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Paris, années soixante. Momo, un petit garçon juif de douze ans, devient l'ami du vieil épicier arabe de la rue Bleue. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim, l'épicier, n'est pas arabe, la rue Bleue n'est pas bleue et l'enfant n'est peut-être pas juif…
Emouvant, touchant, une écriture agréable, pleine d"humour qui nous offre un regard neuf sur la vie et sur le monde à travers 2 personnages attachants.
Abandonné à la naissance par sa mère, Momo vit seul avec un père qui ne le considère pas. Momo est un jeune garçon juif de onze ans à qui la vie ne sourit pas et qui ne sourit jamais jusqu'au jour où Mr Ibrahim, l'épicier musulman de la rue Bleue, lui fait découvrir tout ce que l'on peut obtenir avec un simple sourire. Mr Ibrahim donne à Momo quelques "recettes" pour améliorer sa vie au quotidien et en limiter la morosité. Les échanges entre ces deux êtres solitaires se multiplient et deviennent le point de départ d'une "aventure humaine" pleine d'amour et d'espoir.
A l'origine, Eric-Emmanuel Schmitt avait écrit une pièce, puis ce spectacle est devenu "Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran" récit qui s'apparente à un véritable conte philosophique. C'est une histoire simple, pleine de justesse et de sensibilité, un conte plein de tendresse qui nous enseigne la tolérance, la sagesse et le partage. L'écriture est sobre, les nombreux dialogues viennent égayer le texte, le rendant sincère et vrai, vivant et accessible à tous.
Le personnage de Momo est attachant : son innocence, sa maladresse, sa naïveté, sa fierté nous font sourire et attendrissent le lecteur... celui de Mr Ibrahim nous donne une belle leçon d'humilité, de générosité et de vie.
C'est une lecture qui offre un beau moment de bonheur, d'évasion, de tendresse et d'humour aussi.
Pour tous ceux et celles qui sont touchés par les bonheurs simples et vrais.
Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran est un livre qu'il ne faut pas lire au premier degré mais qu'il faut davantage prendre sous l'angle poétique, philosophique plus profond. Au-delà d'une banale histoire, Éric-Emmanuel Schmitt aborde un panel très large de thèmes en rapport plus ou moins direct avec la religion. Ce livre paraît être une ode à la tolérance, mais plus globalement à la vie. Je déplore néanmoins le fait qu'il soit très court, trop court. Peut-être qu'un peu plus de longueur aurait donné un autre aspect plus bénéfique à cet ouvrage.
Toutefois, ce livre reste très simple à lire et propose une lecture qu'il me semble tout à fait approprié de qualifier d'apaisante.
N'ayant lu que "l'hôtel des deux mondes", je voulais découvrir d'autres écrits d'Éric-Emmanuel Schmitt. La libraire m'a conseillée "Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran", qui est une très belle découverte. Le style de l'auteur est espiègle, fin et drôle. Chaque phrase est intelligente et porte l'histoire qui, sans l'écriture fédératrice, paraîtrait invraisemblable.
Ce roman raisonne comme un conte, une fable, dans laquelle on se laisse entraîner sans résistance.
Je lirai d'autres choses d'E.E. SCHMITT sans aucun doute.
J'ai lu sans comprendre. Aucune référence au Coran, et là, je relis le résumé : finalement, ce Monsieur Ibrahim n'était peut-être ni arabe, ni musulman.
Magnifique livre. J’ai toujours eu envie de commencer à lire l’oeuvre d’Eric-Emmanuel Schmitt et je suis très heureuse d’avoir commencer par ce court roman. Il se lit très rapidement en un seul coup. Les personnages sont poignants et très attachants.
J’ai passé un agréable moment de lecture. Le style est simple, les phrases courtes et les mots justes. Derrière cette écriture, des messages profonds sont partagés avec le lecteur. Un beau récit avec de nombreux thèmes.
Un récit court mais très intense en émotions. Une belle leçon de tolérance et d'amour entre un adulte arabe et un adolescent juif livré à lui-même. Beaucoup d'humour et de l'espoir aussi. Une écriture imagée, à la fois drôle et sensible. J'ai beaucoup aimé.
Résumé
Paris, années soixante. Momo, un petit garçon juif de douze ans, devient l'ami du vieil épicier arabe de la rue Bleue. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim, l'épicier, n'est pas arabe, la rue Bleue n'est pas bleue et l'enfant n'est peut-être pas juif…
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