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Dix ans après le succès mondial du "Petit copain", et vingt après celui du "Maître des illusions", Donna Tartt fait son grand retour avec "Le Chardonneret", une odyssée hantée dans l'Amérique d'aujourd'hui.
Qui est Theo ? Que lui est-il arrivé à New York pour qu'il soit aujourd'hui, quatorze ans plus tard, cloîtré dans une chambre d'hôtel à Amsterdam comme une bête traquée ? Qu'est devenu le jeune garçon de treize ans qui visitait des musées avec sa mère et menait une vie de collégien ordinaire ? D'où vient cette toile de maître, "Le Chardonneret", qu'il transporte partout avec lui ?
À la fois roman d'initiation à la Dickens et thriller éminemment moderne, fouillant les angoisses, les peurs et les vices de l'Amérique contemporaine, "Le Chardonneret" laisse le lecteur essoufflé, ébloui et encore une fois conquis par le talent hors du commun de Donna Tartt.
Si un tableau se fraie vraiment un chemin jusqu'à ton cœur et change ta façon de voir, de penser et de ressentir, tu ne te dis pas « oh, j'adore cette œuvre parce qu'elle est universelle », « J'adore cette œuvre parce qu'elle parle à toute l'humanité ». Ce n'est pas la raison qui fait aimer une œuvre d'art. C'est plutôt un chuchotement secret provenant des ruelles. Psst, toi, hé gamin, oui, toi. Un bout de doigt qui glisse sur la photo fanée.
Je viens de terminer ce livre interminable, que j'ai ramé pour le finir, bien que Théo soit hyper attachant et son histoire m'a profondément touchée mais les innombrables descriptions détails par détails ont usé de ma patience. Mais je doit dire que l'écriture de Donna est très belle c'est de la poésie et il y a des métaphores à chaque page. pour ceux qui aime l'art c'est vraiment fabuleux. Autre point positif le personnage de Boris très belle création. Également Hobie qui est vraiment une bonne pâte.
Donna Tartt est sans doute l’un de mes auteurs préférés. Le Maître des illusions, son premier roman, que m’avait conseillé mon petit frère, a été un véritable succès et je l’ai vraiment adoré. Il ne s’agit pas seulement de l’histoire, mais de l’ambiance et de l’écriture de l’auteure américaine. J’ai tout de suite compris que ce livre que j’avais entre les mains était spécial. Il a fallu attendre dix ans pour lire son second roman, Le Petit Copain, que j’ai adoré aussi.
J’ai conscience que cette petite introduction ne me rend pas très objective, mais qu’importe. Donna Tartt a la faculté de me laisser plus qu’une histoire en tête, elle me laisse des impressions, un peu comme ces chansons qui nous ramènent aussitôt aux moments, aux lieux, avec les personnes avec qui on les écoutait. J’étais donc très impatiente de lire Le Chardonneret, un pavé de presque 800 pages, qui a reçu le Prix Pulitzer catégorie fiction.
Le Chardonneret, qui doit son nom au petit tableau du Néerlandais Carel Fabritius, est un roman dense, érudit. On y suit Theo, entre ses treize et vingt-sept ans, presque une vie, entre New York, Las Vegas et Amsterdam. Entre thriller, fresque et roman initiatique, Le Chardonneret est un livre qui s’est propulsé sur ma liste de romans préférés aux côtés de Seul le silence de R.J. Ellory et Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur d’Harper Lee (qui va publier un second roman cet été, apparemment, 55 ans après le premier, comme quoi dix ans pour un nouveau Donna Tartt, ce n’est pas si long) et L’extravagant voyage du jeune et prodigieux TS Spivet de Reif Larsen.
J’ai adoré Theo, j’ai partagé son chagrin, j’ai adoré le suivre toutes ces années, durant son enfance New-yorkaise, ses soirées éthyliques ou des déboires de jeune adulte. L’écriture de Donna Tartt est tellement dense que j’ai la sensation d’avoir lu ce roman pendant des mois et je suis un peu triste de me dire qu’il me faudra sans doute attendre longtemps pour lire à nouveau cet auteure, mais c’est sans doute en partie sa rareté qui la rend exceptionnelle.
Le début du livre et sa fin (avant une assez laborieuse conclusion) s'apparentent selon moi à la famille des thrillers, tout spécialement en fin de livre pour au total un maximum de, environ, 150 pages, mais tout le reste nous décrit la vie et les états d'âme d'un jeune homme certes traumatisé mais en fait selon moi assez peu intéressant. S'ajoutent des pages plus techniques et théoriques, mais d'un intérêt certain, sur l'art (surtout peinture et mobilier ancien, une atmosphère).
Si vous aimez les thrillers vous risquez de vous ennuyer ferme pendant une bonne partie du livre. Si vous aimez les gros pavés, descriptifs en particulier des sentiments et des états d'âme du héros, achetez ce roman de suite vous ne le regretterez pas.
Dans ce "Chardonneret" je trouve à la fois une initiation à la vie , chemin difficile et plein d'épreuves pour ce jeune garçon solitaire , que l'amour, l'amitié,la beauté, la générosité vont aider à survivre à ce traumatisme de ces 13 ans. Donna Tart nous fait une étude trés profonde de la société américaine : de la trés haute bourgeoisie à la plus basse classe sociale . cette société que j'ai découverte sur fond d'alcool et de drogues (je n'y croyais pas vraiment dans son 1° livre "le Maître des illusions). De la bourgeoisie coincée à la mafia tout s'entremêle , de l'artisan honnête aux marchands d'art foireux , tous se côtoient ; c'est ça l'Amérique... Quel beau livre ! C'est vrai je concéde qu'il est un peu volumineux pour lire au lit et pour emporter dans le sac C'est tout ce que je lui reproche !
Un énorme pavé qui contiendrait plusieurs livres formant un tout très cohérent.
Je ne décrirai pas l'intrigue puisque d'autres le font très bien par ailleurs.
Le début du livre et sa fin (avant une assez laborieuse conclusion) s'apparentent selon moi à la famille des thrillers, tout spécialement en fin de livre pour au total un maximum de, environ, 150 pages, mais tout le reste nous décrit la vie et les états d'âme d'un jeune homme certes traumatisé mais en fait selon moi assez peu intéressant. S'ajoutent des pages plus techniques et théoriques, mais d'un intérêt certain, sur l'art (surtout peinture et mobilier ancien, une atmosphère).
Si vous aimez les thrillers vous risquez de vous ennuyer ferme pendant une bonne partie du livre. Si vous aimez les gros pavés, descriptifs en particulier des sentiments et des états d'âme du héros, achetez ce roman de suite vous ne le regretterez pas.
Ce roman m'a vraiment laissé sur ma faim, et avec le recul je me demande comment j'ai fait pour "tenir" et finir les 1100 pages... l'idée de base paraissait intéressante, ça avait un petit coté "Dorian Gray", un jeune homme possédé par son tableau, qui est le témoin de sa déchéance... Au final, on suit le récit de sa vie d'ado à celle d'adulte, et tout se traine : toutes les situations sont beaucoup trop décrites, c'est trop long, il y a des redite, on tourne en rond : sa vie à NY après la mort de sa mère / sa vie à Las Vegas après le retour de son père / sa vie à NY comme jeune adulte... bref, on aurait facilement pu amputer 1/3 du livre sans toucher à l'intrigue. Le tableau a une place très minimaliste dans l'histoire, ce n'est qu'un pretexte. Les choix de vie de Théo sont plus que critiquable (ça boit et ça se drogue à tout va), sans qu'il y ai une réelle justification dans le récit. je n'ai pas accroché à sa personnalité et je n'ai pas éprouvé de l'empathie pour ce qui lui arrive.
Une ouverture explosive dans un musée new–yorkais au moment de l’attentat du 11 Septembre, une errance du héros, de New York à Amsterdam en passant par Las Vegas, à travers les bas-fonds (de l’univers des Antiquaires à celui des junkies, les uns et les autres reliés par le trafic de tableaux), une poétique de la lumière (lumière blanche et impersonnelle de Las Vegas, lumière pâle et intemporelle d’un atelier d’antiquaire, grâce lumineuse du tableau de Fabritius, le joyau du roman…), de beaux personnages romanesques (tel Boris, le junkie) et une fin captivante, passionnante, époustouflante (les deux cents dernières pages)…….Quel talent ! Donna tartt est une romancière exceptionnelle !
Ce livre, je l'ai achetée après avoir lu @le maître des illusions, mais étant donné que c'est un pavé, je me le suis réservé pour mes vacances, pour prendre le temps de l'apprécier à sa juste valeur.
La première partie a été captivante, j'ai été submergé par son récit, ses peurs, sa solitude… Mais la partie où il était adulte a été plus difficile à lire, je me suis ennuyé, je n'ai pas cru à son histoire, le harcèlement qui subit, son attente interminable à Amsterdam m'a semblé un sacrifice, une punition…
La fin est splendide, la dernière page est un hymne à la vie. Je l'ai relue trois fois. Un délice.
@Donna Tartt est une auteure insolite, ses écrits sont très différents de ce que j'ai déjà lu auparavant.
Ses textes sont longs, elle décrit régulièrement tout le long de l'ouvrage les faiblesses de ses personnages : la drogue, l'alcool, leurs souffrances, leurs peines… On ne peut donc que s'attacher à eux : Théo, Boris, Hobie et Pippa et tant d'autres.
Je ne vais pas vous écrire un roman, ça ne servirait à rien, je terminerais par cette phrase de l'auteure : Et j'ajoute mon propre amour à l'histoire des amoureux des belles choses, eux qui les ont cherchées, les ont arrachées au feu, les ont pistées lorsqu'elles étaient perdues, ont œuvré pour les préserver et les sauvegarder tout en les faisant passer de main en main….
Une écriture toujours aussi saisissante, des personnages fascinants, évoluant dans un univers d'une noirceur qui ne cesse de nous effrayer et de nous attirer...
Résumé
Description de l'éditeur (Feux croisés/Plon) :
Dix ans après le succès mondial du "Petit copain", et vingt après celui du "Maître des illusions", Donna Tartt fait son grand retour avec "Le Chardonneret", une odyssée hantée dans l'Amérique d'aujourd'hui.
Qui est Theo ? Que lui est-il arrivé à New York pour qu'il soit aujourd'hui, quatorze ans plus tard, cloîtré dans une chambre d'hôtel à Amsterdam comme une bête traquée ? Qu'est devenu le jeune garçon de treize ans qui visitait des musées avec sa mère et menait une vie de collégien ordinaire ? D'où vient cette toile de maître, "Le Chardonneret", qu'il transporte partout avec lui ?
À la fois roman d'initiation à la Dickens et thriller éminemment moderne, fouillant les angoisses, les peurs et les vices de l'Amérique contemporaine, "Le Chardonneret" laisse le lecteur essoufflé, ébloui et encore une fois conquis par le talent hors du commun de Donna Tartt.
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