J’ai été emportée dans cette histoire où le ton est posé dès les premières pages. Le personnage de Louise est glaçant : à la fois figure de perfection dans son travail mais pourtant si seule. Cette solitude en devient maladive. Elle est à la fois indispensable et invisible et son seul désir est de faire partie de la vie de Myriam, Paul et leurs enfants. Tout au long du livre, une atmosphère pesante même malsaine nous pousse à tourner les pages pour en savoir plus. Bref, il est dur de refermer le livre tant qu’on ne l’a pas terminé !

Un sentiment mitigé pour ce policier de Fred Vargas. Certes, les personnages sont uniques et un peu en dehors de la réalité, mais pas forcément attachants. L’histoire est courte, et pourtant l’intrigue est assez longue à se mettre en place. Cependant, ce n’est pas un mauvais policier pour autant et il se lit relativement rapidement.

Le récit d’une histoire vraie et d’un cas exceptionnel de trouble dissociatif de l’identité. J’ai trouvé ce livre très intéressant et je le conseille à celles et ceux ayant un intérêt pour la psychiatrie. J’en ai beaucoup appris sur ce trouble mental et sur les manifestations de chaque personnalités (dont la complexité est impressionnante). Ce cas a d’ailleurs inspiré le réalisateur M. Night Shyamalan pour son film Split. C’est donc la biographie d’un personnage un peu hors-normes auquel on s’attache. Chaque personnalité de Billy est très différente et on se prend à en adorer certaines et à en détester d’autres. Ce livre nous permet d’avoir un aperçu sur le débat de la responsabilité face à la justice. La maladie mentale est difficile à traiter, et à cette époque, elle est parfois prise à la légère, ou même minimisée par certains psychiatres et psychologues.

Le récit d’un épisode sombre de l’Histoire raconté de façon unique, aussi unique que la vie du père de l’auteur. Bien sûr, certains passages sont durs car racontés sans détours, mais cela en fait un témoignage nécessaire au devoir de mémoire. À lire, pour pouvoir toujours se souvenir de cette guerre et de ses victimes.

Un recueil parfait pour se plonger dans le monde magnifiquement macabre de Tim Burton. La poésie de ses films y est parfaitement retranscrite retranscrite en mots.

Une histoire très émouvante et malheureusement inspirée d’un drame bien réel. Le destin des personnages s’entremêle malgré leurs différentes quêtes et nationalités. J’aurais aimé en savoir encore plus sur la vie de chacun car je pense que cela aurait apporté une dimension intéressante à l’histoire.

Le récit d'un drame certes, mais surtout l'histoire d'une femme (à l'époque d'une enfant) dont la lucidité et la résilience sont tout simplement impressionnantes. Les médias ont essayé de s'emparer de cette histoire mais ce livre permet à Natascha Kampusch de se réapproprier les événements et de faire taire les détracteurs essayant de minimiser son statut de victime ou de décrédibiliser la façon dont elle considère son agresseur et les choses qui lui sont arrivées.

J'ai vu le film avant de lire le livre, il n'y avait donc pas de suspens quant à l'histoire. Cependant, j'ai beaucoup aimé lire l'histoire du point de vue de Jack, qui est un point de vue unique. Son imagination débordante est, sans qu'il s'en rende compte, la raison grâce à laquelle il survit et donne la force à sa mère d'en faire autant. Une histoire qui nous montre à quel point les enfants sont forts et peuvent faire preuve d'une résilience insoupçonnée.

Une lecture très marquante. La vie de l'auteure pleine de bouleversements et de doutes ne peut que nous toucher. On y découvre la ville de sa famille en Iran pendant une époque troublée où se révolter est un crime, surtout lorsqu'on est une femme. À lire à tout prix quand l'on veut comprendre une petite partie de l'histoire de ce pays depuis, peine à sortir de la tourmente.

Histoire haletante et bien construite, certains passages m’ont donné froid dans le dos ! Il est vrai que quelques éléments de l’intrigue se devinent si l’on est attentif au récit et certaines lignes de l’histoire m’ont fait penser à Shutter Island. Ce ne sera probablement pas mon dernier roman de Franck Thilliez.

Cette histoire m’a beaucoup touchée. Elle nous pousse à avoir une réflexion sur de nombreux sujets comme le bonheur et le handicap mental dans notre société. Le point de vue du narrateur est très intéressant car il évolue énormément tout au long du récit, que ce soit dans la syntaxe, la grammaire et l’orthographe mais également dans le ressenti des choses. On assiste notamment au moment où Charlie se rend compte que ses amis se moquaient souvent de lui sans que celui-ci ne s’en rende compte. Au fur et à mesure du récit, il se remémore des épisodes de son enfance pendant laquelle sa mère le maltraitait et ne l’acceptait pas tel qu’il était. Il a enfin conscience de ces choses, mais cette vérité lui fait énormément de mal et il n’arrive pas à guérir des ces plaies. Une histoire touchante en somme.

Ce roman est loin d’être mon préféré de Margaret Atwood. J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l’histoire qui comporte certaines longueurs, en particulier au début. Cependant, le message derrière l’histoire est important, comme toujours avec l’auteure.

Je voulais juste vivre[/i] de Yeonmi Park[spoiler]Ce livre est un témoignage émouvant et édifiant. Nous ne savons pas grand chose de la Corée du Nord, si ce n’est que l’oppression du peuple y est omniprésente. Cette autobiographie est donc importante pour mieux comprendre ce qui se passe dans ce pays. Lorsque Yeonmi Park prend la décision de s’enfuir de cette dictature, elle est consciente que cette évasion pourrait lui coûter la vie. Mais l’appel de la liberté et la volonté de vivre sont plus forts que tout. Nous suivons alors le périple de Yeonmi à travers la Chine, la Mongolie et enfin, la Corée du Sud. La faim, la violence, le trafic d’êtres humains et la peur sont partout, mais ils n’arrêtent pas la jeune fille d’atteindre ses objectifs et enfin, de faire entendre sa voix et celle des transfuges Nord coréens.

J’étais très emballée par le résumé du livre, je me suis donc lancée en pensant que l’histoire me plairait. Les 300 premières pages sont passées rapidement, j’étais plongée dans ma lecture, à la découverte de ce monde désolé, de ce(s) silo(s). J’ai bien aimé le personnage de Juliette qui est forte, déterminée, humaine et maline. Cependant, j’ai perdu un peu d’intérêt dans l’histoire dans les 200 dernières pages, même si je ne saurais dire pourquoi. Dans l’ensemble ce fût une bonne lecture bien que je m’attendais à l’apprécier encore plus.

J’étais contente de retrouver les personnages de Katherine Pancol et leurs petites histoires de vie. Cependant, je n’ai pas réussi à me plonger dans l’histoire de la même façon que pour les deux précédents tomes. J’ai moins accroché à l’histoire et la trame tournait un peu autour du pot. Je pense que si le roman avait fait 200 pages de moins, j’aurais plus apprécié l’histoire. Je suis néanmoins très heureuse d’avoir lu la saga complète dont les personnages me manqueront sûrement !

Un roman dont le résumé m’intriguait beaucoup et qui m’a bien plu. Je l’ai lu en français et j’ai trouvé que la traduction n’était pas vraiment à la hauteur de la plume de Margaret Atwood, mais c’est malheureusement parfois le cas quand on ne lit pas les versions originales. Ce roman d’anticipation nous permet d’avoir une réflexion sur notre propre société et ses possibles dérives. Je trouve que la fin manquait un peu de piquant mais j’ai tout de même apprécié cette lecture.

C’est le premier roman de Maxime Chattam et je ne suis pas déçue. J’aime beaucoup son style d’écriture que je trouve fluide et qui est parsemé de métaphores et autres figures de styles qui rendent le récit vivant.
Je n’ai eu aucun mal à visualiser la petit ville de Carson Mills et ses habitants. J’ai été assez surprise par la fin, dont je ne sais quoi penser… Je pense que ce dénouement me plaît bien, et qu’il change d’autres thrillers, donc j’apprécie. Je pense que ce ne sera pas le dernier roman de Chattam que je lirai!

J’ai vraiment adoré ce roman ! Je suis contente d’avoir découvert l’auteure québécoise Anne-Marie Sicotte, et c’est avec plaisir que je découvrirai d’autres de ces histoires. Les accoucheuses allie beaucoup de thèmes que j’apprécie : le XIXème siècle, la condition des femmes et la science en opposition à la religion. Hormis l’histoire et les personnages que j’ai beaucoup aimés, on peut voir à quel point l’auteure est informée sur le contexte historique, ce qui donne un réalisme très prenant à l’histoire. J’ai aimé découvrir la vie de Flavie et de sa famille et j’ai également beaucoup apprécié en apprendre plus sur le Québec de cette époque. Entre les conflits religion - science, l’immigration, les épidémies, le conflit des classes sociales ou encore les relations avec l’Europe, j’ai trouvé le récit très complet. Et bien sûr, le thème principal, les accoucheuses et leur combat quotidien pour pouvoir exercer leur profession et êtres reconnues à juste titre. Je suis impatiente d’attaquer le tome 2 !

Que dire de ce livre ? Je l'ai littéralement dévoré et je l'ai personnellement préféré à La Servante Écarlate (qui fait déjà parti de mes romans favoris).
J'ai bien aimé la construction du récit, avec les trois narrations des personnages principaux. Les personnages sont bien construits, et il est intéressant de découvrir l'origine de Gilead.
L'écriture de Margaret Atwood est agréable et fluide (j'ai lu le livre en VO), c'est très addictif. La reflexion sur la société et la place de la femme (en l'occurence, les trois narratrices sont des femmes avec des statuts très différents) est pertinente et fait de ce roman un récit passionnant et engagé. Si La Servante Écarlate vous a plu, je vous recommande vivement de lire cette suite écrite 34 ans après, et qui s'inscrit dans son temps.

Lecture plutôt moyenne. L'histoire est plus ou moins intéressante selon les personnages décrits. Je ne savais quoi penser du personnage principal, entre attachement et pitié, il est dur de savoir ce quel sentiment prend le dessus.

Bien que les thèmes abordés dans ce livre m'intéressent tout particulièrement, je dois dire que je n'ai pas été aussi captivée par cette histoire que je ne l'aurais pensé en lisant le résumé.
J'ai abandonné à deux reprises la lecture de ce livre car je n'accrochais pas assez, mais finalement, j'ai réussi à le terminer. Certains passages sont haletants, très justes et bien écrits, et c'est cela qui m'a permis de terminer ce pavé de plus de 700 pages. Cependant, ma lecture fut ponctuée de moments où je m'ennuyais.
Néanmoins, c'est un ouvrage bien construit, qui nous permet d'explorer en profondeur la vision de deux familles que tout oppose et qui malgré elles, seront liées à jamais.
En bref, pas un coup de coeur, mais je suis contente d'avoir découvert ce roman.

Au début de l'histoire j'étais assez emballée mais l'histoire devient rengaine au bout d'un tome ou deux... dommage!

J'ai du lire ce livre pour l'école. J'avais déjà entendu dire qu'il était très émouvant... et c'est vrai!
J'aime beaucoup le fait que ce soit un roman épistolaire et plus particulièrement que les lettres soient adressées à Dieu. C'est vraiment original étant donné qu'Oscar n'est encore qu'un enfant.
Je trouve les personnages vraiment très attachants et l'auteur arrive à dédramatiser la maladie avec un langage familier.

Si vous aimez les romans d'émotions et rapide à lire, ''Oscar et la dame rose'' est vraiment indispensable!

Vraiment génial!

J'ai appris beaucoup de choses dans ce livre et on à envie de connaître le dénouement de l'histoire dès les premiers chapitres...

Ce n'est pas un best-seller pour rien!

Ce livre m'a vraiment appris beaucoup de choses!
Je n'ai que 14 ans et je ne suis pas médecin, pourtant j'ai pus l'apprécier! Bref, cette encyclopédie est vraiment à la portée de tous les curieux qui souhaitent en apprendre plus sur le fonctionnement du corps humain.

Est-ce une blague??? Julien Neel est en train de totalement dérailler!
Je ne reconnais plus rien de l'univers de Lou!
Je suis vraiment hyper déçue!!