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J’ai lâché le volant une fraction de seconde seulement. Juré. Je ne l’ai pas fait exprès. Pas que je m’en sois voulu, de toute manière. J’étais plutôt indifférente. Sauf que ça allait m’occasionner davantage de problèmes. Je l’ai senti à l’instant où ma voiture a fait une embardée vers la droite. Vers ce piéton qui ne m’a jamais vue venir. Non mais, que fabriquait-il là, aussi, en plein milieu de la nuit ? J’ai pourtant tenté de freiner. Sans succès. J’aurais dû faire changer les freins il y avait un moment, déjà. Mais j’avais manqué de temps pour m’en charger… Lorsque je me suis enfin arrêtée, je savais que le corps ne se trouvait plus à l’avant du véhicule, qu’il avait glissé entre mes roues. Assez difficile d’aller le repêcher. C’est pourquoi j’ai décidé d’appuyer encore un peu sur l’accélérateur.
"Bouche cousue" ça m'a totalement choquée. L'histoire est gore à souhait. La fin est exceptionnelle. Un roman qui m'a fait penser à "Misery" par S.King.
Livre hyper malsain, plus on avance dans l’histoire et le vice du personnage s’amplifie, plus l’étau se referme sur lui.
L’avertissement au début du livre prend tout son sens au fil des pages. J’ai aimé que la partie avec l’intervenant social soit notée sur une planche de notes à pince, ce qui est différent de ce qu’on voit.
Alors, la plume sarcastique, familière, voire vulgaire, les expressions québécoises cela colle parfaitement à l'héroïne. Béatrice est complètement folle et on voit bien qu’elle n’a pas froid aux yeux, elle cumule les cadavres sans que cela lui pose de problème.
La fin du livre vous laissera sur une conclusion que vous ne verrez pas venir, alors Bouche cousue, c’est bouche cousue…
Je recommande à tous les fans de psychopathes, d'humour noir, de gore et de sanglant.
Un thriller écrit sur le ton de l'humour…. Elle tue en rigolant, pour un thriller c’est dérangeant ! De plus les situations des personnages sont grotesques….. c’est écrit sans subtilité …. Et les expressions québécoises au secours ….. bref j’ai pas aimé du tout
J'ai découvert l'univers de Marilou Addison à travers la série « Cobayes », où j'ai apprécié son style distinctif. Ainsi, lorsqu'un autre de ses ouvrages a croisé ma route, je me suis laissé tenter, et quelle agréable surprise !
Plonger dans l'esprit de l'antagoniste, témoin de ses meurtres et de ses actes cruels, confère une expérience singulière. Bien qu'elle soit clairement du côté obscur, une étrange fascination s'installe pour ce personnage. Elle incarne cette vieille dame du voisinage, ni tout à fait sympathique ni tout à fait malveillante, mais plutôt teintée d'une amertume qui la rend à la fois inquiétante et intrigante. Son humour caustique ajoute une dimension supplémentaire à son caractère, dévoilant une facette sarcastique des plus plaisantes : « Pas moyen de tuer tranquillement un jeune sans que tout le monde se croie en danger. Les gens sont paranos, il faut croire. »
L'incursion de quelques expressions québécoises, bien que surprenante au départ, enrichit rapidement le récit, offrant une touche d'authenticité régionale.
Le style fluide de l'auteure nous plonge entièrement dans l'intrigue, avec des descriptions vivantes qui évitent les détails macabres, préférant créer une tension palpable. Si l'histoire est indubitablement stressante, elle ne verse pas dans le gore. La tension émane plutôt de la crainte constante d'être découverte par les autorités, alimentant un suspense croissant tout au long du récit. L'histoire se déroule sans temps mort, captivant le lecteur comme un bon thriller, jusqu'à son climax.
La conclusion est une véritable apothéose, offrant un retournement de situation aussi inattendu qu'apprécié.
Je recommande vivement ce livre à ceux en quête d'une lecture qui sort des sentiers battus. Bien que le rythme soit rapide et que l'ouvrage se dévore aisément, il convient de souligner la présence de scènes brutales et choquantes, le rendant ainsi réservé à un public averti.
Je viens de finir ce roman aujourd'hui. Une tuerie!
Alors, la plume sarcastique, familière, voire vulgaire, les expressions québécoises... que du bonheur. ça colle parfaitement à l'héroïne. La Béatrice, elle déboite!
J'ai dévoré le livre en une après-midi, incapable de m'arrêter tant l'histoire et la plume sont addictives.
Je recommande à tous les fans de psychopathes, d'humour noir, de gore et de sanglant.
Définitivement dans mon top 3 des thrillers psychologiques avec Misery de S.King et Psychomaniak de A. Melmoth.
La fin, juste géniale, mais je vous laisse découvrir.
J’ai découvert Marilou Addison grâce à la série « Cobayes », j’avais beaucoup aimé son style alors quand j’ai vu ce livre, je me suis dit pourquoi pas.
Et quel plaisir coupable ! Être dans la tête de la personne qui commet ces meurtres et ces cruautés confère un statut particulier. En effet, la raison veut qu’elle soit arrêtée mais en même temps on se prend d’une amitié malsaine pour elle. Le personnage n’est même pas sympathique mais elle représente la petite vieille de notre enfance qui n’était pas méchante mais un peu aigrie, on avait peur d’elle sans réelles raisons. Vous savez le genre de voisine pas agréable mais bon que l’on ne soupçonne pas. Elle a aussi un petit côté sarcastique qui est agréable et apporte un peu humour « Pas moyen de tuer tranquillement un jeune sans que tout le monde se croie en danger. Les gens sont paranos, il faut croire. »
On trouve également quelques expressions québécoises qui au début peuvent surprendre mais on les apprécie bien vite.
L’écriture de l’auteure est très fluide et permet de s’immerger complétement dans l’histoire avec un descriptif très imagé ainsi elle déjoue la description en profondeur des atrocités pour rendre la situation tendue. L’histoire est certes stressante mais n’est pas gore. Stressante dans le sens où comme on est dans sa tête, on ressent le stress à l’idée d’être démasquée par les autorités. Il n’y a pas de lenteur dans le scenario et l’histoire est très addictive. Comme un bon thriller, le suspense monte petit à petit, jusqu’à l’apothéose.
La fin est juste jouissive avec un plot twist comme on les aime.
Résumé
J’ai lâché le volant une fraction de seconde seulement. Juré. Je ne l’ai pas fait exprès. Pas que je m’en sois voulu, de toute manière. J’étais plutôt indifférente. Sauf que ça allait m’occasionner davantage de problèmes. Je l’ai senti à l’instant où ma voiture a fait une embardée vers la droite. Vers ce piéton qui ne m’a jamais vue venir. Non mais, que fabriquait-il là, aussi, en plein milieu de la nuit ? J’ai pourtant tenté de freiner. Sans succès. J’aurais dû faire changer les freins il y avait un moment, déjà. Mais j’avais manqué de temps pour m’en charger… Lorsque je me suis enfin arrêtée, je savais que le corps ne se trouvait plus à l’avant du véhicule, qu’il avait glissé entre mes roues. Assez difficile d’aller le repêcher. C’est pourquoi j’ai décidé d’appuyer encore un peu sur l’accélérateur.
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