauvre à nouveau riche", faisant un "f*ck royal" à toute cette bonne société, le rend enrichissant et imprévisible.

Et quant à sa romance avec la belle Amanda... Cette fraîche Lady, au garde-à-vous de la bienséance face à ce fougueux nouveau riche, qui se fout des bonnes manières. La douceur féminine face à la brute masculine, dont l'attirance mutuelle fera beaucoup d'étincelles...

J'ai adoré ces intrigues qui s'emmêlent entre eux, qu'on devine, avec malice, comme "serveuses" à la romance et, en plus, finement mis en scène par l'auteure.

Hélas, même si j'ai commencé à m'y faire, il y a encore beaucoup de descriptions historiques à rallonge, parfois intégrées avec maladresses, mais j'avoue, j'avoue... Celles sur "comment être une bonne Lady" m'ont fascinée. A la fin du livre, j'étais prête à en devenir une, hihi ! x)

A présent, je me plonge avec excitation dans le dernier tome, James.

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Argent

Ce second opus des "Passions londoniennes" se concentre sur le personnage de Jay. Nous avions pu le découvrir lors du 1er tome de la trilogie. Homme à l'appétit insatiable, le lecteur apprend qu'il était né à Whitechapel et, grâce au travail, à la chance et a tant d'autres choses, a réussi à s'elever dans la société.

Jay m'avait intriguée dans le 1er roman.

Et jai beaucoup aimé le découvrir dans ce livre éponyme. Son personnage et sa force de caractère m'ont marquée. La puissance de son amour pour sa sœur m'a touchée. En bref, l'homme m'a émue.

Ici, Jay demande à une jeune veuve, Amanda, de venir donner des cours à sa sœur afin de l'aider à pouvoir se présenter en société. Car, comme nous Le savons, cette dernière est impitoyable.

Si on devine immédiatement leur histoire d'amour, jai bien aimé les voir se tourner autour. Au début,rien n'était gagné. Mais Jay et Amanda n'avaient pas dis leur dernier mot...

Dans ce roman, Aurelie nous plonge au coeur de Londres, dans les beaux quartiers, à l'époque victorienne. Mais... pas que. A travers les yeux de Jay et d'Amanda, nous découvrons aussi les bas quartiers. La pauvreté criante. Les malfrats.

Et cela change. On oublie trop souvent cette triste réalité et on a plus tendance à se concentrer sur les robes, les bals et autres événements de la Saison.

J'ai aimé ce voyage dans le temps. J'ai, toutefois, par moment, été noyée sous le flot des informations historiques. Certains détails semblaient presque en trop (comme les noms des créateurs de meubles alors qu'une simple description aurait pu être plus pertinente). Mais cela n'est qu'un détail et ne m'a pas gênée outre mesure.

Je ne peux donc que recommander le roman aux adeptes du genre !

Ps: team Alexander ou Jay ? Pour moi, la question ne se pose pas ! Et jai hâte de découvrir le 3e laron...

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Or

Il y a peu je lisais le premier tome de ces Passions londoniennes qui étaient consacrées à un autre personnage masculin, Alexander. Ces passions londoniennes sont déclinées en trois tomes, chacun d'entre eux étant consacré à un personnage masculin différent. Alexander, Jay et James. Ce sont trois amis qui se côtoient régulièrement, passent du temps ensemble. Célibataires, ils profitent de leur jeunesse, mais l'amour peut les rattraper à tout moment.

Il n’est pas obligé d’avoir lu le premier tome avant de lire celui-ci. La compréhension se fera tout aussi bien si vous commencez par celui-ci, vous aurez juste quelques informations sur le personnage du premier, Alexander, qui vous spoileront un peu l'histoire de celui-ci. Mais je pense que ça ne peut, du coup, que vous donner envie de le lire.

Je m’étais déjà régalée avec Alexander, il en a été de même pour celui-ci. Je connaissais déjà Jay pour l’avoir croisé dans le précédent opus. C’est un jeune homme libre, qui ne vient pas de la haute noblesse, comme ses deux compagnons. Il vient des bas quartiers de Londres, et s'est forgée sa personnalité et sa réputation à la force de ses bras et grâce à son intelligence. Il a travaillé dur, a appris à lire, écrire, s'est instruit tout seul, c’est un autodidacte complet. Et grâce à son sens des affaires, il a pu gravir les échelons de la société, s'offrir une maison dans les beaux quartiers et côtoyer des gens de la haute société, comme James et Alexander. Jay est un libertin, il a beaucoup de charme et ses manières, parfois encore un peu rustres, plaisent aux femmes de tout rang. Pas question de lui parler de mariage. Jay a une jeune sœur, Elisa, une très gentille jeune fille, très timide, et ne connaissant rien de la société mondaine. Jay aimerait la présenter justement et en faire une jeune femme de haut rang. Il va avoir besoin pour cela d'une personne qui lui inculque les coutumes et les bons usages pour pouvoir sortir en société. Pour cela, Jay va, sur les conseils de son ami, demander à une jeune femme faisant partie de l’aristocratie, de faire l’éducation de sa jeune sœur. Amanda accepte car elle a, elle aussi, de gros problèmes de famille et risque de perdre ses richesses. Mais tout ne va pas être simple pour elle, surtout avec un homme comme Jay, qui n'en a rien à faire des convenances et garde son naturel quelles que soient les circonstances. Un choc de culture entre ces deux personnages, qui va donner du fil à retordre à l'un comme à l'autre.

Je ne vais pas en dire plus, j'ai déjà l’impression d'en avoir trop révélé. Et pourtant je n’ai parlé que du début. On se doute aisément que des liens plus profonds vont se tisser entre ces deux personnages et même qu’une romance va voir le jour. On le sait, mais le principal pour moi, c’est de voir le chemin que va faire prendre l'autrice pour arriver à rapprocher ces deux êtres que tout oppose.

J’aimais déjà beaucoup Jay dans le précédent roman. J'aimais sa personnalité, ses manières, sa façon d’envoyer promener les gens, sa franchise, il ne mâche pas ses mots et ose dire les choses. Bien sûr, ces façons de faire sont décriées dans la haute société, et il n'y a bien que James et Alexander qui soutiennent Jay.

J’ai beaucoup aimé aussi Amanda, une jeune femme qui a reçu des coups elle aussi, qui se bat pour sa famille. Elle a tout d'une grande aristocrate, ne dit jamais un mot plus haut que l’autre, est très bien élevée, et va ainsi apprendre à la jeune sœur de Jay tout ce qu’il faut savoir pour ne commettre aucun impair lors de sorties ou de réceptions. On sent très vite en elle l’attirance qu’elle a pour Jay, il est une sorte de fruit défendu pour elle. Elle va tout faire pour freiner cela. C’est une jeune femme qui garde une grande sensibilité au fond d'elle. Les problèmes de famille qui la touchent vont lui faire prendre des dangers inconsidérés, mais l'amour pour les siens est plus fort que tout.

Le troisième personnage que j'ai beaucoup aimé aussi est la jeune Elisa, pas facile pour elle d’être la sœur d'un homme exubérant comme Jay. Elle est beaucoup plus effacée, timide. Sa rencontre avec Amanda va la transformer. Elle est avide de connaissances, elle retient très bien tout ce que lui apprend Amanda, c’est une jeune fille très prometteuse et qui va se révéler petit à petit.

Je me suis très vite attachée à toutes ses personnes, à leurs différences, à leurs problèmes. J’ai très bien réussi à ressentir tous leurs sentiments. Et pourtant le choix narratif de l’autrice n’est pas celui que je préfère pour me mettre à la place des personnages, puisqu'elle emploie la troisième personne du singulier pour faire parler tout ce petit monde. Mais ce « il » ne m'a pas empêchée me mettre à la place ses différents héros, qu'ils soient féminins ou masculins, à être au plus près d'eux et à vivre leurs aventures. Aurélie Depraz décrit très bien leur sentiments, sans faire trop de lourdeurs.

De même, une autre prouesse de cette autrice que j'avais déjà relevée dans le tome précédent, c’est la description des lieux, des beaux quartiers de Londres, comme des plus sombres, j’avais l’impression d'y être, de marcher dans les rues. Elle retranscrit bien l'ambiance, la façon de vivre des gens de cette époque. Elle décrit également très bien les personnes, leurs habits, leurs manières, je les voyais évoluer devant moi sans problème, j'imaginais très bien leurs robes, leurs coiffes. C’est un roman très visuel et j’aime beaucoup.

J'ai également appris plein de choses sur les us et coutumes, sur les façons de se tenir, de parler. Je ne savais pas, par exemple, qu’il y avait tout un art pour tenir son éventail et que selon sa position, cela avait une signification particulière pour l’homme que l'on avait en face de soi. J’ai aussi pu me rendre compte des différentes façons de nommer les personnes selon leurs rangs et grades. J'ai trouvé cela très enrichissant. Bien sûr, nous vivons à une époque où tout cela est complètement désuet, mais c’est toujours très intéressant de prendre connaissance plus en détails de ces coutumes passées.

Aurélie Depraz a un pouvoir de la description et du détail qui fait qu’en plus d’être divertissant, ce roman est très instructif. Je salue ici tout le travail de recherches qu'elle a dû effectuer pour mener à bien cette histoire et pour avoir des faits aussi précis. Il est d’ailleurs possible de se rendre compte de la masse de travail qu’elle a effectué en se rendant sur son blog où elle donne plein de détails sur cette période à Londres, les cartes des différents quartiers et tout ce qu’il faut savoir de l'histoire de Londres à cette époque, avec les avancées technologiques, comme les premières machines à vapeur. C’est encore très enrichissant d’aller lire les bonus et les coulisses de ce roman. N’hésitez pas à vous rendre sur le site de l’autrice, vous apprendrez plein de choses très intéressantes.

Le style, quant à lui, est toujours aussi bon. La fluidité de son texte permet une lecture facile, les aventures donnent une lecture addictive. Même en me doutant de la finalité des sentiments entre les deux héros, j'avais envie de savoir comment ils allaient y arriver, comment ils allaient arriver à se dépêtrer des problèmes que chacun d'eux ont. Bref, c’est une histoire prenante, on a envie que tout aille bien pour eux et on espère tout le long que tout s'arrange. Et on retrouve, pour mon plus grand plaisir, Alexander et James. On a des nouvelles de ces deux personnes, je suis contente pour Alexander. Le prochain tome de ces Passions londoniennes va être consacré à James, le dernier des trois encore célibataire, et qui ne veut pas du tout entendre parler d'histoire d'amour ou de liens avec une femme. J’ai hâte de savoir ce que Aurélie Depraz aura concocté pour lui. Et en même temps, j'ai hâte de retrouver cet univers. J'adore les romans où la grande Histoire est finement mêlée à la petite, et la romance historique est un genre pour lequel je craque très facilement.

Bon, je vais arrêter de papoter, cette chronique va encore être bien longue. Mais j’ai tellement aimé cette histoire que je m'emballe un peu. J’espère en tout cas vous avoir donné envie de lire ce livre. Si vous aimez les romances historiques, les autrices comme Diana Gabaldon, Mireille Calmel, Marion Zimmer Bradley ou encore Jane Austen, ce livre vous plaira, et plus généralement tous les romans qu'écrit Aurélie Depraz. C’est le cinquième que je lis d’elle sur neuf parus, et je ne compte pas m’arrêter là. J’aime beaucoup son univers et elle sait à chaque fois se renouveler, elle m'a emmenée aussi bien au temps des Vikings, ou en Écosse au temps des Sasunnachs, ou encore au Moyen-âge en Aquitaine. Bref, à chaque fois un nouveau monde à découvrir, c’est tre enrichissant. L'objet livre est en plus très beau, les couvertures sont toutes plus belles les unes que les autres, et je pense que je me les procurerais pour les avoir dans ma bibliothèque.

Si vous ne connaissez pas encore Aurélie Depraz, n’hésitez pas à le faire avec ce roman ou un autre. Elle vient d'ailleurs d'en sortir un nouveau, Les routes de l'Est, qui comme son nom l’indique, va nous emmener dans les pays de l’est en l'an 900.

Et si vous connaissez déjà cette autrice, n’hésitez pas à lire ce livre et les autres. Pour ma part, je vais continuer à la lire avec grand plaisir.

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Diamant

https://leboudoirdulivre.wordpress.com/2020/08/11/jay-daurelie-depraz-passions-londoniennes-2/

Ce second tome de « Passions londoniennes » a été un pur régal dévoré en moins d'une journée. Que ce soit l'intrigue, les personnages aux caractères si différents donnant lieu à des situations des plus cocasses, les informations disséminées au fil des pages, les codes de l'aristocratie… Jusqu'à maintenant je regrettais que les romans d'Aurélie soient si courts par rapport aux romances historiques que j'ai l'habitude de lire. Avec cette série, Aurélie me séduit à chaque tome et je ne peux pas avoir qu'un seul coup de coeur. Chaque tome en est un à lui tout seul. Autant dire que je suis impatiente de découvrir (déjà) le dernier tome.

Londres, 26 octobre 1819.

Depuis que Jay Stenson est entré dans la haute société, Élisa se réfugie dans les livres de la bibliothèque et n'accompagne pas son frère dans les soirées mondaines. A 20 ans, Élisa vit comme une recluse, effrayée par l'ascension fulgurante de son frère dans les affaires lui ouvrant ainsi les portes d'un monde inconnu dont elle ne maîtrise pas les codes de même que Jay même si lui en joue auprès des aristocrates y voyant une revanche face à ses origines des bas-quartiers.

Élisa ne se sent pas à sa place dans ce monde de faux semblants et ne jure que par son frère qui l'a toujours protégée… Même de ses deux amis Alexander et James, riches de naissance et libertins notoires qui ne l'ont jamais rencontrée.

C'est grâce à Alexander et son réseau que Jay va trouver la solution pour que sa soeur soit heureuse en la personne de Lady Amanda Keat, une jeune veuve parfaite pour jouer le rôle de préceptrice et aider sa soeur dans son entrée dans le beau monde.

Pour retrouver son frère Georges qui n'a plus donné signe de vie depuis cinq mois, Amanda désargentée depuis la déchéance de son frère et la perte de leur héritage familial au jeu n'a plus rien à perdre.

En dix-huit mois, sa vie s'est brisée net, après la mort soudaine de son mari, celle de ses parents dans le naufrage du Queen Mary, les dettes de son frère ainsi que sa réputation, Amanda est ruinée.

En disgrâce, l'héritier de feu son mari lui a permis de rester lui octroyant quelques pièces où vivre mais sa prétendue gentillesse a un prix.

Acculée, Amanda est prise au piège et ne sait pas comment se sortir des avances de plus en plus pressantes du marquis d'Ettlesham ainsi que des créanciers qui cherchent son frère sans compter sa soeur qu'il faut doter.

La proposition de Jay est peut-être la solution à tous ses problèmes même s'il lui faut travailler pour un roturier.

Qui plus est, la présence de Jay la trouble même si son absence de manières et son franc parler l'irrite au plus haut point, elle ne peut que constater que derrière cette apparence rustre se cache un grand frère très protecteur. Un homme de valeurs et de justice, passionné par ses affaires et le modernisme.

Jay aurait bien besoin des leçons de savoir-vivre d'Amanda s'il veut que sa soeur soit bien considérée dans la bonne société, à ceci près qu'Amanda compte bien le mettre au pas quitte à se montrer un brin autoritaire.

C'est une femme pleine de surprise que Jay a fait entrer chez lui, une femme qu'il désire et le rend fou.

Tandis qu'Amanda donne ses leçons à Élisa, Jay ne cesse de la faire sortir de ses gongs occasionnant de belles joutes verbales ce qui l'amuse au plus haut point.

Mais quand Amanda se met en danger pour retrouver son frère, Jay va se rendre compte de l'importance de la jeune femme dans sa vie et va passer à l'action.

Les principes et la moralité d'Amanda vole en éclats quand une relation s'installe entre ces jeunes gens que tout oppose.

Leur amour résistera-il aux règles de la bienséance britannique ?

Encore un coup de coeur pour cet excellent tome qui nous entraîne des soirées mondaines aux quartiers les plus mal famés de Londres en compagnie de Jay et d'Amanda en lutte contre leurs différences de classes sociales et leurs conséquences.

Aurélie Depraz révèle encore une fois une histoire passionnante où l'amour triomphe toujours malgré les obstacles. Comme toujours et plus particulièrement dans ce tome, les descriptions et informations historiques sont nombreuses et m'ont appris énormément de choses.

Je me suis plongé avec plaisir dans la découverte de Londres dans sa plus pure authenticité où le moindre geste malencontreux peut s'avérer fatal que l'on soit riche ou pauvre. Les descriptions des quartiers les plus pauvres et dangereux de la capitale tout comme le fait que Jay et Amanda ne se seraient jamais rencontré si Jay n'avait pas grimpé les échelons pour survivre et sauver sa soeur d'un destin des plus funestes.

Mention spéciale pour les fidèles domestiques mis à l'honneur dans ce tome, quel régal que de voir Amanda dire à Élisa de prendre exemple sur le fidèle domestique de Jay pour tout conseil de bienséance. C'était un moment jouissif surtout quand on s'imagine la tête de Jay.

A l'inverse de certains aristocrates qui utilisent leur position sociale pour commettre les pires bassesses en toute impunité, on se rend compte de la différence qu'il y a entre le sort des riches et celui des pauvres, les procès expéditifs sans possibilité de s'expliquer avec une mort certaine et un retrait à la campagne pour d'autres. Des injustices qui sont encore plus flagrantes à une époque où le sort de la personne et son rang se décide au berceau.

Jay et Amanda promettent de faire des étincelles dans un couple des plus modernes apportant un bol d'air frais dans une société imperméable à tout changement.

J'ai appris énormément de choses que ce soit d'un point de vue géographique, historique ainsi que sur les règles (oh combien nombreuses) de l'étiquette que toute jeune femme désireuse de se faire une place dans la société doit connaître (mention spéciale sur l'usage d'un éventail), le « Debrett's Peerage » m'a fait forte impression (dommage que je ne parle pas anglais, ce genre d'ouvrage m'intrigue fortement) et que dire de la bibliothèque du British Museum.

Une très belle romance addictive où les contraires s'attirent comme les différences de classes sociales !

Aurélie Depraz n'a rien à envier aux grands auteurs de romances historiques et bouscule les codes de la bonne société en offrant à ses lecteurs son roman le plus dur mais le plus attirant à ce jour !

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Or

[chronique entière ici] https://lacoccilectrice.wordpress.com/2020/06/15/136-jay-daurelie-depraz/

C’est une nouvelle lecture que j’ai beaucoup appréciée, qui m’a fait passer un excellent moment. J’ai retrouvé tout l’esprit des romans d’Aurélie que j’appréciais dans les autres. J’ai beaucoup aimé cette petite romance ponctuée par l’apprentissage de la jeune sœur. Les personnages changent de ceux qu’on a pu connaître dans les autres romans. Après, évidemment ce n’est que mon avis. Leur passé était plus dur, plus poignant et cela donnait un tout autre sens à l’histoire avec une petite intrigue en plus qu’une romance à développer. Je vous recommande ce roman pour une bonne lecture !

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Or

Deuxième opus de la saga « Passions londoniennes » de Aurélie Depraz, c’est avec plaisir que je suis partie à la rencontre de Jay l’un des membres de notre trio masculin découvert dans le tome 1 qui mettait en avant Alexander (Chronique littéraire #158: Alexander, Passions londoniennes T1 de Aurélie Depraz). Je dois avouer que des le début j’ai eu une préférence pour Jay, le fameux « parvenu » aux yeux de la haute société londonienne, dont la richesse n’était pas dû à sa naissance mais bien à son travail et à son intelligence pour les affaires. J’avais hâte d’en apprendre davantage sur son passé, son parcours, les blessures secrètes qu’il pouvait dissimuler…

Et je n’ai pas été déçue! Au contraire, j’ai été agréablement surprise de la tournure de ce roman. Habituellement la trame narrative est assez longue à se mettre en place mais ici ce n’est pas le cas, tout est savamment dosé, le canevas narratif maîtrisé. Nous découvrons la soeur de Jay, Elisa qui contrairement à son frère, n’assume pas son passé et son nouveau statut. Traumatisée par la vie de misère subit des son plus jeune âge, elle s’en remet entièrement à Jay. Celui-ci prendra alors la décision de recourir aux services d’une dame de la haute société pour éduquer sa sœur avant son entrée dans le monde.

Par ce scénario croisé, c’est Jay lui-même qui changera, bon pas radicalement, il reste une brute épaisse aux manières peu délicate par rapport aux mœurs de son époque, néanmoins il va évoluer et s’ouvrir davantage au fur et à mesure que sa sœur s’épanouira aux côtés de sa préceptrice, Amanda. J’ai beaucoup apprécié cette dernière, entre son statut de noble désargenté, sa dignité, son éducation digne des grands romans anglais et surtout son indépendance et sa volonté de mettre tout en œuvre pour sauver la réputation de sa famille et son frère. Tout tenter et même accepter de travailler, chose inenvisageable pour quelqu’un de son rang! Paradoxe? Surement, l’autrice aimant jouer avec ses personnages, nous nous retrouvons face à un homme parti de rien ayant réussi à s’élever, et à une femme noble, veuve et endettée. La rencontre ne peut être qu’électrique et si habituellement ce sont les femmes qui changent le point de vue des hommes dans les romans d’Aurélie Depraz, ici c’est l’inverse qui s’opère.

Tout au long de ce roman s’impose la dualité entre l’être et le paraître dans cette société londonienne. Peut-on s’aimer en étant issu de deux classes sociales si différentes? Peut-on être digne et honorable lorsque l’on vient des bas-fond de la société? Notre passé est il un éternel handicap? Peut-on tout se permettre du moment que l’on est bien né? Toutes ces questions sont exposées dans ce roman à travers le destin d’Amanda, George, Élisa et Jay.

Durant ce changement subtil qui s’opère chez Jay, il sera soutenu par ses deux acolytes que l’on a plaisir à retrouver. Ils sont la preuve que chacun peut évoluer en fonction de ses rencontres et que la naissance n’octroie pas tous les mérites. J’ai d’ailleurs hâte de voir ce que l’autrice réserve à notre dernier célibataire: James!

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Activité récente

Muel l'ajoute dans sa biblio or
2022-06-04T23:15:58+02:00
gwen53 l'ajoute dans sa biblio or
2021-02-18T09:05:08+01:00

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