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Une fois par an, le chef scout Tim Riggs emmène un groupe d’adolescents sur Falstaff Island, en pleine nature canadienne, pour trois jours de camping. Et rien de tel qu’une bonne histoire de fantômes et le crépitement d’un feu de joie pour faire le bonheur de la joyeuse troupe. Mais lorsqu’un individu émacié, qui semble tout droit sorti d’un film d’horreur, débarque sur leur camp, réclamant de la nourriture, le séjour vire au cauchemar. L’homme n’a pas seulement faim. Il est malade. Un malade comme ils n’en ont jamais vu… et dangereux avec ça.
Coupée du reste du monde, la troupe va devoir affronter une situation bien plus terrible que toutes les histoires inventées autour du feu. Pour survivre, ils devront combattre leurs peurs, les éléments, et se confronter à leur pire ennemi, eux-mêmes.
À mi-chemin entre Sa Majesté des mouches et 28 jours plus tard, ce thriller qui a fait pâlir d’angoisse Stephen King en personne vous plongera au cœur des ténèbres, à la frontière de la folie.
C'est la nature de tout être vivant. On s'accroche à la vie jusqu'à ce qu'elle nous soit arrachée. Même s'il en reste que des lambeaux, on s'accroche tout de même.
J'ai lu plus d'une trentaine de Contes Interdits (pour ceux qui connaissent), et je n'ai jamais été réellement dérangée par ma lecture. Toutefois, j'ai dû sauter quelques pages dans Troupe 52, car on décrit de la torture animale à deux reprises.
Ceci étant dit, j'ai trouvé l'histoire très intéressante et j'étais plutôt happée par ma lecture. Nous suivons principalement une bande de scouts, mais certains chapitres sont entre-coupés d'interrogatoires ou d'articles de journaux qui nous donnent plus d'information sur ce qui se passe à l'extérieur de l'île. Ces petites coupures étaient un excellent plus à l'histoire, et je crois que c'était mes passages favoris.
Je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages, sauf peut-être Newt, le nerd de la bande, mais je voulais savoir qui allait survivre à leur situation. Shelley... Je ne veux même pas en parler; ce n'est pas un personnage qu'on aime détester, on le déteste, point. Le récit a un peu des vibes de Marche ou Crève (Stephen King), dans le sens où nous suivons une bande d'adolescents (14 ans) qui essaient de survivre, et nous en apprenons peu à peu sur leur vie avec des anecdotes aléatoires.
J'ai préféré celui-ci à Little Haven, du même auteur. L'ambiance est lourde, et on ne peut s'empêcher de sentir frétiller les vers sur nous durant notre lecture. Un roman que j'ai bien apprécié et que j'ai trouvé original, n'était pas férue de science-fiction en général. Je le recommande si vous avez le coeur bien accroché!
J'espère que vous avez l'estomac bien accroché et pas dans les talons pour débuter cette lecture !
C'est un peu un mélange des genres ce roman : un huis clos sur une île, des contagions par des vers genre ténia mutés et une bonne dose de "Sa majesté des mouches".
Je suis rarement angoissée dans le genre thriller horrifique. C'est pourtant un genre que j'aime quand c'est bien fait et bien écrit. Et ici ça l'est.
Nous suivons un petit groupe de scout ado avec leur accompagnateur lors d'une sortie camping sur petite île déserte. Une malheureuse rencontre va faire basculer leur virée en enfer.
Le pitch n'a rien d'extraordinaire mais Nick Cutter, grâce à sa plume et son sens du rythme, réussi à rendre cette lecture vraiment addictive. C'est glauque, malsain et franchement répugnant par moment mais je me suis retrouvée à vouloir à tout prix continuer à lire afin de savoir s'ils allaient s'en sortir.
J'ai beaucoup apprécié les bouts d'interrogatoire, les notes des scientifiques ainsi que les articles de journaux en fin de chapitre qui nous donne une vision plus globale et plus sinistre de ce qu'il se passe sur l'île.
Petit bémol pour moi sur les personnages qui certe sont très bien développés, mais que j'ai trouvés clichés dans leur caractère. Comme si l'auteur avait absolument voulu que les ados soient complètement différents mais à l'extrême : nous avons le geek en surpoids, le sociopathe en puissance, la brute de l'école qui s'enflamme et joue des poings dès que quelque chose ne lui plaît pas et le sportif adulé de l'école dont le père est évidemment le shérif de leur petite ville. Niveau originalité on repassera. J'aurais préféré plus de rondeur dans leur psyché.
Tout ceci ne m'aura pas empêché de passer un horrible bon moment de lecture.
Si vous avez l'estomac bien accroché, si vous êtes sûrs de ne pas avoir le ténia et aimez les thrillers horrifiques en huis-clos, ce livre devrait vous plaire.
"Troupe 52" n'est pas aussi effrayant que ce qu'en dit Stephen King. Cependant, c'est une lecture très perturbante. En effet, Nick Cutter joue sur le gore, le sang et les entrailles en donnant des descriptions très explicites et dérangeantes, ce qui est parfaitement en adéquation avec l'intrigue.
Une chose qui m'a assez dérangée est que les personnages principaux sont des adolescents. Les conversations sont donc parfois un peu lourdes et certaines descriptions ou flashbacks contiennent des détails un peu inutiles. Beaucoup de digressions qui n'apportent pas grand chose à la lecture. Ce qui intéresse vraiment le lecteur est de savoir d'où vient cette maladie étrange et d'avancer dans l'histoire plutôt que de lire des conversations infantiles et de savoir des faits peu intéressants sur le background des personnages.
Autrement, le scénario est très prenant et le côté psychologique des personnages est bien exploité. L'on découvre des faits plutôt étonnants alors que l'histoire progresse. L'écriture est particulièrement perturbante, à l'image du récit. De plus, le fait d'intégrer des pièces à conviction, des extraits d'interview et des revues de presse est ingénieux et se prête très bien à ce contexte.
La fin Spoiler(cliquez pour révéler)laisse penser que Max, le seul survivant, est finalement infecté. Fin curieuse qui laisse au lecteur le choix d'imaginer une potentielle suite... pourquoi pas.
En somme, une lecture intéressante mais peut-être trop perturbante. Je reste avec certains questionnements.
Un livre qui ne m'a pas fait frissonné (alors qu'il était annoncé comme tel sur la couverture) mais pourtant j'ai beaucoup aimé ce livre. Tout d'abord, j'ai aimé l'écriture fluide de l'auteur, j'ai aimé les personnages, le travail fait autour de chacun d'eux et aussi le décor. Une petite île pas vraiment accueillante dans le nord du Canada.
Bref un très bon moment de passer avec ce bouquin qui me laissera tout de même une petite sensation désagréable quand je vois ou pense Spoiler(cliquez pour révéler)à un vers.
Un livre en soi intéressant, j'ai beaucoup aimé l'approche des articles de journaux pour nous parler de la situation à l’extérieur de ce que les personnages voyaient et vivaient. Approche intéressent du classique infection de zombie avec une twist très différente par contre j'ai trouvé qu'il y avait un peu trop de longueur au niveau des descriptions, La moindre odeur, couleur, gout, vision rappelle un flashback de 5-6pages d'il y a quelques années aux ados, certains sont intéressent pour le backstory, d'autre n'apporte rien à l'histoire. j'ai trouvé redondant les longues descriptions dégoûtantes de qui se répétaient encore et encore et encore. On aurait pus facilement couper 200 pages au livres et ça n'aurait rien changer à l'expérience. Même que ça aurait peut-être mieux contribuer à garder un peu de suspense et d'intrigue.
Les scènes d'horreur sont réussies, elles sont terrifiantes. Le rythme est progressif, peut-être un peu lent parfois mais ça ne m'a pas dérangé.
L'intrigue est vraiment originale, avec l'ajout des témoignages, on se croit ancré dans le réel.
Les personnages sont assez caricaturaux, on les cerne rapidement et personnellement je ne me suis pas du tout attachée. C'est le seul point négatif pour ma part !
Après un début prometteur, le récit s'enlise quelque peu et traîne malheureusement trop en longueur.
Le style de l'auteur manque de constance et le rythme est régulièrement coupé par des digressions malvenues.
En revanche, quand il s'agit de décrire l'horreur vécue par ces adolescents, là Nick Cutter sait y faire, en rendant très visuelles des scènes de pure abjection.
Du côté de la psychologie des personnages, c'est également assez réussi malgré quelques caricatures, et l'on cerne aisément chacun d'entre eux.
Sans ces ruptures de rythme trop fréquentes, l'œuvre m'aurait bien plus passionné ; dommage car l'originalité est quant à elle bien présente.
Résumé
Une fois par an, le chef scout Tim Riggs emmène un groupe d’adolescents sur Falstaff Island, en pleine nature canadienne, pour trois jours de camping. Et rien de tel qu’une bonne histoire de fantômes et le crépitement d’un feu de joie pour faire le bonheur de la joyeuse troupe. Mais lorsqu’un individu émacié, qui semble tout droit sorti d’un film d’horreur, débarque sur leur camp, réclamant de la nourriture, le séjour vire au cauchemar. L’homme n’a pas seulement faim. Il est malade. Un malade comme ils n’en ont jamais vu… et dangereux avec ça.
Coupée du reste du monde, la troupe va devoir affronter une situation bien plus terrible que toutes les histoires inventées autour du feu. Pour survivre, ils devront combattre leurs peurs, les éléments, et se confronter à leur pire ennemi, eux-mêmes.
À mi-chemin entre Sa Majesté des mouches et 28 jours plus tard, ce thriller qui a fait pâlir d’angoisse Stephen King en personne vous plongera au cœur des ténèbres, à la frontière de la folie.
source : édition Denoël
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