Silo, Tome 1

Très très bon roman , mon premier de science fiction , j'appréhendais mais c'était Léger à lire ,plus une dystopie ! La première partie du livre j'ai vraiment adoré l'épopée du maire et de l'adjoint chérif pour rejoindre le fin fond m'a mis de suite dans l'ambiance !

Ensuite le personnage de Juliette arrive Spoiler(cliquez pour révéler)dommage son histoire avec Lukas ne m'a pas convaincue :( .

La troisième partie du livre qui alterne entre Silo m'a bien entrainer et donne un rythme ! j'ai adoré tout les suspens !

un univers dystopique captivant, une héroïne attachante et intéressante, et une écriture agréable. L'histoire est immersive et prenante, mais à mesure que l'on approche de la fin, elle se laisse aller à la facilité, et l'épilogue est un véritable cliché. Je ne pense pas poursuivre la saga.

Bonjour,

Immersion totale dans un monde post apocalyptique.

Suspens soutenu, personnages sympathiques , ou pas.

Ecriture fluide, rebondissements, twist.

A peine terminé, j'ai regardé la série. Tout aussi addictive et pourtant très différente.

Les deux , se complètent très bien.

A vous ...

Le premier tome d’une dystopie post apocalyptique très bien écrite et raffolant de suspens a tel point qu’on ne peut s’empêcher de lire la suite à chaque fin de chapitre.

Quel plaisir ! Quelle découverte !

Une sorte de Métro 2033 (Dmitry Glukhovsky) mais à la verticale.

L'univers de Silo est très original.

Dès le début du roman, la découverte de cet univers au travers des plusieurs personnages est fait de façon intelligente. L'intrigue est passionnante et l'on s'attache aux personnages.

Une excellent vision d'un monde post-apocalyptique

Malgré un thème archi-connu et développé de très nombreuses fois (l'histoire d'un groupe de survivants dans un monde post-apocalyptique), Hugh Howey réussit le tour de force de faire preuve d'originalité. Une écriture fluide et rapide, un rythme soutenu et haletant nous font pénétrer à l'intérieur du Silo. La 1ere moitié du livre correspond a la description de la vie dans le silo. Un style de vie extrèmement codifié et rigide où le moindre mot, la moindre pensée subversive peut être puni de mort. On y ressent un fort sentiment de confinement et d'oppression. La 2ème moitié se situe plus dans l'action et c'est paradoxalement un peu plus longuet et un peu moins prenant. Révélations, intrigues politiques, scènes d'action et relations amoureuses subtilement traité et jamais de façon puérile se succèdent au fil des pages jusqu'à la fin. Au final: un excellent livre sur le thème archi-connu du monde post-apocalyptique malgré des personnages qui manquent un peu d'épaisseur (mais c'est normal car le vrai héros, c'est le silo) et une fin un peu trop vite expédiée. En tout cas, je lirais les suites, c'est sur. Ma note: 17/20

J'ai tellement aimé la série que je me suis vite procuré le livre ! C'est une histoire de science-fiction exceptionnelle et vraiment originale.

Bonne journée et bonne lecture

Pourquoi ai-je tant attendu de lire ce roman ? Je l’ai dévoré ! Je précise que je n’ai pas encore vu la série télévisée, donc je ne comparerai pas.

Dans un lointain futur, des milliers de personnes vivent enfermées sous terre, dans un silo de 144 étages. Ils perpétuent de génération en génération les savoir-faire techniques pour maintenir le silo en état de fonctionnement, et des règlements stricts régulent la vie en commun. Le tabou le plus puissant ? Désirer sortir dans le monde extérieur. Celui-ci est visible grâce à un mur d’écrans de l’étage supérieur : sol gris, ciel gris, nuages gris, ruines d’une ville fantôme. L’air y est chargé de toxines : on meurt en quelques minutes. Car dans cette microsociété, les rares condamnés — y compris ceux qui émettent le simple souhait de voir le monde extérieur — sont bannis. Un bannissement mortel : depuis l’écran mural à l’étage supérieur, on les voit avancer dans leur scaphandre et s’écrouler, tordus de douleur. Aucun scaphandre ne résiste. L’avertissement est clair pour tout le monde : sortir, c’est mourir.

Le roman était à l’origine une suite de (longues) nouvelles publiées sur internet, qui ont eu un succès encourageant l’auteur à aller au bout de son idée. Cela influence la construction (ce n’est pas une critique) : l’histoire d’Holston et Allison, l’histoire de Jahns, et enfin l’histoire de Juliette qui prend de l’ampleur qui constitue le cœur du roman. Ces trois histoires sont intimement liées et se suivent dans l’ordre chronologique.

Holston, le shérif du silo, a subi la douleur de voir sa femme Allison condamnée au « nettoyage » : le bannissement donc la mort. Cette condamnation à mort est appelée nettoyage ainsi car toutes les victimes, une fois sorties du silo, nettoient les caméras qui filment l’extérieur retransmis sur l’écran du premier étage, avant de s’effondrer un peu plus loin. Même ceux qui juraient refuser de nettoyer les caméras le font, une fois dehors. Trois ans plus tôt, Allison aussi l’a fait. Son corps reste là, devant les caméras.

Rapidement, le lecteur décrypte les indices, et devine que la vérité est différente. Ah ! Encore une histoire où on ment à un peuple enfermé, l’extérieur est différent, c’est l’histoire où Holston va découvrir qu’on peut sortir et… Ah, non. L’auteur nous a bien eus. Mais où nous mène-t-il ? Quelle est la vérité ?

Sur une idée qui peut sembler classique, l’auteur attrape le lecteur qui ne peut plus lâcher le livre.

Le premier point fort, c’est le côté thriller. Très rapidement, les mystères s’accumulent, et quand arrive l’histoire de Juliette, le récit tourne au polar. Peu à peu, les points de vue se multiplient, dessinant un silo complexe au fragile équilibre qui se transforme en cocotte-minute. Les rebondissements et révélations donnent une tournure épique à la dernière partie du roman.

Le deuxième élément marquant, c’est l’attention accordée aux personnages. L’auteur n’hésite pas à creuser aux fonds de leurs âmes et mettre en exergue leurs doutes, leurs regrets et leurs espoirs. On partage leur peine et leur tristesse, puis on s’emballe avec eux quand un retournement de situation remet tout en cause. Hugh Howey n’hésite pas à tuer des personnages auxquels on s’était attaché, infusant des moments d’émotions qui marquent le lecteur. Et on veut connaître la suite.

Hugh Howey s’empare des clichés de ce type d’univers pour en jouer ou les malmener. Au-delà de la surprise initiale (on ment au peuple du silo, l’extérieur n’est pas ce qu’on raconte, hein ?), il explore la thématique des villes de science-fiction : promiscuité, strates sociales. Ici, le haut est classiquement la direction et le fond celui des travailleurs, mais pour des raisons fonctionnelles. La notion de classe sociale est floue et les enfants ne suivent pas systématiquement le métier de leurs parents, en revanche le mépris des intellectuels pour les « graisseux » (les techniciens) des derniers étages est palpable, et réciproquement. Les relations sont le fruit de méfiance et méconnaissance mutuelle, chacun étant convaincu d’être le rouage qui fait tourner le silo.

Dès le démarrage, on sait qu’une insurrection a surgi plusieurs décennies auparavant. Tout le système est fait pour que cela ne se reproduise pas. L’auteur reprend un autre trope qu’aiment nos amis anglo-saxons : la figure de l’organisation aux motifs cachés, qui constitue un pouvoir de facto, un État dans l’État. Et c’est bien fichu. On y croit. Son dirigeant est un personnage bien construit, tout comme l’ensemble des membres qui tourne autour de lui. En réalité, tous les personnages sont intéressants et possèdent leurs caractères, leurs défauts, leurs espérances parfois divergentes : une vraie société au bord du gouffre.

On plonge avec délice dans un roman qui commence doucement puis s’accélère jusqu’à être trépidant.

Excellent.

J'ai enfin découvert se titre et j'ai bien aimé ma lecture. Le début ma sembler lent, mais une fois les enjeux lancé on ne le lâche plus.

L'écriture est captivante, les personnages nombreux et très bien travaillé, l'ambiance stressante à souhait. C'est une superbe lecture.

Un premier tome en demi-teinte. Je suis convaincu sans l'être par ce premier tome de Silo.

Les personnages sont sympas et très attachant. On se prend d'affection pour beaucoup d'entre eux pour ma part. L'idée usité dans ce roman est intéressante. Toujours, il y a, le classique ennemi, celui qui fait que tous les personnages sont là, parce qu'ils sont les éléments précurseurs à cette vie en silo.

Je pense que je lirais la suite afin de savoir ce qu'il va se produire dans l'avenir.