La Librairie Morisaki, Tome 1

Première incursion pour moi dans la littérature japonaise, avec en prime la découverte d'un quartier Tokyoïte composé essentiellement de librairies ! Vous imaginez un peu ? Le paradis...

Une lecture douce, un partage, comme café au coin d'une table. C'est principalement ce dont il est question ici, de partage (et un peu aussi de café)

Partage de la douleur pour qu'elle soit moins lourde, partage de souvenirs, partage de secrets.

Une lecture douce, mais triste aussi, parce que la vie c'est aussi ça, des moments durs, des épreuves, mais aussi de la force et de la résilience.

Il n'y a pas de grands actes ici, pas d'actions épiques, pas de dramas. Ce livre nous parle juste de personnages qui subissent et affrontent, à leurs manières, les blessures de la vie. Et qui nous font cadeaux de leur force, de leur courage. Des personnages comme on peut en croiser tous les jours, ils n'ont rien de particulier, ils font avec ce qu'ils ont, et ils nous donnent à réfléchir.

Ce livre n'est pas un coup de coeur, mais il a suffisamment de points forts pour être une bonne lecture

Ce livre nous est vendu comme une petite histoire Cosy, mais je l'ai trouvé surtout déprimante.

Le début est intrigant et nous plonge dans l'esprit japonais, mais très vite on se lasse des chapitres à rallonge. On devine facilement la suite de l'histoire c est domage.

J'ai bien aimé cette lecture. Très rapide et légère.

Un poils frustrante, on se doute de ce qu'il se passe et va se passer, ça n'empêche pas de passer un moment léger.

J'avoue avoir un peu moins accroché à la seconde partie qui m'a laissé perplexe avec ce personnage de Spoiler(cliquez pour révéler)Momoko qui m'a semblée plus agaçante par son mystère égoîste. Mais je n'en ai pas été surprise ? J'aime beaucoup la culture japonaise, donc certaine réaction qui peuvent paraitres étranges m'ont semblé "normales".

Bref ! Une lecture sans réelle prises de tête, qui est toujours la bienvenue !

On est bien dans de la littérature asiatique. Un roman tranche de vie empreint de douceur malgré les vicissitudes de la vie. Une évolution émotionnelle qui se fait sur la pointe des pieds, qui nous ravit de ses subtiles changements comme de la simplicité delà progression.

En somme, un agréable et attachant moment de lecture.

Un roman à l'ambiance douce et remplit d'amour, de respect et de partage.

Très joli texte sur des moments difficiles de la vie et les déclencheurs pour vivre avec sérénité.

Une petite lecture fluide, mignonne, réconfortante avec un joli cadre. Le genre de récit à lire sous un plaid au coin du feu d’une traite. Je le recommande à ceux qui apprécient les lectures courtes et positives. Une histoire mêlant famille, cœur brisé et livres ! Il ne faut pas s’attendre à de grands plot twist ou beaucoup d’action, mais cela n’empêche que la lecture reste très agréable.

Ce court livre (à peine 100 pages dans mon ebook) raconte l’histoire d’une jeune japonaise, Takako, dont la vie professionnelle et amoureuse s’écroule le jour où son petit ami lui annonce qu’il va se marier. Mais avec une autre. N’ayant rien vu venir et préférant démissionner que de le croiser tous les jours sur leur lieu de travail commun, elle plonge dans une profonde torpeur, ne trouvant que le sommeil comme échappatoire. N’ayant plus les moyens de louer un appartement, elle se retrouve à accepter l’offre de son oncle Satoru, de venir l’aider et de s’installer dans la librairie de livres d’occasion héritée de leur famille. C’est dans ce lieu, qu’elle n’estimait pas, qu’elle reprend goût à la vie au contact de cet oncle excentrique et passionné et en découvrant le plaisir de la lecture.

Je ressors de cette lecture mitigée. Malgré le peu de pages, j’ai mis presque une semaine à en venir à bout, car je ne comprenais pas où allait le récit. Je m’étais imaginée une lecture contemplative où la librairie tiendrait la place principale, comme le laissait penser le résumé et le titre du livre. Ce qui est un peu le cas dans la première partie du roman, mais qui se perd en seconde partie que je n’ai d’ailleurs pas compris, attendant une révélation fracassante, ou tout du moins une explication au comportement d’un des personnages. Mais cette révélation ne m’a pas convaincue et je suis sortie légèrement frustrée de cette lecture, ayant eu l’impression de passer à côté du récit. J’imaginais trouver l’ambiance poussiéreuse, calme et tranquille d’une librairie d’occasion et je me suis retrouvée à m’interroger sur ma capacité à sortir de ma zone de confort.

En cette fin d’année, je souhaitais en effet lire un contemporain japonais, car c’est un genre souvent loué pour sa beauté et sa contemplation. Et c’est certain que l’écriture est concise, sans fioritures, les phrases courtes et précises. L’auteur ne s’attarde pas sur des détails, le récit file, et des passages sont à peine effleurés, des jours pouvant passer en quelques mots. Peu de de précisions sont données au lecteur qui est libre d’imaginer les personnages et les lieux à sa guise. Or, pour moi qui ai l’habitude de roman où le world building est prépondérant, cela fait une immense différence. Cependant, je trouve que le style dépouillé de l’écriture correspond bien à l’image que je me faisais de ce type de récit, en cela je l’ai bien apprécié.

Pour autant, j’ai trouvé que le récit manquait de dynamisme, mais comme nous suivons le point de vue de Takako qui se retrouve engluée dans cette torpeur physique et mentale, cela n’est pas étonnant. J’ai moins apprécié son manque d’émotions, de combativité et qu’elle préfère lâcher son emploi que de faire face à ce goujat ! La plupart de ses réactions et de celles des personnages secondaires m’a souvent surprise, voire agacée dans certains cas, tant je les trouvais incompréhensibles. Je sais que la culture japonaise est tout en émotions retenues et en respect des convenances, mais bon sang, vivre sans jamais rien exprimer, ce n’est pas vivre ! Mais je n’en attendais pas moins car c’est l’image que j’avais des japonais aujourd’hui. Du coup, Satoru est un personnage que j’ai bien apprécié car il est moins polissé que les autres, plus naturel et dans le partage de ses émotions, positives ou négatives.

En bref, une lecture mitigée sur le fond mais qui a le mérite de me sortir de ma zone de confort et dont j’ai apprécié la forme.

Résilience, pardon, renaissance, découverte de soit et des autres. C’est un livre qui nous a apprend à chérir les choses simples de la vie tant qu’il est encore temps. À lire un jour de printemps, après une rupture, un matin sur un banc ou par ennui dans le métro — à lire tout simplement.

Assez contemplatif et descriptif. Tout est très polissé, et si c'est un joli hommage au bien que peuvent apporter les livres et la lecture, j'ai assez peu été touchée par ma lecture.

Dommage.